Julie Collin
Libraire @ Librairie Pantoute
Intérêts littéraires : Affaires et communications, Livre audio, Biographies, Cuisine, Essais, Jeunesse, Littérature, Vie pratique, Psychologie, Santé, Voyages, Sports, Science/Technologie, Loisirs, Langues, Informatique, Bande dessinée, Arts

Activités de Julie Collin

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Cartes postales du Canada

Par Marie-Julie Gagnon
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Bien que je connaisse davantage le Canada que le Canadien moyen, je n’ai pas du tout l’impression d’avoir fait le tour du 2e plus grand pays du monde. Loin de là. Et ma perception s’est confirmée en lisant ce livre. Ce guide de voyage se lit comme un recueil de textes poétiques. Ce sont de courts chapitres, qui n’ont pas d’ordre géographique ou chronologique, et qui sont tous liés. Ce livre donne envie de se dégager un budget pour prendre le train, et plus particulièrement, pour le parcours Le Canadien, soit le trajet Toronto-Vancouver. Je vous dis ça parce que le train est un des personnages principaux de ces cartes postales. De plus, Marie-Julie nous partage beaucoup d’informations et de faits historiques. Une des cartes postales concerne ma ville d’adoption : Québec. J’apprécie que Marie-Julie parle d’autres choses que de l’architecture du Château Frontenac, que tout le monde (ou presque) connait. Marie-Julie m’a donné envie de faire mon sac et de partir à l’aventure à nouveau!
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Les villes de papier

Par Dominique Fortier
(4,28)
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Si je l’ai lu 3 fois en un mois, ce n’est pas parce que je ne comprenais pas! C’est parce que ça fait du bien! C'est une lecture doudou qui réchauffe le cœur. L'auteure fait des parallèles entre sa propre vie et celle d'Emily Dickinson (1830-1886, 1800 poèmes). Nul besoin de connaître Emily Dickinson pour être touché. Fait référence à ce que les spécialistes savent d’Emily, et nous le transmet d’une façon si harmonieuse que ça nous donne envie d’en savoir plus sur elle. On sait peu de choses sur Emily Dickinson puisqu'elle a vécu recluse et qu'elle ne cherchait pas la gloire. Dominique Fortier lui rend hommage, la met en valeur. L'importance des lieux et d'avoir un espace pour écrire. Les lieux qu’on habite. Les lieux qui nous habitent. Dominique n’est pas allée visiter les lieux d’Emily Dickinson. Ce sont des lieux de papier pour elle.
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Le prince à la petite tasse

Par Emilie de Turckheim
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La famille d’Émilie de Turckheim s’est engagée pour un an auprès de Reza (baptisé Daniel en Norvège), un réfugié Afghan de 21 ans. Ils ont trouvé un lit d’occasion sur leboncoin.fr et se sont lancés avec confiance et ouverture. C’est sous forme de journal que cette année dans leur vie nous est racontée. Les garçons d’Émilie et de Fabrice ont laissé la plus grande chambre à Reza et ils cohabitent dans une chambre remplie à ras bord. Une grande chambre que Reza a du mal à s’approprier, lui qui essaie de se faire le plus silencieux possible. Il part travailler avant que les autres membres de la famille se réveillent et il n’ose pas allumer les lumières ni faire couler l’eau. Et pourtant, la famille d’Émilie est accueillante. Cette discrétion est la conséquence d’une vie à se cacher. Au fil du temps, Reza se confie un peu et raconte qu’il a quitté l’Afghanistan lorsqu’il avait 12 ans et qu’il s’est rendu jusqu’en Norvège (où sa demande d’asile a été refusée), avant de finalement voir sa demande d’asile acceptée en France. Il a perdu la trace de sa mère et de ses frères et sœurs il y a plusieurs années. Son père? Il a été assassiné lorsqu’il était enfant. Parmi ses expériences de vie, il a voyagé clandestinement SOUS un camion pendant 3 000 kilomètres. Ce récit contient beaucoup de réflexions sur l’importance de la langue, de notre langue, celle que nous connaissons depuis toujours. Cette année est une aventure humaine pour ces 5 personnes qui partagent un appartement (les réflexions des enfants sont savoureuses), mais aussi pour les gens qui les entourent. C’est un récit qui donne espoir en l’humanité. Pas que j’avais perdu espoir, mais je ne suis pas saturée d’espoir et ça fait toujours du bien de lire un aussi beau récit. SUPER MÉGA FULL IMPORTANT : Jamais, en lisant ce livre, je n’ai eu l’impression qu’Émilie se vantait de faire une bonne action. Elle ne se gêne pas pour nommer les moments où elle a été maladroite. Jamais je ne me suis sentie coupable de ne pas héberger quelqu’un dans le besoin chez moi. Ce n’est pas un plaidoyer pour qu’on héberge tous quelqu’un. C’est une histoire humaine qui leur a permis de s’épanouir. Ensuite, à chacun de nous de voir ce qu’on fait de ce récit.
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La femme qui fuit

Par Anaïs Barbeau-Lavalette
(4,51)
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La femme qui fuit, c’est Suzanne Meloche, la grand-mère maternelle d’Anaïs Barbeau-Lavalette. Cette peintre et poète a abandonné ses deux jeunes enfants en 1952 afin de se réaliser comme artiste. Elle a choisi de fuir plutôt que de renoncer. Anaïs rend sa grand-mère humaine et touchante. C’est un roman qui ne laisse pas indifférent. Suzanne Meloche a été mariée avec Marcel Barbeau, peintre et signataire du Refus Global. Elle voyait son mari vivre de son art et se réaliser, alors qu’elle était confinée à son rôle de femme au foyer. Elle a prit la déchirante décision d’abandonner ses enfants. L’auteure s’adresse directement à sa grand-mère et ne la ménage pas. Sa grand-mère est représentée comme une femme intense et déchirée entre son besoin de créer et la vie de famille traditionnelle. Nul besoin d’avoir des enfants pour être touché par la plume d’Anaïs. J’avais l’impression d’abandonner des enfants que je n’ai pas. Au fil de la lecture, j’ai senti qu’Anaïs la comprenait mieux. La lumière arrive lorsqu’on réalise qu’elle pardonne à sa grand-mère. Elle ne la voit plus seulement comme une femme qui a blessé sa mère à jamais, mais aussi comme une femme d’une autre époque qui pouvait difficilement concilier sa vie d’artiste et sa vie de mère. Elle avait besoin de liberté.
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Fidèles éléphants

Par Yukio Tsuchiya, Bruce Roberts et Bruce Roberts
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Une histoire vraie, originalement en japonais, traduite en français. Le récit de ces événements est lu à la radio japonaise chaque année. Que devenaient les animaux de zoo pendant la Deuxième guerre mondiale? Difficile de savoir ce qui se passait partout, mais au jardin zoologique de Ueno au Japon, on avait peur que les bombes larguées sur la ville abîment les cages et libèrent les animaux. L’armée, craignant que des animaux tels des ours et des lions soient libérés dans la ville, ordonna de tuer les gros animaux. Cet album raconte les derniers jours des éléphants, qui étaient des animaux très appréciés du zoo. La plupart des animaux à tuer furent empoisonnés. J’ai bien dit la plupart. Les éléphants ne le furent pas. Ce ne fut pas parce que les gardiens n’ont pas essayé. Les éléphants refusèrent de manger le poison. Pendant plusieurs pages, on assiste à la lente et vraie agonie des éléphants, qui sont morts de faim au bout de plusieurs jours. On assiste aux sentiments des gardiens, eux qui ont habituellement le mandat d’assurer le bien-être des animaux et qui voient leur rôle détourné suite à une décision de l’armée. Une belle façon de sensibiliser les enfants à la guerre et d’aborder des sujets difficiles.
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Qu'est-ce que la paix?

Par Wallace Edwards
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Comment définissez-vous la paix? La question paraît simple, mais elle ne l’est pas tellement. Ce très joli et nécessaire album nous amène à nous poser des questions sur la paix. À la toute fin de l'album, Wallace Edwards explique sa démarche et nous invite à poursuivre notre réflexion. Lorsque je l’ai terminé, je l’ai serré dans mes bras. Un vrai de vrai feel good book!
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Coquelicots d'Irak

Par Brigitte Findakly, Lewis Trondheim et Lewis Trondheim
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Courtepointe d’anecdotes sur l'enfance de Brigitte Findakly en Irak (elle est née en 1959) et sur son exil en France. Certaines anecdotes font sourire, d’autres sont troublantes. Aussi, certaines traditions irakiennes sont expliquées. Le tout accompagné de photos d’archives. Sa mère est française. Ses parents se sont rencontrés en France pendant les études en dentisterie de son père. À la maison, ils parlaient français. À l’extérieur, ils parlaient arabe. Sa mère a appris l’arabe lorsqu’elle est déménagée en Irak. Globalement, Brigitte Findakly a vécu une enfance heureuse. Elle n’était pas consciente des tensions. Elle ne se sentait pas en danger en Irak. La première fois qu’elle s’est sentie en danger, elle était en vacances en France en juin 1968. Elle n'idéalise pas l'Irak et se sent étrangère dans le pays où elle est née lorsqu'elle y retourne pour visiter les membres de sa famille qui y sont restés.
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Comment écrire. Comment écrire un best-seller

Par Éric St-Pierre
(4,5)
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Dans ce premier roman, Éric St-Pierre se fait plaisir! Il utilise de véritables exemples qu’il grossit pour nous faire prendre conscience de l’absurdité des conseils qu’on peut lire sur l’écriture et dans les livres de développement personnel. Il a dû avoir tellement de plaisir à écrire et à peaufiner ce guide pratique ironique! Tout y passe : le romancier qui veut profiter de la naïveté des écrivains du dimanche qui rêvent d’être publiés, la place des femmes dans la littérature, le fameux « quand on veut, on peut » et l’ego du romancier. Éric St-Pierre alterne les lettres de Rick Stone et avec des extraits réels qui ont pu lui servir d’inspiration. Ces extraits démontrent que Éric St-Pierre exagère dans sa satire, mais pas tant que ça. Éric St-Pierre est allé jusqu’à créer une bibliographie fictive pour Rick Stone. On devine facilement que Marc Fisher l’a inspiré pour les titres de ses bouquins. Jugez par vous-même!
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Charlie-Rock T.1 : Mes cinq saisons

Par Maryse Pagé
(4,5)
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Charlie-Rock est une ado marginale âgée de 16 ans qui aime les années 60. Ce roman nous présente cinq saisons dans sa vie en changement. Et il s’en passe des choses en cinq saisons! Et c’est pas parce qu’on rit que c’est drôle! À quelques semaines de terminer son secondaire 4, les parents de Charlie-Rock lui annoncent qu’ils partent faire le tour du monde pendant au moins un an, en couple. Ils sentent qu’ils sont en train de passer à côté de leur vie. Conséquence : Charlie-Rock devra déménager à Québec chez sa grand-mère, qu’elle connait peu. Ce déménagement ne lui plait pas, elle qui a ses habitudes à Val-d’Or. Dans un premier temps, elle ressent beaucoup de colère contre ses parents. Ensuite, elle voyage (et nous voyageons) à travers eux. En plus de s’éloigner de son seul ami, elle ne pourra pas amener Jim Morrison, son précieux chat, chez ses grands-parents. Bref, ça ne fait pas du tout son affaire! Peu avant son départ de Val-d’Or, Charlie-Rock a commencé à avoir des rituels envahissants. Elle souffre de troubles obsessifs-compulsifs. Tous les changements qu’elle vit et tous les secrets de famille qu’elle découvre augmentent son stress, ce qui amplifie ses TOC. Puisque ses parents ne sont pas prêts à revenir au Québec, elle n’a pas le choix de s’adapter à son nouvel environnement. On la voit gagner en maturité au fil des pages. Elle va découvrir en elle des talents qu’elle ne connaissait pas. Et sa marginalité en Abitibi passe plus facilement à Québec. J’aime beaucoup les liens qu’elle développe avec ses grands-parents. Après tout, c’est grâce à sa grand-mère si son chat s’appelle Jim Morrison! J’ai un coup de cœur pour la magnifique couverture psychédélique Peace & Love.
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S'enfuir : Récit d'un otage

Par guy Delisle
(4,37)
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Dans ce roman graphique de 432 pages, Guy Delisle nous raconte la captivité de Christophe André, employé de Médecins Sans Frontières. La force de ce livre est de nous faire vivre l’isolement et l’incompréhension de l’otage. Et il est difficile d’arrêter la lecture et de le laisser seul. Ce n’est pas un punch : il a été en captivité pendant 111 jours, soit près de 4 mois, et il s’en sort vivant. C’est dans la nuit du 1er au 2 juillet 1997 que la vie de Christophe André bascule. Il ne comprend pas ce qui se passe et il ne sait pas du tout quand son cauchemar sera terminé. Il ne sait pas si ses collègues ont remarqué son absence. En plus d’être captif, il ne peut pas communiquer avec ses ravisseurs car ils semblent parler Russe. Christophe André démontre une grand force psychologique. Il s’efforce de se situer dans le temps à chaque jour, au fil de la routine repas/toilette/dodo. Évidemment, il vit des périodes de découragement, mais il ne se laisse pas abattre. Lorsqu’il sent qu’il pourrait craquer, il se change les idées avec les grandes batailles de l’Histoire. Pendant ces quelques minutes, il s’évade psychologiquement. Les dessins, par leur répétition et leur sobriété, rendent le récit encore plus anxiogène. Ils sont plus clairs ou plus foncés, selon l’heure du jour. À certains moments, on a peur pour lui. On a peur qu’il craque. On a peur qu’il soit torturé. On a peur que son envie de s’enfuir soit forte au point de gaffer. Le livre se termine peu après qu’il ait recouvré sa liberté. J’aurais aimé en savoir plus sur sa vie après cet événement, et en même temps, je suis consciente que ça pourrait faire l’objet d’un autre livre. À lire si vous souhaitez lire le récit d’un homme résilient et inspirant.
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Cavalcade en cyclorama

Par Marc-Antoine K. Phaneuf
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Cavalcade en cyclorama est un délicieux délire d’environ 60 pages. L’auteur fait des liens entre les mots, sans se répéter. Le résultat impressionne et fait sourire. Je l’ai lu avant de dormir (une très mauvaise idée, parce que c’est stimulant de voir tous les liens que Marc-Antoine K. Phaneuf fait). Aussi, je l’ai lu dans le transport en commun. J’ai souri en public en le lisant. Et qui sait, j’ai peut-être donné envie à des gens de se le procurer. Certaines références utilisées par l’auteur sont connues, alors que d’autres sont pour les initiés. Une chose est certaine : on prend le temps de lire et de savourer les liens que l’auteur fait entre les éléments.
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Boxer la nuit

Par Patrice Godin
(3,5)
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La vie peut changer complètement en quelques secondes. Parfois, il suffit d’un sourire pour être bouleversé. Ça semble cliché, et pourtant, ça arrive. Deux Montréalais éprouvés par la vie se croisent par hasard et se sourient à Port Savage, Maine, USA. Les 3 jours qu’ils passeront ensemble les aideront à aller de l’avant. Nick est un boxeur déchu qui a perdu femme et fille il y a environ 15 ans. Depuis, il vit reclus. Pour affronter ses démons, il court et il lit. C’est sa femme qui l’avait initié à la littérature et à la poésie. Elle appréciait plus particulièrement Pablo Neruda et Federico García Lorca. Isabelle est une mère de famille qui vient de découvrir que son mari a une liaison depuis plusieurs mois. Elle a l’impression d’en avoir manqué des bouts, d’être passée à côté de sa vie. Elle aussi, elle lit. Le livre qui l’accompagne à Port Savage : Au sud de la frontière, à l’ouest du soleil de Haruki Murakami. Le plaisir de ce roman réside dans le récit des épreuves des protagonistes et comment ils s’en sortent. Ça m’a touché directement au cœur. C’est aussi un roman sur les choix. Ceux que l’on fait volontairement et ceux que l’on fait même si on pense qu’on a pas le choix. La boxe est importante dans l’histoire pour les valeurs de persévérance et de résilience qu’elle véhicule. La boxe est ce qui a permis à Nick de canaliser sa colère lorsqu’il était adolescent. C’est ce qui l’a sauvé et qui lui a permis d’échapper à ses liens familiaux troubles.
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Daniil et Vanya

Par Marie-Hélène Larochelle
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Emma et Gregory souhaitent adopter puisqu’il n’est pas possible pour eux d’avoir un enfant biologique. Ils font affaire avec une agence qui leur propose des jumeaux Russes de 15 mois. Dès le départ, on sent que cette agence n’est pas très nette puisqu’elle n’aide pas beaucoup le couple dans ses démarches, mais on se dit que c’est peut-être de la paranoïa. On entend souvent parler des liens entre les jumeaux, de leur langage bien à eux. Dans ce roman, ça va beaucoup plus loin que ce qu’on entend habituellement. Ils sont seuls dans leur monde. Et ils manquent de sensibilité. Je ne veux pas trop vous en dire pour vous puissiez les connaître par vous-mêmes… Disons que c’est difficile de relaxer en lisant ce roman. Les besoins particuliers des jumeaux obligent Emma à mettre sa carrière de côté. De plus, elle s’isole de sa famille, de sa belle-famille et de ses amis. Aussi, un écart se creuse dans son couple, alors qu’il faudrait que Gregory et elle soient des alliés. Et ce n’est pas parce que Emma se consacre à 100% aux jumeaux qu’elle réussit à créer des liens avec eux. Elle est à bout de ressources. C’est un bon roman, qui ne laisse pas indifférent. Même si je ne suis pas mère, j’ai été touchée par le combat d’Emma. Et surtout, j’ai été surprise par le punch.
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Les nouveaux voisins

Par Catherine McKenzie
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L’auteure d’un best-seller déménage afin de s’éloigner d’une fan qui la harcèle. Son nouveau voisinage est… particulier.
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Globe-trotteuse T.1: Aller simple pour l'Afrique

Par Caroline Jacques
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Carlie est coopérante en Afrique et aide les femmes à exercer leur citoyenneté. Récit sensible sur les joies et les difficultés qu’elle vit.