Shaynning
Libraire @ Librairie Monet
Intérêts littéraires : Biographies, Jeunesse, Littérature, Psychologie, Arts, Bande dessinée, Loisirs

Activités de Shaynning

Shaynning a apprécié et noté ce livre

A Silent Voice T.5

Par Yoshitoki Oima
(5,0)
1 personne apprécie ce livre
0 commentaire au sujet de ce livre
Shaynning a apprécié et noté ce livre

A Silent Voice T.4

Par Yoshitoki Oima et Géraldine Oudin
(4,0)
2 personnes apprécient ce livre
0 commentaire au sujet de ce livre
Shaynning a apprécié et noté ce livre

A Silent Voice T.3

Par Yoshitoki Oima
(4,0)
2 personnes apprécient ce livre
0 commentaire au sujet de ce livre
Shaynning a apprécié et noté ce livre

A Silent Voice T.2

Par Yoshitoki Oima
(4,5)
2 personnes apprécient ce livre
0 commentaire au sujet de ce livre
Shaynning a apprécié, commenté et noté ce livre

A Silent Voice T.1

Par Yoshitoki Oima
(4,5)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
"A silent voice" est l'un de ses manga qui m'a fait revoir mon jugement initial des création littéraire de ce genre. Moi qui ai vu essentiellement des shonen ( Manga de la clientèle jeune homme) et les shojo ( Manga de la clientèle jeune fille), j'avais l'impression que c'était tout ce que savait faire les auteurs japonaise, des romances très extrêmes et des botteurs de cul qui se découvre une intelligence une fois confrontés à la bataille. Mais avec ce manga-ci, j'ai l'impression d'avoir changer de disque! Oui, nous sommes dans une sempiternelle formule scolaire, mais cette fois, on parle d'intimidation, de langage des signes et, d'une certaine manière, de rédemption. Shoya était un jeune garçon turbulent comme on en voit bien souvent, mais lorsqu'une nouvelle élève intègre sa classe, les choses n'évoluent pas pour le mieux. Shoko est sourde, mais un appareil lui permet de mieux cerner les sons. Elle peut communiquer par le langage des signes, que , bien sur, aucun élève de connait, pas même le professeur. Rapidement, l'incompréhension des élèves fait place à la peur, puis la peur fait place à la violence. Un triangle bien connu, quoi! Pour la jeune fille qui peine déjà à faire sa scolarité normalement, c'est le début d'une persécution insidieuse, menée par Shoya. Cette intimidation n'est pas seulement physique, elle est aussi psychologique. On lui fait clairement sentir qu'elle n'est pas le bienvenue, qu'elle est un "boulet". Alors que les choses évoluent de mal en pire, c'est l'école qui intervient à la demande de la mère de Shoko. Et comme c'est souvent le cas dans les cas d'intimidation collective, un seul coupable suffit. On désigne alors Shoya, qui était le plus "physique" des intimidateurs. Pour le jeune garçon, c'est alors le retour de l'ascenseur: d'intimidateur, il devient intimidé. Quelques années passent, Shoya devient un adolescent discrêt et sans amis. Il est appelé à croiser la route de sa victime, Shoko. Lorsqu'il lui reparle pour la première fois, c'est Shoko qui est abasourdie de le revoir. Non seulement de revoir son ancien persécuteur, mais aussi que ledit persécuteur s'adresse maintenant à elle avec ses mains. Shoya est désormais capable de s'exprimer en langage des signes et tente de se lier d'amitié avec elle. C'est l'un des rares manga qui m'ait autant fait réagir, parfois avec tristesse , parfois avec colère. L'intimidation ne rend déjà pas indifférent, mais lorsqu'il s'agit d'un groupe contre une personne ayant un handicap, c'est d'autant plus déplorable. L’handicape, quel qu'il soit, fait peur de par sa différence. Dans cette histoire, c'était terrible de voir Shoko, qui tente à tout prix de s,intégrer malgré son handicap et sa faible estime de soi, recevoir pour tous ses efforts le mépris collectif. Il est intéressant aussi de voir le phénomène de l'arroseur arrosé avec Shoya, qui passe de persécuteur à victime. Cette transition lui permet de mieux comprendre Shoko et c'est de là qu'il entreprend d'essayer de la comprendre, tant sur son point de vue que sur sa forme de communication. En conclusion, c'est le genre de manga que je trouve fort pertinent et que je conseillerais même aux professeur comme lecture pour les étudiants. Évidemment, il existe une nuance à apporter puisqu'il s'agit d'une histoire qui se déroule au Japon, avec ses propres codes sociaux et sa moralité, qui n'est peut-être pas en phase avec celle des pays d’Amérique du Nord. Par exemple, la surdité n'est pas perçu comme une punition contre les parents ici et j'ose croire que les enfants sourds ne sont pas perçu comme des déchets, des êtres dégoutants et indignes de vivre par les entendants. Au Québec, on considère la différence davantage comme "une autre façon d'être" et il faut avoir de la considération pour cette diversité. Très tôt, dans nos écoles, on tente d'intégrer les enfants vivant avec des handicaps et nous valorisons l'entraide. Oh, le système n'est pas parfait, loin de là! Mais contrairement à l'histoire en présence, la mentalité sociale est très différente. Cela n'empêche pas, toutefois, qu'entre nos deux régions du monde, le visage de l'intimidation n'est certes pas si différent et se vit relativement de la même manière. Dans une optique plus joyeuse, j'ai beaucoup aimé la sœur de Shoko, volontaire, force tranquille pourtant farouchement déterminée, et remplie d'amour pour sa grande sœur. J'ai beaucoup aimé voir Shoya s'être donné la peine d'apprendre le LSJ. C'est touchant de le voir tenter de comprendre ses erreurs et même de tenter de les réparer. Finalement, les dessins sont très beaux et encore une fois, je suis fascinée par les mains. C'est difficile de dessiner des mains humaines, alors de les faire en LSJ, chapeau!
Shaynning a commenté et noté ce livre

A Silent Voice : l'intégrale T.1 à 7 sous coffret

Par Ki-oon
(5,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
"A silent voice" est l'un de ses manga qui m'a fait revoir mon jugement initial des création littéraire de ce genre. Moi qui ai vu essentiellement des shonen ( Manga de la clientèle jeune homme) et les shojo ( Manga de la clientèle jeune fille), j'avais l'impression que c'était tout ce que savait faire les auteurs japonaise, des romances très extrêmes et des botteurs de cul qui se découvre une intelligence une fois confrontés à la bataille. Mais avec ce manga-ci, j'ai l'impression d'avoir changer de disque! Oui, nous sommes dans une sempiternelle formule scolaire, mais cette fois, on parle d'intimidation, de langage des signes et, d'une certaine manière, de rédemption. Shoya était un jeune garçon turbulent comme on en voit bien souvent, mais lorsqu'une nouvelle élève intègre sa classe, les choses n'évoluent pas pour le mieux. Shoko est sourde, mais un appareil lui permet de mieux cerner les sons. Elle peut communiquer par le langage des signes, que , bien sur, aucun élève de connait, pas même le professeur. Rapidement, l'incompréhension des élèves fait place à la peur, puis la peur fait place à la violence. Un triangle bien connu, quoi! Pour la jeune fille qui peine déjà à faire sa scolarité normalement, c'est le début d'une persécution insidieuse, menée par Shoya. Cette intimidation n'est pas seulement physique, elle est aussi psychologique. On lui fait clairement sentir qu'elle n'est pas le bienvenue, qu'elle est un "boulet". Alors que les choses évoluent de mal en pire, c'est l'école qui intervient à la demande de la mère de Shoko. Et comme c'est souvent le cas dans les cas d'intimidation collective, un seul coupable suffit. On désigne alors Shoya, qui était le plus "physique" des intimidateurs. Pour le jeune garçon, c'est alors le retour de l'ascenseur: d'intimidateur, il devient intimidé. Quelques années passent, Shoya devient un adolescent discrêt et sans amis. Il est appelé à croiser la route de sa victime, Shoko. Lorsqu'il lui reparle pour la première fois, c'est Shoko qui est abasourdie de le revoir. Non seulement de revoir son ancien persécuteur, mais aussi que ledit persécuteur s'adresse maintenant à elle avec ses mains. Shoya est désormais capable de s'exprimer en langage des signes et tente de se lier d'amitié avec elle. C'est l'un des rares manga qui m'ait autant fait réagir, parfois avec tristesse , parfois avec colère. L'intimidation ne rend déjà pas indifférent, mais lorsqu'il s'agit d'un groupe contre une personne ayant un handicap, c'est d'autant plus déplorable. L’handicape, quel qu'il soit, fait peur de par sa différence. Dans cette histoire, c'était terrible de voir Shoko, qui tente à tout prix de s,intégrer malgré son handicap et sa faible estime de soi, recevoir pour tous ses efforts le mépris collectif. Il est intéressant aussi de voir le phénomène de l'arroseur arrosé avec Shoya, qui passe de persécuteur à victime. Cette transition lui permet de mieux comprendre Shoko et c'est de là qu'il entreprend d'essayer de la comprendre, tant sur son point de vue que sur sa forme de communication. En conclusion, c'est le genre de manga que je trouve fort pertinent et que je conseillerais même aux professeur comme lecture pour les étudiants. Évidemment, il existe une nuance à apporter puisqu'il s'agit d'une histoire qui se déroule au Japon, avec ses propres codes sociaux et sa moralité, qui n'est peut-être pas en phase avec celle des pays d’Amérique du Nord. Par exemple, la surdité n'est pas perçu comme une punition contre les parents ici et j'ose croire que les enfants sourds ne sont pas perçu comme des déchets, des êtres dégoutants et indignes de vivre par les entendants. Au Québec, on considère la différence davantage comme "une autre façon d'être" et il faut avoir de la considération pour cette diversité. Très tôt, dans nos écoles, on tente d'intégrer les enfants vivant avec des handicaps et nous valorisons l'entraide. Oh, le système n'est pas parfait, loin de là! Mais contrairement à l'histoire en présence, la mentalité sociale est très différente. Cela n'empêche pas, toutefois, qu'entre nos deux régions du monde, le visage de l'intimidation n'est certes pas si différent et se vit relativement de la même manière. Dans une optique plus joyeuse, j'ai beaucoup aimé la sœur de Shoko, volontaire, force tranquille pourtant farouchement déterminée, et remplie d'amour pour sa grande sœur. J'ai beaucoup aimé voir Shoya s'être donné la peine d'apprendre le LSJ. C'est touchant de le voir tenter de comprendre ses erreurs et même de tenter de les réparer. Finalement, les dessins sont très beaux et encore une fois, je suis fascinée par les mains. C'est difficile de dessiner des mains humaines, alors de les faire en LSJ, chapeau!
Shaynning a apprécié et noté ce livre

Arte T.6

Par Kei Ohkubo
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
0 commentaire au sujet de ce livre
Shaynning a apprécié et noté ce livre

Arte T.5

Par Kei Ohkubo
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
0 commentaire au sujet de ce livre
Shaynning a apprécié et noté ce livre

Arte T.4

Par Kei Ohkubo
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
0 commentaire au sujet de ce livre
Shaynning a apprécié et noté ce livre

Arte T.3

Par Kei Ohkubo
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
0 commentaire au sujet de ce livre
Shaynning a apprécié, commenté et noté ce livre

Arte T.2

Par Kei Ohkubo
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Il était fréquent à cette époque d'avoir un riche mécène susceptible de commander des portraits et assurer une certaine crédibilité à l'artiste peintre. C'est ce qu'aborde l,auteur dans ce deuxième tome. Arte se voit commander un portrait par Veronica, une courtisane. Il est bon de noter que les courtisanes ne sont pas de simples putains, mais des femmes de distraction. Veronica est donc cultivée, elle lit beaucoup et entretient son apparence avec soin,en plus d'offrir ses faveurs. Pour commander un portrait, il faut être en moyen, d'ailleurs.
Shaynning a apprécié, commenté et noté ce livre

Arte T.1

Par Kei Ohkubo et Ryoko Akiyama
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
La renaissance Italienne, tout particulièrement Florence, est l'une de mes période artistique favorite, alors quand j'ai vu ce manga qui semblait en traiter, je n'ai pas résister longtemps! D'autant qu'il s'agit de l'histoire d'une jeune fille. Le lien? Sachez-le, la Renaissance fut une renaissance pour bien des choses, mais certes pas pour les femmes. En fait, la Renaissance est un recul considérable pour la Femme, qui avait beaucoup plus de droits et de libertés au Moyen-Âge. Mais je m,égare. Nous avons donc Arte ( du latin "Art"), une jeune aristocrate florentienne qui, comme ses pairs, devrait en principe finir mariée à un bon parti. C'est sans compter sa passion pour le dessin et son désir de peindre. Pour devenir peintre, il lui faudrait intégrer un atelier où un maitre peintre pourrait assurer son éducation, mais bien sur, ce n'est pas envisageable pour une femme doublée d'une aristocrate! Mais Arte pourrait bien devenir la seule élève d'un peintre solitaire et de basse extraction, ayant aussi connu beaucoup de difficulté à être reconnu. Il lui faut maintenant faire ses preuves et mettre de l'avant une détermination à tout épreuve. Tout me plait dans ce manga: Arte elle-même, sensible, déterminée, intuitive et courageuse; le dessin et la présence d'art dans le dessin; la richesse des détails dans les vêtements et les décors; la trame narrative et finalement, l'impression de revoir mes cours d'histoire de l'art en renaissance florentine. Un vrai petit bijou!
Shaynning a apprécié, commenté et noté ce livre

La belle histoire d'une vieille chose

Par Louis Émond et Steve Adams
(5,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
J'ai beaucoup aimé ce grand album, une autre œuvre des éditions La Bagnole, qui nous raconte l'histoire d'une vieille voiture. La voiture verte nous raconte son histoire, sa vie avec ses propriétaires, du jeune homme célibataire à la petite famille qu'il a fondé, ses réparations et ses promenades. Lorsqu'elle est abandonnée près d'un arbre, un œil non averti pourrait être tentée de croire que ce n'est qu'une vieille carcasse. Pour un duo d'enfant, c'est l'objet de leur imagination et pour la vieille coccinelle, c'est le début d'une nouvelle aventure. Une jolie histoire sur la vie, la nostalgie et sur la valeur des objets.
Shaynning a apprécié, commenté et noté ce livre

Baiser mauve de Vava (Le)

Par Dany Laferrière et Frédéric Normandin
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Un album aux couleurs fabuleuses qui prend place en Haïti, dans un contexte d'occupation rebelle dû à un dictateur. Un jeune garçon tente de rejoindre son amie malade, mais en raison des points de contrôle et des couvres feu, il est périlleux de se promener dans les rues. Mais le jeune garçon prend son courage à deux mains pour aller au chevet de son amie lui donner un baiser guérisseur. Une histoire touchante, où l'horreur de la dictature est contrebalancée par des couleurs puissantes et un amour d'enfant à l'épreuve du désespoir. Parenthèse: Pour moi, cet album s'inscrit dans la lignée du "Voyage de Lalita", ou de "Mustafa, ou encore du "Crayon magique de Malala", ces albums jeunesse qui ouvre sur le monde et ses injustices. Le monde, le vrai, n'est pas juste fait de beauté et de bonté, mais là où la guerre, l'injustice et l'intolérance sont présents, il y a aussi, forcément des graines d'espoir. C'est dans cette optique que ces albums existent.
Shaynning a apprécié, commenté et noté ce livre

La tresse ou Le voyage de Lalita

Par Laetitia Colombani et Clémence Pollet
(5,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Voici l'album jeunesse dérivé du livre du même titre, "La tresse", dans lequel seule l'une des trois histoires est utilisée. En effet, dans le roman, il y a trois histoires pour trois protagonistes: Sara, Guilia et Smita. Seule cette dernière est présentée. Smita est une "Intouchable", qualificatif de la plus basse extraction sociale en Inde. Condamnés par leurs pairs des classes sociales supérieures aux plus basses besognes et à se nourrir de restes, ces gens n'ont pas accès à la plupart des droits humains, dont l'un des plus fondamentaux: l'éducation. Mais Smita veut voir sa fille scolarisée pour lui offrir de meilleurs chances d'avenir. Mais les choses ne sont pas simples:Smita a payé le professeur local pour prendre Lalita dans son école, mais celui-ci considère la petite indienne comme une enfant de moindre importance et lui ordonne de balayer le sol de la classe. Lorsque Lalita refuse, elle est battue. Sa mère comprend alors que sa fille ne sera pas scolarisée comme le sont les autres enfants et décide alors de fuir. Elle entreprend une longue route avec sa petite fille vers une ville où des cousins pourraient les accueillir. Si elles y parviennent, Smita promet d'offrir leurs cheveux en offrande aux Dieux, afin de les remercier pour leur protection. Offrir ses cheveux est monnaie courante pour ceux qui n'ont aucuns biens à offrir. Et éventuellement, le mari de Smita les rejoindra. Parenthèse: Évidemment, cette version passe sous silence tous les dangers auxquels ont été confrontées les deux indiennes, à commencer par le risque d'être rattrapées par les membres de leur communauté, violées puis tuées. Les Intouchables n'ont pas le droit de partir comme bon leur semble et ne sans doute pas très loin de l'esclavage. S'il est entendu qu'on ne touche pas et qu'on en regarde pas un "Intouchable", dans les faits, les femmes sont très fréquemment victimes d'actes répréhensibles contre leur personne. Donc, Smita et Lalita, dans cette histoire, mettent leur vie en danger en fuyant leur village. Et dans le roman, le père de Lalita ne les rejoins pas et on ne sait pas s'il a payé la fuite de son épouse. Finalement, si vous vous pose la question, sachez que le don de cheveux que feront Lalita et Smita ne se termine pas à ce temple où elles l'ont fait...lisez le roman pour connaitre la suite! Donc, dans cette version édulcorée, on comprend surtout la partie du don de cheveux et la morale derrière: "Sois reconnaissant des bonnes choses qui t'arrive". Mais même adoucie, cette version n'en demeure pas moins pertinente, choquante et à saveur féministe. Pour nos petits Lecteurs/Lectrices québecois(es), c’est le genre d'album qui permet un éveil de conscience sur le monde et une prise de conscience sur les privilèges dont nous jouissons dans notre pays de droits et d'égalité. Ce ne sont pas tous les enfants qui pourront aller à l'école. Ce ne sont pas tous les enfants qui pourront aspirer à mieux. Certains seront éternellement brimés de part leur ascendance sociale, comme le sont les Intouchables. Bref. Un livre qui a toute une pertinence! Un très bel album avec le riche colorie typique de l'Inde et une belle histoire d'une maman très courageuse et altruiste.