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Activités de la communauté

Sang de cochon

Par Sylvain Johnson
(4,0)
3 personnes apprécient ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
L'auteur Sylvain Johnson a écrit sur son blogue à propos de "Sang de cochon" que c'est son "premier roman entièrement policier, sans éléments fantastiques ou d’horreurs". Je n'ai pas lu ses autres romans, mais celui-ci est bel et bien un roman d'horreur, de science-fiction en plus de relever du thriller et du roman policier. Ce mélange de genres est bien dosé et intéressant. Une faiblesse majeure de l'oeuvre cependant est le trop grand nombre de personnages, notamment de policiers, qui meurent un par un sans que ça nous touche une miette puisque l'auteur ne se donne pas le temps de bien peindre ou établir ses personnages secondaires. Les personnages principaux, eux, sont évidemment mieux définis mais un peu trop stéréotypés (le policier avec un problème d'alcool, la policière lesbienne sexy, etc.). De plus, toute la dimension politique du roman manque totalement de vraisemblance. Cependant, c'est un roman dont on peut apprécier la clarté, la qualité de la langue et le sens du thriller. Les amateurs d'horreur et de "gore" devraient également se régaler de "Sang de cochon".

Claustria

Par Régis Jauffret
(5,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Claustria est un roman, basé sur une histoire vraie. Un père qui enferme une de ses filles dans un sous terrain, construit de ses propres mains, pour se créer une deuxième famille. Un père qui aime jouer à Dieu, en contrôlant les vives de sa fille et de ses enfants/petits-enfants de la cave. Une histoire où l'atrocité d'être enfermé sans lumière naturelle et le réconfort de connaître chaque recoin de son monde s'entrechoquent. Une prise de conscience sur la définition et les conséquences de la liberté. Bref, un roman difficile, mais que j'ai dévoré pour l'écriture qui est différente et pour la complexité des personnages.

Mon chien Stupide

Par John Fante
(4,0)
3 personnes apprécient ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Tranche de vie d’Henry J. Molise, écrivain quinquagénaire à la dérive, à la vie meurtrie, une vie faite de noeuds et d’embrouilles, moment précis où Stupide, Akita Inu possiblement pure race, qui sait, peut-être pas, fait volte-face, fait son entrée avec fracas. « Tout compte fait, Stupide n’avait rien de formidable. Il était schizophrène. Il avait terrorisé Rick Colp. Mordu Denny. Tenté de sauter Galt, et il était probablement responsable de la conscription de Jamie. » Loufoque, où l’avis des personnages s’entremêlent et se court-circuitent, d’un humour sensible, « Mon chien Stupide » de John Fante m’a certes fait rigoler, fait ressentir, moment de franche camaraderie !

Nausées matinales et autres petits bonheurs

Par Boum
(4,4)
3 personnes apprécient ce livre
3 commentaires au sujet de ce livre
L
LyA
Un BD qui se lit super bien et qui est drôle à souhait! Parfait pour les nouveaux parents.

La civilisation du poisson rouge

Par Bruno Patino
(4,0)
2 personnes apprécient ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Bruno Patino, journaliste et dirigeant de presse français (il est en ce moment directeur éditorial d’Arte France), est un homme qui passe de nombreuses heures par jour à consulter son téléphone intelligent de manière compulsive pour suivre les principaux réseaux sociaux et se tenir bien informé. Il a cependant pris conscience de la manipulation dont il est l’objet, lui et la majorité d’entre nous, et a décidé d’exposer comment Google, Facebook et les autres réussissent si bien à capter notre attention, de plus en plus et de mieux en mieux. En s’appuyant sur des enquêtes scientifiques ainsi que sur quelques témoignages d’ex-employés des géants du Web, Patino démontre comment, sciemment, ces plateformes exploitent nos faiblesses physiques, psychologiques et émotionnelles pour aller chercher ce qui vaut le plus pour elles : notre attention. L’auteur ne cherche pas à nous faire la morale mais bien à nous montrer que nous sommes les victimes d’un système qui ne cesse d’être perfectionné pour littéralement nous voler nos vies. En cela, l’essai est passablement convaincant. Où il l’est moins, à mon avis, est lorsqu’il tente de nous convaincre qu’on peut forcer ces maîtres des algorithmes à se réformer, dans le but ultime de revenir à ce que les créateurs de l’Internet et du Web souhaitaient bâtir : un monde plus démocratique, mieux informé, plus juste, plus égalitaire, etc. Ça ne m’apparaît personnellement ni plausible, ni même souhaitable (de conserver ces plateformes), mais je pourrais bien sûr me tromper !

Chagrin (Le)

Par Lionel DUROY
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
La saga et les lamentations de Lionel Duroy contre sa mère sont parfois captivantes mais aussi lassantes. Il y a un tragique narcissisme à se raconter ainsi, bousculé par la vie (victime ?) et en vouloir autant à sa mère. Car même bourgeoise déçue par son mari irresponsable, comment ne pas comprendre ses crises de nerfs alors qu’elle enchaîne 11 grossesses dans une insécurité totale à cause des chèques sans fond et petites magouilles de son mari ? Il y a une certaine complaisance, un apitoiement sur soi-même du narrateur-auteur qui met mal à l’aise alors qu’il tente de développer une vie amoureuse et parentale qui lui échappe à cause de ses lamentations morbides…Comme s'il s'agissait de régler des comptes avec sa famille 10 ans après un premier récit autobiographique (Priez pour nous).

Rose

Par Philippe Durand Gerzaguet
1 commentaire au sujet de ce livre
C
creole2020
Je viens de terminer , j'ai vraiment apprécié et je voudrais apprendre a connaitre d autre membre su site ; voila mon skype : olivia.never105

Par amour

Par Valérie Tong Cuong
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
C
creole2020
Par amour, n'importe quel être humain peut se surpasser. On tient debout, pour l'autre plus encore que pour soi-même. voila mon skype pour fait connaissance : olivia.never105

Scarborough

Par Catherine Hernandez
(3,5)
1 commentaire au sujet de ce livre
S
Sraah
Scarborough. Quartier multiculturel de Toronto qui se retrouve au cœur de ce magnifique roman de Catherine Hernandez. L’auteure nous fait connaître ce quartier à travers les yeux d’enfants et de parents de familles défavorisées aux problématiques complexes. Ce qu’ils ont en commun? Ils fréquentent tous le même centre de littéracie où la directrice ne peut s’empêcher de dépasser les limites de son mandat pour nourrir les enfants qui ont faim, de nourriture et d’affection. Ce livre qui parle de la beauté et des douleurs vécues par les habitants de ce quartier difficile est vraiment une belle découverte pour moi!

L'homme qui voyait à travers les visages

Par Eric-Emmanuel Schmitt
(3,66)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Je viens de terminer «L'homme qui voyait à travers les visages» d’Eric-Emmanuel Schmitt ce roman publié en 2016 s’inscrit dans le même esprit qu’«Après La Nuit de feu». Roman dans lequel il racontait sa révélation de la foi en plein désert. Ainsi, dans «L'homme qui voyait à travers les visages», il poursuit dans la spiritualité, mais on ne le voie pas au début de l’œuvre. J’ai été surpris dés le début l’histoire puisque celle-ci commence par un attentat suicide à la sortie de funérailles. Augustin Trolliet, le narrateur, est témoin de la scène et non seulement a-t-il vu le déroulement des événements, mais il a également vu un petit bonhomme minuscule qui accompagnait le terroriste. Augustin possède un don, il apprendra qu’il voit des morts, les personnages minuscules, qui accompagnent les vivants qu’il côtoie. C’est ce que Schmitt a nommé «voir à travers les visages» parce que ces morts minuscules signifient quelque chose de particulier pour chacune des personnes… souvent des affaires non réglées. De là s’engage un suspense policier intéressant, mais au fil des pages Schmitt nous amène ailleurs. La quête se transforme en investigation sur la spiritualité et la violence. Augustin va finalement se retrouver à interviewer DIEU, «le Grand Oeil»… je vous avoue que là j’ai perdu le fil de l’histoire, trop philosophique pour moi. Cependant, j’ai bien aimé que le judaïsme, le christianisme et l’islam soient présentés comme des moments différents de la même œuvre de Dieu ou tous les textes sacrés étaient des tentatives pour améliorer la compréhension de l’humain de son message... Augustin rencontre aussi Schmitt pour le compte de son journal local. Schmitt lui demandera de rédiger le texte de sa rencontre avec Dieu plutôt que de la lui raconter pour éviter d’en perdre l’essence. Tout cela pendant que l’enquête se poursuit et qu’Augustin est de plus en plus un suspect crédible. Malheureusement, l’enquête poussera Augustin à s’impliquer lui-même dans un attentat en pensant l’éviter. Puis, dans les dix dernières pages du roman, tout cela est remis en doute qui a écrit ce roman Augustin Trolliet ou Éric-Emmanuel Schmitt…

Les vies de papier

Par Rabih ALAMEDDINE
(3,66)
1 commentaire au sujet de ce livre
Je viens de terminer «Les vies de papier» de Rabih Alameddine, une traduction de l'anglais (États-Unis) dont le titre original était «An Unnecessary Woman» ce qui était beaucoup moins flatteur pour Aaliya le personnage principal. L'auteur avait remporté le prix Fémina en 2016 avec ce roman tout comme il l'a encore fait en 2019 avec son plus récent ouvrage «L'ange de l'histoire» traduction de «The Angel of History»... Dans les vies de papier Aaliya nous raconte son histoire, sa vie au quotidien, mais voilà son existence sort du cadre habituel d'une femme libanaise. On apprendra que depuis maintenant cinquante ans Aaliya traduit en arabe des romans qu'elle apprécie comme «Anna Karénine» de Tolstoï , des oeuvres de Pessoa, Hamsun, Cortazar, Hedayat, Karasu, etc. Ce qui fait de ce roman un petit bijou pour les amants de la littérature. Il y a certainement plus d'une cinquantaine d'oeuvres de mentionnée au travers des réflexions d'Aaliya et cela c'est sans compter les pièces musicales parsemées ici et la, Chopin, Tchaikovsky, Strauss, etc. Surprise, elle ne traduit ces livres que pour elle-même! Les manuscrits sont dans des boîtes entassés à l'intérieur d'une pièce de son appartement. Ce qui donne de la couleur à ce roman c'est les livres oui, mais aussi le liban en guerre et ce quotidien avec ses voisines Marie-Thérèse, Fadia et Joumana qu'elle nous racontent avec un brin d'ironie. À cela s'ajoute, les passages concernant son amie Hannah décédée trop jeune avant la cinquantaine. Elle qui allait régulièrement la rejoindre à la librairie où Aaliya travaillait pour y lire des livres. La couleur c'est aussi les cheveux bleus d'Aaliya qu'elle teint à la première page du roman et qu'elle coupe aux ciseaux vers la fin du roman juste avant l'inondation de la pièce où se trouvent tous ses manuscrits... Je vous avoue que j'ai eu de la difficulté à m'y mettre. Je ne voyais pas où l'histoire s'en allait. Le déferlement d'auteurs et de citations piquait ma curiosité, mais me faisait perdre le fil. Toutefois, plus j'avançais dans ma lecture, plus j'appréciais l'histoire particulière d'Aaliya et son regard sur son entourage et son pays. Au final, j'ai bien aimé!

Les sorcières de la littérature : 30 écrivaines aux pouvoirs...

Par Taisia Kitaiskaia, Katy Horan et Chloé Delaume
(5,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Je suis littéralement conquise par le terme "sorcières", utilisé de façon positive afin de mettre en lumière le pouvoir "magique" de l'écriture et l'évasion que procure une bonne histoire. Le livre en soi est un très bel objet, et les illustrations intérieures sont intéressantes. La forme de la présentation des écrivaines l'est également, divisé en 3 blocs et agrémenté de conseils de lecture. L'on mise sur l'oeuvre et la personnalité plus que sur la bio statique, ce qui est très bien! À suggérer autant aux adultes qu'aux ados. Mention spéciale à la "brochette" d'écrivaines, car certaines sont abordées sans avoir été traduites en français. La sélection est vraiment chouette! Une belle découverte.

Les petites choses

Par Ana Roy
(5,0)
3 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Cette bande dessinée se veut une compilation sans fla-fla des petits plaisirs de la vie. La présentation est efficace : un dessin au trait simple étalée sur une page ou deux et au bas de la page l'énonciation de ce petit plaisir de la vie. Je crois que le charme de ce petit livre repose sur la sélection de certaines de ces petites choses qui ne sont pas nécessairement les premières qui nous viennent à l'esprit et leur manière inventive d'être illustrées.

Nous vivons chez nos chats

Par Eloisa Scichilone
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Le lecteur suit une journée hivernale d'un couple d'artistes et de leurs cinq chats. Cette bande dessinée est une ode aux chats sans rester confiner à une expression vive et sans profondeur de l'amour de l'animal. L'oeuvre joue avec les principes de mouvement et d'immobilité des personnages et des événements dont le pivot central est les chats. C'est ainsi que l'auteure explique et démontre toute l'importance de l'animal dans la vie des personnages. Dans ce balancier, le chat devient un point d'équilibre à la santé mentale du couple. Les chats réconfortent leur maîtresse qui a encore eu un test de grossesse négatif ou qui accepte mal la fin proche de son père. De plus, les chats épaississent le quotidien du couple en faisant des bêtises durant les tâches ménagères ou en s'endormant au mauvais endroit au mauvais moment. Ils en deviennent même une source d'inspiration artistique pour leur maîtresse. Les chats sont tellement omniprésents que la mort prochaine d'un de leurs cinq chats affecte profondément le couple. Ce cinquième chat pèse par son absence de la routine de la maison. Il s'isole, ne mange plus et dort presque toute la journée. Renforçant l'impact des autres : les maîtres prennent soin des chats et les chats prennent soin de maîtres. D'ailleurs, le dessin est à mon avis magnifique. Un trait minimaliste avec une palette de couleur pastelle que je trouve très douce et réconfortante. Je le recommande à ceux et celles qui ont un petit coup de mou moralement.

Que le diable l'emporte

(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Partie, partie depuis longtemps, sinon depuis longtemps avant, chose dite chose faite, le Bourbon Kid ne la reverra jamais plus sa Beth ! Délire des sentiers battus et sanguinolents, « Que le Diable l’emporte », 9e tome de cet auteur à la face cachée, tonne à souhait dans le loufoque, le déjanté !

Portrait de Dorian Gray(Le), d'Oscar Wilde

Par Stanislas Gros
(5,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Excellent résumé du classique d’Oscar Wilde.

Classé sans suite

Par Claudio Magris
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Ce roman m'a causé quelques difficultés de lecture à son début: très verbeux, onirique, rempli de digressions, le tout accompagné de changements de ton et de langage subits, voilà pour le premier tiers. Ensuite (je dirais comme à l'habitude lorsque je persévère), tout ça s'est intégré et j'y ai enfin pris plaisir, plutôt une certaine satisfaction. Car pour le plaisir, le thème est mal choisi. Luisa Brooks, chargée de concevoir un musée de la Guerre à Trieste, Italie, consulte les notes du collectionneur d'armes, à l'origine de cette idée saugrenue : « Si tout le monde me donnait ses armes, si toutes les armes du monde étaient dans le Musée, le désarmement serait général, et ce serait enfin la paix. Mais il faudrait un grand musée, aussi grand que le monde (...) » Claudio Magris s'est inspiré d'une figure légendaire de Trieste, Diego de Henriquez, pour ce personnage et le reste relève du génie inventif de l'auteur. Il fait revivre la période d'occupation nazie de cette ville des côtes de l'Adriatique, située à un endroit stratégique, à cheval entre plusieurs nations (autrichienne, slovène, italienne) et la notion de culpabilité et de responsabilité des édiles en poste alors que l'extermination des Juifs et la confiscation de leurs biens perduraient encore au printemps 1945. Et qu'un camp de détenus, couplé à un four crématoire, était en action non loin du centre de la ville, à la Rizerie, une ancienne usine de tri du riz. Un récit éloquent sur une période que l'on préfère oublier ou oblitérer; « On serre des mains, le sang coagulé sous les ongles a disparu depuis longtemps; l'Histoire, même encore jeune, est une bonne manucure. » Triestin, lui-même, Claude Magris m'a fait découvrir sa patrie sous un angle historique inédit avec ce récit d'une splendeur et d'une gravité sans égales.

Le parfum de ces livres que nous avons aimés

Par Will SCHWALBE
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Un livre que j’ai lu à sa sortie et que j’avais beaucoup aimé , ce rapport très émouvant entre la mère et le fils créé par leur amour pour les livres .

Le parfum de ces livres que nous avons aimés

Par Will SCHWALBE
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
C
Catou
Un livre profondément bouleversant, le témoignage d'amour d'un fils pour sa mère et un hommage à la littérature.... je n'avais pas envie d'arriver au mot "Fin" !!C'est un livre d'une grande délicatesse qui offrira du réconfort à de très nombreuses personnes traversant cet apprentissage complexe de l'accompagnement d'un proche... « Maman m'a appris à ne pas me voiler la face devant le pire, mais à toujours croire que nous étions tous capables de faire mieux. Elle n'a jamais vacillé dans sa conviction que les livres étaient l'outil le plus puissant de l'arsenal mis à la disposition des hommes, et que lire toutes sortes de livres, quel qu'en soit le format, électronique-même s'il ne lui convenait pas personnellement-, papier ou audio, était le meilleur moyen à la fois de se divertir et de prendre part à la conversation humaine. Maman m'a appris que nous pouvons agir sur le monde et que les livres sont vraiment importants : grâce à eux, nous savons ce que nous devons faire de nos vies et comment le dire aux autres » (p.399)

Ténèbre

Par Paul Kawczak
(4,17)
33 personnes apprécient ce livre
8 commentaires au sujet de ce livre
Dans les rivières, que serpentent les pages de ce magnifique roman, coule l'histoire d'une expédition plus grande que nature. Une grande aventure contemporaine sur la nature humaine et portée par un conteur de grand talent, teintée d'érotisme et de violence, digne des plus grands romans du genre. Entrez dans ce roman sans modération! Une grande lecture qui se démarque dans la rentrée littéraire de ce début d'année !

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Lecture en cours :

L'infini dans un roseau
Catégorie : Littérature
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Le Livre de poche. Documents
Paru le 3 avril 2023
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