Shaynning
Libraire @ Librairie Monet
Intérêts littéraires : Biographies, Jeunesse, Littérature, Psychologie, Arts, Bande dessinée, Loisirs

Activités de Shaynning

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Le donjon de Naheulbeuk T.2 : 1ere saison partie 2

Par John LANG et Marion Poinsot
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
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Le donjon de Naheulbeuk T.1 : 1ere saison partie 1

Par John LANG et Marion Poinsot
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Adaptation BD d'une émission radio du même nom et accessoirement d'un roman à l’appellation identique ( Ben tiens, on se complique pas la vie!) "Donjon de Naheulbeuk", c'est une parodie brute, sans censure ( ou si peu) et qui recoupe plusieurs univers très connu du monde fantastique. Bien sur, ce n'est peut-être pas un humour qui rejoindra tout le monde. J'ajouterais que plus vous êtes familiers avec l'univers en question, plus vous pourrez apprécier l'humour de cette série! Ancrés en tant que personnages dans leur propre rôles ( déjà très drôle comme concept) vous avez donc une brochette d'anti-héros qui cumulent manque d'expérience, maladresse et savoir-vivre déficitaire, ce qui , somme toute n'est pas totalement illogique pour des personnages débutant de Niveau 1. Combinez à cela certaines animosités naturelles, notamment entre le Nain et l'Elfe, un manque de leadership ( que tente de pallier le Ranger, mais en vain) et un QI plutôt bas pour l'ensemble de la trouble ( sauf peut-être la magicienne, qui a fait des études), vous obtenez un regroupement sans doute plus dangereux du fait de leur stupidité que de leur efficacité. Mais c'est ce qui fait leur charme! Fini les héros parfaits, sans peurs, sans reproche, à qui tout réussi. Ironiquement, vous aurez donc des personnages beaucoup plus humains du fait de la présence de défauts et de manque de jugement chez eux. Parmis les univers que vous entre-apercevrez, le "Seigneur des Anneaux" est sans doute le plus flagrant ( enfin, selon moi), avec ses vastes territoires, la composition du groupe des héros, les races en présence, les noms empruntés et bien sur, les références plus ou moins directes. Mais en cours de route, vous trouverez aussi certaines incarnations plus ou moins directes aux univers de Skyrim, Harry Potter, Retours vers le futur, Star Wars, Tomb Raider, et sans doute tellement d'autres. Bref, c'est un univers déjanté, qui oscille entre humour absurde, noir et ironique, qui se rit des conventions et met à bas les stéréotypes. Le seul humour qui ne me revient pas est l'humour anal, mais bon, ça ne m'a pas empêcher que cette BD/roman/radio ça fait changement! Le dessin est appeler à évoluer et ce sera d'autant plus visible qu'en-t-à la taille des personnages, qui va en grandissant. Les couleurs aussi seront appelées à s'améliorer, pour notre plus grand plaisir! J'ai beaucoup aimé la structure des personnages, avec les yeux collés, presque fusionnés, leurs traits de caricature et leurs têtes disproportionnées. C'est un style que je n'avais jamais vu et j,apprécie toujours de découvrir des coups de plume différents. Côté organisation, c'est très bien fait, rempli d'action, parfois même de clin d’œils, qui peuvent nous échapper si on ne regarde pas le case en entier. Et cette mouche qui ponctue de sa présence le récit, c,est bien trouvé aussi. C'est un quelque sorte un membre de la troupe et par son non-verbal, on comprend tout ce qu'elle ressent, faut de pouvoir parler. Une belle découverte!
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Dix Petits Nègres

Par Agatha Christie
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Dix personnes sont invitées à un manoir situé sur une île par un mystérieux inconnu, mais ce n'est pas lui qu'ils trouveront. Un meurtrier fait partis des dix et assassine selon les vers d'une chanson d'enfant, les «Dix petits nègres». Les survivants tentent d'élucider l'affaire, mais le meurtrier est convaincu d'avoir mit en scène le «crime indéchiffrable parfait». C'est un classique dans le monde des polars. Avec cette comptine sinistre qui ponctue les évènements troublants se déroulant sur l'île, on est vitre grisé par le suspense de ce petit livre. Assurément efficace, dirait-on. Et à lire au moins une fois.J'ai tendance à penser que moins on en dit sur son contenu, mieux se portera votre lecture. Alors, motus et allez le lire!
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Dix petits nègres

Par Agatha Christie
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
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Dix personnes sont invitées à un manoir situé sur une île par un mystérieux inconnu, mais ce n'est pas lui qu'ils trouveront. Un meurtrier fait partis des dix et assassine selon les vers d'une chanson d'enfant, les «Dix petits nègres». Les survivants tentent d'élucider l'affaire, mais le meurtrier est convaincu d'avoir mit en scène le «crime indéchiffrable parfait». C'est un classique dans le monde des polars. Avec cette comptine sinistre qui ponctue les évènements troublants se déroulant sur l'île, on est vitre grisé par le suspense de ce petit livre. Assurément efficace, dirait-on. Et à lire au moins une fois.J'ai tendance à penser que moins on en dit sur son contenu, mieux se portera votre lecture. Alors, motus et allez le lire!
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Dix Petits Nègres

Par Agatha Christie
(3,0)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
[Réécriture de la critique du 18 nov 2019 en ce jour du 2 mars 2021] "Dix petits Nègres", est maintenant intitulé "Ils étaient dix" dont la comptine fut modifiée dans la foulée de dénonciations de certains termes liés à la ségrégation raciale. Le terme n'était pas employé à des fins discriminatoires dans le livre. Il ne s'agissait que d'une vieille comptine pour enfant, qui date d'une autre époque, tout comme ce livre. Maintenant, l'Île du Nègre se nomme "L'île du soldats et il en va de même pour la comptine. Dix personnes sont invitées à un manoir situé sur une île par un mystérieux inconnu, mais ce n'est pas lui qu'ils trouveront. Un meurtrier fait partis des dix . Les survivants tentent d'élucider l'affaire, mais le meurtrier est convaincu d'avoir mit en scène le «crime indéchiffrable parfait». C'est un classique dans le monde des polars. Et pourtant...et pourtant. Je viens de terminer la lecture d'une longue et pointilleuse critique d'un autre Lecteur et ce qu'il a à dire sur le sujet viens de changer mon opinion face à ce roman. J'ai lu ce livre étant ado et je constate que je manquais d'expérience et de lucidité, visiblement. Je garde un très bon souvenir de ce roman, qui est captivant, assurément. Néanmoins, à la lecture de ladite critique, je suis aussi d'avis qu'il manque une chose au roman: une certaine logique. Je ne vais pas réécrire tout ce que j'ai lu, mais essentiellement, il y a en effet des invraisemblances, voir des "facilités" accommodantes dans le livre. La tempête est un excellent exemple. S'il y a bien quelques choses sur lesquelles nous n'avons pas d'emprise, ce sont bien les caprices de Dame Nature. Et pourtant, le scénario macabre élaboré par le criminel en présence repose sur le fait que les dix victimes doivent impérativement se retrouver bloqués sur l'Île. Comment alors s'est-il assuré d'avoir la tempête pour les retenir prisonnier? Et s'il avait fait beau? Même nos chaines de météo ne savent pas prédire au delà d'un certain nombre de jours, alors imaginez à l'époque. Autre exemple: la difficulté géographique. Comme le faisait remarquer le lecteur, et ce en tenant compte de l'époque en plus, comment expliquer que dix personnes aient accepté de se rendre sur une île aussi difficile d'accès, pour des raisons plutôt maigres? Et que personne ne se soit désisté pour cette simple raison? Bref, sans élaborer plus, je vois bien qu'en effet, c'est un scénario qui souffre d'invraisemblances. Et comme c'est un aspect qui aujourd'hui me saute aux yeux dans mes lectures et que je n'apprécie pas du tout, ce serait hypocrite de laissé cette note parfaite à ce livre, même s'il est glorifié au panthéon des polars. Ce qui m'amène justement à me dire que nous avons peut-être tendance à surévaluer les "classiques" simplement parce que ce sont des classiques et que l'avis général est positif - un peu comme ce navet de "Fascination" qui a séduit des millions de gens avec un scénario dont l'incohérence grossière n'a d'égal que la toxicité de ses rapports sociaux - et c'est pourquoi je réécris ma critique aujourd'hui. Il est possible également que pour l'époque de Christie, le lectorat n'avait guère de comparatifs pour se faire une idée de ce qui peut être cohérent ou non dans une histoire, mais avec l'incroyable nombre de polars aujourd'hui, et à cela s'ajoute une considérable amélioration de nature éducative de la population, il est plus difficile de pardonner ce manque de rigueur. Quoiqu'il en soit, je ne pense pas que du jour au lendemain, les gens se mettent à considérer "Ils étaient dix" autrement que comme un "Chef d'oeuvre", mais je vous invite à approfondir vos réflexions au-delà de la simple célébrité d'un roman.
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Divergence T.3: Allégeance

Par Veronica Roth
(4,0)
2 personnes apprécient ce livre
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Divergence T.2: Insurgés

Par Veronica Roth
(4,0)
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Divergence T.2: Insurgés

Par Veronica Roth
(4,0)
3 personnes apprécient ce livre
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Divergence T.1

Par Veronica Roth
(4,0)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
"Divergente" est une "bonne" dystopie dans le genre d'univers qu'il représente, à savoir "romance sur fond de conflit". Par contre, j'ai encore l'impression que lorsqu'il s'agit d'une héroïne, il lui faut un impératif masculin, dans ce cas-ci le pseudo bad-boy Quatre. le personnage de Tris Prior était déjà assez intéressante sans avoir besoin de monsieur-enfance-souffrante pour la hisser encore plus haut. À quand une dystopie avec une jeune femme indépendante, ou à tout le moins, sans dépendance affective? Cette série avait déjà beaucoup de potentiel sans son côté guimauve amoureux. J'ai adoré l'idée des castres par qualités dominante ( même si associer cela à la génétique va à l'encontre de toute logique biologique- les "traits" n'étant pas "génétiques"), les sérums et l'idée de la "divergence" en elle-même. On sens très bien que cette société ne peut pas tenir indéfiniment. L'auteur a une bonne écriture, sans trop de temps morts. Comme pour Katniss dans "Hunger Games", nous sommes dans la tête de Tris. Ça peut avoir du bon, dans le sens où nous sommes près de ses émotions. Dans la trilogie, le premier est mon préféré. Aussi, il y a quelque chose d'un peu redondant avec ce genre de roman. La fille spéciale ( forcément) qui va sauver le monde - jamais seule, hein! parce que tout le monde sait qu'une ado, ça lui prend un mâle pour l'assister. Il y a quelque chose d'un peu triste quand même et c'est le fait que le message est toujours le même: ne soit pas ordinaire, soit la plus belle, la plus badass et n'oublie pas de te trouver un mâle sexy - ténébreux et torturé de préférence - comme ça tu pourras le sauver et ainsi prouver au monde que tu es non seulement une sauveuse de monde, mais aussi un sauveuse de gars. C'est démesuré, à la juste mesure des idéaux typiquement américains. Et si c'est distrayant comme personnage, c'est aussi très peu réaliste. Et ce qui est une fois encore malheureux, c'est que n'eut été de sa divergence, Tris n'aura sans doute jamais chercher en elle un quelque potentiel que ce soit, parce que dès lors, elle aurait été "ordinaire". Quitte à faire une critique, autant aller sur les éléments un peu moins reluisants: La façon de l'autrice de traiter les "qualités" me semble, avec le recul, dérangeant. Bien sur, nous sommes avec les "audacieux", quoi d'autre? Visiblement, pour les autrices des USA, seuls les Bad boys et les supposées-bad-girls sont intéressant.e.s. Ils ont encore une aversion contre les couleurs, portent des tatouages ( sont les seuls autorisé à en avoir d'ailleurs) et sautent dans des trains en marche. Personnellement, je trouve que c'est une vision édulcorée et très hollywoodienne de "l'audace". Où sont les vrais rebelles? Les serveur.e.s de causes, les idéalistes, les révolutionnaires? Ceux qui inventent, qui osent dénoncer et qui peuvent être tout aussi bien des Intellos que des geeks, plutôt que des gros bras mou du cerveau? Parce que soyons francs, ces "audacieux" là sont en réalité l'armée personnelle de la ville. Même son de cloche pour les Fraternels, quasi-absents du portrait, tout gentils et dont le sérum rend débile. Belle vision de ce qui pourtant rendrait franchement service à l'humanité. Les "altruistes", enfin, qui devraient être une des plus grandes qualités de l'humanité, est présentée comme un effacement de soi, un groupe de "pet-secs", merci pour le surnom péjoratif. Alors comme ça, penser aux autres, servir le bien commun, c'est ne jamais penser à soi? Je ne suis pas sur de comprendre la vision de l'autrice face aux 5 groupes. Ils me semblent incomplets, puérils, manichéens même. Bon, c'est une dystopie, on dira, mais quand même, il y avait de la place pour nuancer davantage et moins tomber dans les gros clichés. L'ado que j'étais les a malheureusement intégré sans remarquer leur manque de consistance, mais l'adulte que je suis devenue fait maintenant des constats navrants, comme pour le film "Breakfast Club", qui avait les mêmes défauts.Bref. Ç'eut été une lecture divertissante, mais maintenant que je me retrouve libraire jeunesse et que j'ai eu le temps de faire beaucoup de lectures dans ce rayon, il ne me reste de ce roman qu'un lointain souvenir d'une fille qui a eu la chance d'être entouré d'adultes pas très intelligents, d'un bady-boy aussi inutile que surfait et un univers intéressant qui est une fois de plus passé de "dystopie" à "Romance sur fond de conflit". Et donc, qui ne se distingue guère d'un paquet d'autres romans de ce sous-sous-genre destinée aux filles. Pour un lectorat du premier cycle secondaire, 13 ans+.
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Divergence T.1

Par Veronica Roth
(3,0)
2 personnes apprécient ce livre
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"Divergente" est une "bonne" dystopie dans le genre d'univers qu'il représente, à savoir "romance sur fond de conflit". Par contre, j'ai encore l'impression que lorsqu'il s'agit d'une héroïne, il lui faut un impératif masculin, dans ce cas-ci le pseudo bad-boy Quatre. le personnage de Tris Prior était déjà assez intéressante sans avoir besoin de monsieur-enfance-souffrante pour la hisser encore plus haut. À quand une dystopie avec une jeune femme indépendante, ou à tout le moins, sans dépendance affective? Cette série avait déjà beaucoup de potentiel sans son côté guimauve amoureux. J'ai adoré l'idée des castres par qualités dominante ( même si associer cela à la génétique va à l'encontre de toute logique biologique- les "traits" n'étant pas "génétiques"), les sérums et l'idée de la "divergence" en elle-même. On sens très bien que cette société ne peut pas tenir indéfiniment. L'auteur a une bonne écriture, sans trop de temps morts. Comme pour Katniss dans "Hunger Games", nous sommes dans la tête de Tris. Ça peut avoir du bon, dans le sens où nous sommes près de ses émotions. Dans la trilogie, le premier est mon préféré. Aussi, il y a quelque chose d'un peu redondant avec ce genre de roman. La fille spéciale ( forcément) qui va sauver le monde - jamais seule, hein! parce que tout le monde sait qu'une ado, ça lui prend un mâle pour l'assister. Il y a quelque chose d'un peu triste quand même et c'est le fait que le message est toujours le même: ne soit pas ordinaire, soit la plus belle, la plus badass et n'oublie pas de te trouver un mâle sexy - ténébreux et torturé de préférence - comme ça tu pourras le sauver et ainsi prouver au monde que tu es non seulement une sauveuse de monde, mais aussi un sauveuse de gars. C'est démesuré, à la juste mesure des idéaux typiquement américains. Et si c'est distrayant comme personnage, c'est aussi très peu réaliste. Et ce qui est une fois encore malheureux, c'est que n'eut été de sa divergence, Tris n'aura sans doute jamais chercher en elle un quelque potentiel que ce soit, parce que dès lors, elle aurait été "ordinaire". Quitte à faire une critique, autant aller sur les éléments un peu moins reluisants: La façon de l'autrice de traiter les "qualités" me semble, avec le recul, dérangeant. Bien sur, nous sommes avec les "audacieux", quoi d'autre? Visiblement, pour les autrices des USA, seuls les Bad boys et les supposées-bad-girls sont intéressant.e.s. Ils ont encore une aversion contre les couleurs, portent des tatouages ( sont les seuls autorisé à en avoir d'ailleurs) et sautent dans des trains en marche. Personnellement, je trouve que c'est une vision édulcorée et très hollywoodienne de "l'audace". Où sont les vrais rebelles? Les serveur.e.s de causes, les idéalistes, les révolutionnaires? Ceux qui inventent, qui osent dénoncer et qui peuvent être tout aussi bien des Intellos que des geeks, plutôt que des gros bras mou du cerveau? Parce que soyons francs, ces "audacieux" là sont en réalité l'armée personnelle de la ville. Même son de cloche pour les Fraternels, quasi-absents du portrait, tout gentils et dont le sérum rend débile. Belle vision de ce qui pourtant rendrait franchement service à l'humanité. Les "altruistes", enfin, qui devraient être une des plus grandes qualités de l'humanité, est présentée comme un effacement de soi, un groupe de "pet-secs", merci pour le surnom péjoratif. Alors comme ça, penser aux autres, servir le bien commun, c'est ne jamais penser à soi? Je ne suis pas sur de comprendre la vision de l'autrice face aux 5 groupes. Ils me semblent incomplets, puérils, manichéens même. Bon, c'est une dystopie, on dira, mais quand même, il y avait de la place pour nuancer davantage et moins tomber dans les gros clichés. L'ado que j'étais les a malheureusement intégré sans remarquer leur manque de consistance, mais l'adulte que je suis devenue fait maintenant des constats navrants, comme pour le film "Breakfast Club", qui avait les mêmes défauts.Bref. Ç'eut été une lecture divertissante, mais maintenant que je me retrouve libraire jeunesse et que j'ai eu le temps de faire beaucoup de lectures dans ce rayon, il ne me reste de ce roman qu'un lointain souvenir d'une fille qui a eu la chance d'être entouré d'adultes pas très intelligents, d'un bady-boy aussi inutile que surfait et un univers intéressant qui est une fois de plus passé de "dystopie" à "Romance sur fond de conflit". Et donc, qui ne se distingue guère d'un paquet d'autres romans de ce sous-sous-genre destinée aux filles. Pour un lectorat du premier cycle secondaire, 13 ans+.
Shaynning a apprécié, commenté et noté ce livre

Le prince de la brume

Par Carlos RUIZ ZAFÓN
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Mélange de polar, de fantastique et d'aventure, l'auteur nous monte ici une fable terrifiante qui nous plonge dans un concert d'émotions. Avec un antagoniste qui nous évoque le terrifiant personnage clownesque du roman "Ça", de Stephen King et une malédiction qui évoque la légende maritime de Davy Jones, on a ici une histoire palpitante qui nous fait retenir notre souffle jusqu'à la fin. Comme quoi même un bel été et une plage magnifique peuvent être témoins d'une histoire sinistre. Seul constat, qui n'est ni négatif ni positif: Max ne fait pas ses treize ans, selon moi, car il réfléchit avec une maturité presque trop grande pour un jeune homme de cet âge. C'est certainement ce qu'on appel "une vieille âme", mais c'est plaisant. Même constat pour Alicia. C'est mon premier roman de cet auteur.Assurément, je vais lire ses autres oeuvres, compte tenu de la qualité de sa plume, de son style et de son sens du rythme. À lire, définitivement.
Shaynning a commenté et noté ce livre

Le prince de la brume

Par Carlos RUIZ ZAFÓN
(4,0)
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Mélange de polar, de fantastique et d'aventure, l'auteur nous monte ici une fable terrifiante qui nous plonge dans un concert d'émotions. Avec un antagoniste qui nous évoque le terrifiant personnage clownesque du roman "Ça", de Stephen King et une malédiction qui évoque la légende maritime de Davy Jones, on a ici une histoire palpitante qui nous fait retenir notre souffle jusqu'à la fin. Comme quoi même un bel été et une plage magnifique peuvent être témoins d'une histoire sinistre. Seul constat, qui n'est ni négatif ni positif: Max ne fait pas ses treize ans, selon moi, car il réfléchit avec une maturité presque trop grande pour un jeune homme de cet âge. C'est certainement ce qu'on appel "une vieille âme", mais c'est plaisant. Même constat pour Alicia. C'est mon premier roman de cet auteur.Assurément, je vais lire ses autres oeuvres, compte tenu de la qualité de sa plume, de son style et de son sens du rythme. À lire, définitivement.
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Le Prince de la brume

Par Carlos RUIZ ZAFÓN
(4,0)
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Mélange de polar, de fantastique et d'aventure, l'auteur nous monte ici une fable terrifiante qui nous plonge dans un concert d'émotions. Avec un antagoniste qui nous évoque le terrifiant personnage clownesque du roman "Ça", de Stephen King et une malédiction qui évoque la légende maritime de Davy Jones, on a ici une histoire palpitante qui nous fait retenir notre souffle jusqu'à la fin. Comme quoi même un bel été et une plage magnifique peuvent être témoins d'une histoire sinistre. Seul constat, qui n'est ni négatif ni positif: Max ne fait pas ses treize ans, selon moi, car il réfléchit avec une maturité presque trop grande pour un jeune homme de cet âge. C'est certainement ce qu'on appel "une vieille âme", mais c'est plaisant. Même constat pour Alicia. C'est mon premier roman de cet auteur.Assurément, je vais lire ses autres oeuvres, compte tenu de la qualité de sa plume, de son style et de son sens du rythme. À lire, définitivement.
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Le prince de la brume

Par Carlos RUIZ ZAFÓN
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Mélange de polar, de fantastique et d'aventure, l'auteur nous monte ici une fable terrifiante qui nous plonge dans un concert d'émotions. Avec un antagoniste qui nous évoque le terrifiant personnage clownesque du roman "Ça", de Stephen King et une malédiction qui évoque la légende maritime de Davy Jones, on a ici une histoire palpitante qui nous fait retenir notre souffle jusqu'à la fin. Comme quoi même un bel été et une plage magnifique peuvent être témoins d'une histoire sinistre. Seul constat, qui n'est ni négatif ni positif: Max ne fait pas ses treize ans, selon moi, car il réfléchit avec une maturité presque trop grande pour un jeune homme de cet âge. C'est certainement ce qu'on appel "une vieille âme", mais c'est plaisant. Même constat pour Alicia. C'est mon premier roman de cet auteur.Assurément, je vais lire ses autres oeuvres, compte tenu de la qualité de sa plume, de son style et de son sens du rythme. À lire, définitivement.
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Charlie

Par Stephen King et F. M. Lennox
(4,5)
3 personnes apprécient ce livre
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