Activités de Shaynning

Fainéant et souffrant d'un manque de coordination manifeste, Louca est un ado pour qui il vaut mieux se tenir loin de toute activité physique. Par contre, niveau élocution, Louca est un sacré baratineur! Enfin, bref. Louca fait la rencontre, pour le moins déconcertante, d'un joueur de soccer, Nathan, qui l'étrange particularité d'être un fantôme. Ce grand blond sympathique est aussi un des meilleurs joueurs de soccer que leur école ait connu. Bien décidé à redonner à l'équipe ses lettres de noblesse, Nathan entrainera Louca. Après tout, il y a une équipe rivale à battre et une jolie fille à impressionner! Nathan et Louca forment un beau tandem, chacun avec ses qualités et défauts, le tout dans une ambiance divertissante et comique. Enfin une Bd sur le soccer, qui plus est! Une très belle Bd niveau dessin.

Fainéant et souffrant d'un manque de coordination manifeste, Louca est un ado pour qui il vaut mieux se tenir loin de toute activité physique. Par contre, niveau élocution, Louca est un sacré baratineur! Enfin, bref. Louca fait la rencontre, pour le moins déconcertante, d'un joueur de soccer, Nathan, qui l'étrange particularité d'être un fantôme. Ce grand blond sympathique est aussi un des meilleurs joueurs de soccer que leur école ait connu. Bien décidé à redonner à l'équipe ses lettres de noblesse, Nathan entrainera Louca. Après tout, il y a une équipe rivale à battre et une jolie fille à impressionner! Nathan et Louca forment un beau tandem, chacun avec ses qualités et défauts, le tout dans une ambiance divertissante et comique. Enfin une Bd sur le soccer, qui plus est! Une très belle Bd niveau dessin.

Fainéant et souffrant d'un manque de coordination manifeste, Louca est un ado pour qui il vaut mieux se tenir loin de toute activité physique. Par contre, niveau élocution, Louca est un sacré baratineur! Enfin, bref. Louca fait la rencontre, pour le moins déconcertante, d'un joueur de soccer, Nathan, qui l'étrange particularité d'être un fantôme. Ce grand blond sympathique est aussi un des meilleurs joueurs de soccer que leur école ait connu. Bien décidé à redonner à l'équipe ses lettres de noblesse, Nathan entrainera Louca. Après tout, il y a une équipe rivale à battre et une jolie fille à impressionner! Nathan et Louca forment un beau tandem, chacun avec ses qualités et défauts, le tout dans une ambiance divertissante et comique. Enfin une Bd sur le soccer, qui plus est! Une très belle Bd niveau dessin.

Une suite toute en action et en injustice, car plus que jamais, les abus sociétaires sont présents. Étienne et Lilou ont réussi à empêcher Kowalski et Marchand de poursuivre l’extraction des ondes bêta par des moyens abusifs et malveillants du monde d'Étienne. Par conséquent, Lilou et sa famille deviennent des fugitifs traqués par les sbires de Kowalski et le gouvernement cherche une autre source d'ondes bêta afin de rétablir la source première d'énergie. Cependant, Kowalski et Marchand se tournent vers un nouveau moyen qui est pire que le précédent: ils créent un monde prison où les prisonniers sont soumis à un traitement horrible et éthiquement immoral, voir cruel. Ce second opus met de l'avant une dystopie plus terrible encore que dans le premier tome ou des êtres humains sont torturés psychologiquement au nom du "bien commun". Pire, il est question de favoriser l'élite , en plus d’engendrer des arrestations arbitraires et de réprimer la population de plus en plus révoltée. Un très bon livre avec une plume agréable!

Wow, difficile d'être indifférent à ce petit livre! Du point de vue de Lilou, 12-13 ans, on a ici une dystopie- un univers futur où les individus ne nagent pas dans le bonheur et une planète qui a frôlé l'annihilation sans se relever complètement. Du point de vue d'Étienne,16-17 ans nous sommes dans notre présent normal. C'est un récit palpitant de deux mondes parallèles, de rêves comme source d'énergie, de mondes de rêves créés informatiquement tous plus incroyables les uns que les autres et de deux adolescents qui défient les règles établies entre les frontières de l'espace et de la psyché. Dans ce premier opus, on voit Étienne et Lilou se découvrir une complicité et une amitié naissante, rapprochés par un lègue familial commun hors du commun. Il y a beaucoup d'action, plusieurs références amusantes et un univers fort créatif. C'est également un récit qui met en valeur l'importance de faire attention à notre précieuse planète. Je le recommande fortement aux jeunes comme aux grands!

Cette trologie perturbe, choque et au final, on ne s'en remet pas tout à fait. C'est le pouvoir des grands livres, selon moi, que de se s'accaparer d'une part de notre mémoire et de nous instruire. Les horreurs de la guerre sont abstraites pour les enfants de la paix que nous sommes, pour la plupart. C'est donc grâce à des auteurs telles qu'Agotha Kristov que nous pouvons nous approchez un temps soit peu de ses horreurs et encore! Sans doute ne comprendrons-nous jamais. Nous suivons des jumeaux, Lucas et Klaus en pleine seconde guerre. Dans le premier tome, ils sont enfants et nous narre ce qu'ils voient avec une naiveté crue et déconcertante. Dans la preuve, nous suivons Lucas, resté en campagne, alors que Klaus a disparu on ne sait où. Jumeaux divisés, mémoire divisée. Sans être au front, les villageois vivent eux aussi dans des conditions misérables. Lucas nous montre que parfois les bonnes intentions sont au final dommageables. Lui qui semble d'abord "bon", nous dévoile peu à peu un visage égoïste. Mais tout ce récit a une vérité fort dérangeante. Pour reprendre les propos d'un Lecteur: "Il y a un message dans cette trilogie, et il est terrible: il vaut mieux vivre l'horreur qu'avoir horreur de sa vie." Je n'aurais pas dit mieux. Dans le denier volet, nous sommes amenés à comprendre la véritable histoire de ses frères séparés, cruelle et injuste, dont personne ne sort gagnant, pas même nous, les Lecteurs. Mais nous en sortons changés. Vous ne tirerez peut-être pas de joie à lire ces romans, mais vous en sortirez grandis, peut-être même perturbés. Mais c'est généralement le propre des livres sur la guerre de laisser ce genre de sentiment. Sans doute pour que la mémoire collective n'oublie pas.

À l'instar du "Grand cahier", bien qu'écrit de manière différente, "la preuve" perturbe, choque et au final, on ne s'en remet pas tout à fait. C'est le pouvoir des grands livres, selon moi, que de se s'accaparer d'une part de notre mémoire et de nous instruire. Les horreurs de la guerre sont abstraites pour les enfants de la paix que nous sommes, pour la plupart. C'est donc grâce à des auteurs telles qu'Agotha Kristov que nous pouvons nous approchez un temps soit peu de ses horreurs et encore! Sans doute ne comprendrons-nous jamais. Nous suivons Lucas, le jumeau qui est resté dans le village, à la fin du "Grand cahier". Il nous récite sa vie, son quotidien, au travers de la guerre. Sans être au front, les villageois vivent eux aussi dans des conditions misérables. Lucas nous montre que parfois les bonnes intentions sont au final dommageables. Lui qui semble d'abord "bon", nous dévoile peu à peu un visage égoïste. Mais tout ce récit a une vérité fort dérangeante. Pour reprendre les propos d'un Lecteur: "Il y a un message dans cette trilogie, et il est terrible: il vaut mieux vivre l'horreur qu'avoir horreur de sa vie." Je n'aurais pas dit mieux. Vous ne tirerez peut-être pas de joie à lire ce roman, mais vous en sortirez grandis, peut-être même perturbés. Mais c'est généralement le propre des livres sur la guerre de laisser ce genre de sentiment. Sans doute pour que la mémoire collective n'oublie pas.

Klaus et Lucas sont jumeaux. Ils sont envoyé en campagne chez leur acariâtre grand-mère alors que la guerre frappe la Bulgarie. "Le grand cahier", ce exactement ce que c'est: leur grand cahier, celui dans lequel ils s’exercent à écrire en y consignant ce qu'ils voient, ce qu'ils font. Mais à travers leur regard d'enfant de dix ans, ce qu'ils voient, même rapporté sobrement dans leur cahier, est souvent horrible et malaisant. C,est peut-être justement parce que c'est froidement décrit que ça en devient malaisant. Une chose est sure, ce petit récit est particulier et on s'en sort ni joyeux ni indemne. Premier de la trilogie des jumeaux, c'est roman sur l'identité, sur la guerre, sur la campagne et la laideur des gens. Pour info, les deux autres romans ne sont pas construits de la même manière et je dirais même que celui-ci n'est pas le plus "lourd" des trois. Ce n’est pas un livre à lire pour trouver la joie. C'est une lecture crève-cœur, déchirante, qui fait limite mal à l'âme. Après tout, c,est un livre sur la déchirure, sur les conséquences de la guerre, de la perte et d'une quête identitaire impossible. C'est une lecture intelligente. Pour l'apprécier, il faut accepter de ce faire un peu mélanger, puis déranger, malmener. Sans doute plus que les deux livres précédent. Au final, la trilogie et son drame prennent alors tout leur sens.

La tension est palpable et l'équilibre des membres de la communauté est gravement compromise. Plus que jamais, les ados aspirent à se faire justice et lorsque l'un de leurs amis commet l'irréparable, c'est le début de la révolte. Crescendo de violence, abus de pouvoir, conspiration, mensonges, un sacré coktail malsain se forme dans la petit communauté et tout cela dégénère de manière magistrale. Petit détail, la couverture avec Holden, les yeux meurtriers et le visage marqué de sang est vraiment superbe. Un personnage à qui la détermination sied vraiment bien.