Activités de Shaynning

J'ai trouvé cette BD au hasard dans le rayon des BD adultes et en raison de son titre intriguant et de ses dessins colorés magnifiques, il fallait que je les découvre. Et je ne suis pas déçue. BD aux allures dystopiques et post-apocalyptique, on retrouve les humains après ce qu'ils appellent "la vague blanche", un fléau de créatures carnivores qui ont décimer la population mondiale. Les survivants vivent dans des réserves fortifiés avec peu de ressources. Dans ce contexte, les frères Archibald (Archer), 18 ans, et Zackarias (Zack), 16 ans, rejoignent la zone 16. Orphelins, et donc peu considérés, les deux frères ont de fort tempérament et ne sont pas du genre à suivre. Ils font la connaissance d'un village peuplé de gens désabusés et rigides qui ne supportent pas les trouble fête et qui régissent la vie de règles plus ou moins justes. Pourtant, malgré une chef aux épaules solides, il existe des personnes cruelles, corrompus et même cinglées. Dans ce village, les seuls qui semblent indisposés sont les adolescents, qui refusent de suivre le dictat des aînés, spécialement Holden, chef d'un petit gang de délinquants. Bref, une histoire de survie. Très beau graphisme aux paysages époustouflants, couleurs riches, bonne histoire, une BD à découvrir.

Toujours ce style d'écriture efficace et clair que j'aime beaucoup chez Leigh Bardugo, mais Grisha n'est pas aussi rythmé et captivant que Six of Crows. Par contre, c'est une bonne œuvre. Il faut dire que Grisha est écrit à la première personne et se concentre que sur Alina, ce qui change de son autre série. C'est également plaisant de découvrir Ravka, après en avoir entendu si souvent parler dans Six of Crows. C'est le pays de Nina Zenik, entre autre. La suite promet de faire découvrir d'autre horizons de son monde et de nouveaux personnages, alors vivement la suite! Alina Starkov est orpheline depuis ses huit ans et fait aujourd'hui parti de la Première Armée en tant que cartographe. Nous sommes à Ravka, un pays en guerre depuis longtemps et coupé de ses côtes par un phénomène maléfique engendré par un Darkling, le plus puissant genre de Grisha. Alors qu'elle et son ami d'enfance Mal sont sur le point de faire leur première traversée de cette zone, nommée Shadow Fold, Alina est loin de se douter que cette traversée périlleuse changera sa vie. Alors qu'ils étaient attaqués par les volcras, sorte de créatures dragoniques aveugles qui peuplent le Shadow Fold, elle sauve Mal, son meilleur ami, en libérant un pouvoir unique. Il apparaît qu'elle est en réalité une Grisha qui invoque la lumière, du jamais vu. Prise sous l’aile du Darkling actuel, elle doit perfectionner son pouvoir, mais non sans peines. La nouvelle Grisha sera vite désenchantée: cette nouvelle vie qui semble faire d'elle une sauveuse n'est qu'un beau rêve qui vole en éclat lorsqu'elle découvre les réelles intentions du Darkling au sujet du Fold Shadow et de sa jeune protégée.

Toujours ce style d'écriture efficace et clair que j'aime beaucoup chez Leigh Bardugo, mais Grisha n'est pas aussi rythmé et captivant que Six of Crows. Par contre, c'est une bonne œuvre. Il faut dire que Grisha est écrit à la première personne et se concentre que sur Alina, ce qui change de son autre série. C'est également plaisant de découvrir Ravka,après en avoir entendu si souvent parler dans Six of Crows. C'est le pays de Nina Zenik, entre autre. La suite promet de faire découvrir d'autre horizons de son monde et de nouveaux personnages, alors vivement la suite! Alina Starkov est orpheline depuis ses huit ans et fait aujourd'hui parti de la Première Armée en tant que cartographe. Nous sommes à Ravka, un pays en guerre depuis longtemps et coupé de ses côtes par un phénomène maléfique engendré par un Darkling, le plus puissant genre de Grisha. Alors qu'elle et son ami d'enfance Mal sont sur le point de faire leur première traversée de cette zone, nommée Shadow Fold, Alina est loin de se douter que cette traversée périlleuse changera sa vie. Alors qu'ils étaient attaqués par les volcras, sorte de créatures dragoniques aveugles qui peuplent le Shadow Fold, elle sauve Mal en libérant un pouvoir unique. Il apparaît qu'elle est en réalité une Grisha qui invoque la lumière, du jamais vu. Prise sous l’aile du Darkling actuel, elle doit perfectionner son pouvoir, mais non sans peines. La nouvelle Grisha sera vite désenchantée: cette nouvelle vie qui semble faire d'elle une sauveuse n'est qu'un beau rêve qui vole en éclat lorsqu'elle découvre les réelles intentions du Darkling au sujet du Fold Shadow et de sa jeune protégée.

Histoire touchante entre un vieux libraire retraitée et atteint de la maladie de Parkinson et un jeune homme à qui la lecture a fait défaut. Une belle résonance entre deux générations et bien sur, un livre remplis de livres! Travaillant dans une résidence pour aînés, Grégoire fait la connaissance du "libraire". Désormais confiné à son petit appartement, le libraire a du se départir de 27 000 livres, ne gardant que 3 milles, ses préférés. Le mauvais sort s'acharne contre le vieux passionné des livres lorsque la maladie de Parkinson ne lui permet plus de tenir un livre. C'est là qu'intervient Grégoire, qui lui servira de Lecteur. Nait alors une grande complicité entre ses deux hommes, dont les livres ne sont pas les seuls sujets de conversations. Le libraire est aussi homosexuel et sa vie a été passée dans les difficultés et l’ostracisation généré par ce statut. Bientôt, Grégoire et lui pousse l'idéal des Lettres plus loin: la "résistance" s'organise! Dans ce bâtiment où on laisse mourir les vieux loin des honnêtes citoyens, ils tentent d’insuffler l'espoir, le plaisir et la joie que procurent les romans aux autres résidents. Et pour Grégoire, c’est peut-être aussi l’occasion de vivre un premier amour avec l'une des infirmières aussi jolie que vive d'esprit qui s'occupe de l'étage. Un beau roman pertinent, touchant et parfois drôle qui fait sonner la corde littéraire en chacun de nous....enfin, pour ceux qui l'ont découverte!

Histoire touchante entre un vieux libraire retraitée et atteint de la maladie de Parkinson et un jeune homme à qui la lecture a fait défaut. Une belle résonance entre deux générations et bien sur, un livre remplis de livres! Travaillant dans une résidence pour aînés, Grégoire fait la connaissance du "libraire". Désormais confiné à son petit appartement, le libraire a du se départir de 27 000 livres, ne gardant que 3 milles, ses préférés. Le mauvais sort s'acharne contre le vieux passionné des livres lorsque la maladie de Parkinson ne lui permet plus de tenir un livre. C'est là qu'intervient Grégoire, qui lui servira de Lecteur. Nait alors une grande complicité entre ses deux hommes, dont les livres ne sont pas les seuls sujets de conversations. Le libraire est aussi homosexuel et sa vie a été passée dans les difficultés et l’ostracisation généré par ce statut. Bientôt, Grégoire et lui pousse l'idéal des Lettres plus loin: la "résistance" s'organise! Dans ce bâtiment où on laisse mourir les vieux loin des honnêtes citoyens, ils tentent d’insuffler l'espoir, le plaisir et la joie que procurent les romans aux autres résidents. Et pour Grégoire, c’est peut-être aussi l’occasion de vivre un premier amour avec l'une des infirmières aussi jolie que vive d'esprit qui s'occupe de l'étage. Un beau roman pertinent, touchant et parfois drôle qui fait sonner la corde littéraire en chacun de nous....enfin, pour ceux qui l'ont découverte!

"Huis clos" et son célèbre "L'enfer , c'est les autres", c'est quelque chose qui ne s’oublie pas. La preuve? J'écris ce commentaire quelques quinze printemps plus tard. Oui, l'enfer, c'est les autres, puisque nous existons en fonction des autres. La douleur engendré par le mépris, le jugement, la différence, l'amour ne sont-elles pas aussi douloureuses que le serait la douleur physique? Ce que les autres voient de nous est-il le beau portrait que nous tentons de faire de nous-même, ou le reflet d'un soi réel que nous ne voulons pas toujours assumer? Cette pièce de théâtre est à la fois comique et philosophique, voir un chouia psychologique. On peut le voir positivement et négativement, tout est relatif. Une chose demeure, la dimension 'infernale" de Sartre vous fera percevoir le monde dans un nouvel angle.

On a de l'action encore plus dans ce tome et on a finalement le fin mot de l'histoire, qui n'est pas sans une certaine prévisibilité, personnellement. La fin manque de détails, car certaines questions n'ont pas de réponses. Mention au Grand-père de Gwen, Lucas, un homme fort sympathique, un peu nerveux et qui a peur du sang, mais vif d'esprit. Au final, je garde surtout de cette trilogie l'humour de l'autrice, ses personnages colorés - excepté le taciturne Gidéon, qui ne me revient toujours pas, et dont le final m'est carrément resté en travers de la gorge. Quand les hommes couillons comme Gidéon connaitront enfin la fin qu,ils méritent ( genre un oubli collectif?). Désolé, mon gars, une belle gueule ne va jamais justifier de se comporter en trou-de-cul. Bref, final très décevant et révélation presque choquante de déjà-vu. Résumé maison: Après ses déboires amoureux avec le "beau" Gideon, Gwen se plonge plus que jamais dans la conspiration avec l'aide de sa meilleure amie plutôt maligne, Lesley, et de son grand-père jeune de ses trente ans dans le passé. Non seulement Gwen découvre-t-elle que son grand-père a caché un objet de grande valeur dans sa propre maison, mais que le-dit objet pourrait l'amener à rencontrer les deux rebelles à la cause, Lucy et Paul. Si elle commence à cerner un peu mieux les enjeux de la fermeture du cercle par le sang des douze voyageurs, voilà qu'elle découvre une vérité effrayante en ce qui concerne son avenir. Une vérité qui la met en danger, mais qui ramène Gideon vers elle pour un ultime défis: vaincre le comte Saint-Germain. Ce dernier avait cependant plus d'un tour dans son sac. À ranger dans la zone "On ne s'en ennuiera pas".

On a de l'action encore plus dans ce tome et on a finalement le fin mot de l'histoire, qui n'est pas sans une certaine prévisibilité, personnellement. La fin manque de détails, car certaines questions n'ont pas de réponses. Mention au Grand-père de Gwen, Lucas, un homme fort sympathique, un peu nerveux et qui a peur du sang, mais vif d'esprit. Au final, je garde surtout de cette trilogie l'humour de l'autrice, ses personnages colorés - excepté le taciturne Gidéon, qui ne me revient toujours pas malgré le final - et sa plume enjouée. Résumé maison: Après ses déboires amoureux avec le beau Gideon, Gwen se plonge plus que jamais dans la conspiration avec l'aide de sa meilleure amie plutôt maligne, Lesley, et de son grand-père jeune de ses trente ans dans le passé. Non seulement Gwen découvre-t-elle que son grand-père a caché un objet de grande valeur dans sa propre maison, mais que le-dit objet pourrait l'amener à rencontrer les deux rebelles à la cause, Lucy et Paul. Si elle commence à cerner un peu mieux les enjeux de la fermeture du cercle par le sang des douze voyageurs, voilà qu'elle découvre une vérité effrayante en ce qui concerne son avenir. Une vérité qui la met en danger, mais qui ramène Gideon vers elle pour un ultime défis: vaincre le comte Saint-Germain. Ce dernier avait cependant plus d'un tour dans son sac.

La voyageuse dans le temps poursuit ses sauts dans le temps, avec plus de questions et toujours peu de réponses, jusqu'au jour où elle "élapse" dans une cave en 1948. Elle rencontre alors son grand-père, Lucas, qui a un peu plus que son âge. S'ils collaborent pour tenter de comprendre la situation, Gwendolyn se met pourtant les pieds dans les plats, car on la soupçonne d'être une traîtresse au sein du Cercle. La jeune femme n'a pourtant aucune raisons de trahir, puisqu'elle est un peu trop occupée avec ses sentiments amoureux pour Gideon, son compagnon voyageur. L'apparition de Xemerius, un petit gargouillot-démon particulièrement espiègle et soutenant, et du frère de Gideon, Raphaël, vont contrebalancer les forces en présence autours de Gwen. De plus, a présence de sa cousine Charlotte et d'un urluberlu de la mode, Giordano, ne va certainement pas l'aider! Même si, en théorie, ils sont présent afin de la préparer à rencontrer le Conte Saint-Germain lors d'un bal, près d'un siècle plus tôt. Si Gwen est un personnage plutôt comique en raison de ses réflexions, de ses comparaisons et de certains de ses comportements, Xémérius est un personnage vraiment drôle et attachant! Il y a toujours de l'action, de belles tenues, des échanges cocasses, une histoire d'amour compliqué entre Gideon et Gwen, désespérément prévisible Somme toute, c'est tout de même agréable à lire.

La voyageuse dans le temps poursuit ses sauts dans le temps, avec plus de questions et toujours peu de réponses, jusqu'au jour où elle "élapse" dans une cave en 1948. Elle rencontre alors son grand-père, Lucas, qui a un peu plus que son âge. S'ils collaborent pour tenter de comprendre la situation, Gwendolyn se met pourtant les pieds dans les plats, car on la soupçonne d'être une traîtresse au sein du Cercle. La jeune femme n'a pourtant aucune raisons de trahir, puisqu'elle est un peu trop occupée avec ses sentiments amoureux pour Gideon, son compagnon voyageur. L'apparition de Xemerius, un petit gargouillot-démon particulièrement espiègle et soutenant, et du frère de Gideon, Raphaël, vont contrebalancer les forces en présence autours de Gwen. De plus, a présence de sa cousine Charlotte et d'un urluberlu de la mode, Giordano, ne va certainement pas l'aider! Même si, en théorie, ils sont présent afin de la préparer à rencontrer le Conte Saint-Germain lors d'un bal, près d'un siècle plus tôt. Si Gwen est un personnage plutôt comique en raison de ses réflexions, de ses comparaisons et de certains de ses comportements, Xémérius est un personnage vraiment drôle et attachant! Il y a toujours de l'action, de belles tenues, des échanges cocasses, une histoire d'amour compliqué entre Gideon et Gwen, désespérément prévisible Somme toute, c'est tout de même agréable à lire.