Le labyrinthe des miragesCe ne sont pas les assassinats commis par les entreprises de construction Grégoire et fils Inc., ni Ramone - le narcotrafiquant, prince du crime des bidonvilles de Caracas -, non plus la douleur d'aimer, qui auront raison de Jean Royer, sergent-détective au Service de police de la Ville de Montréal. C'est l'embrocheur, pervers absolu, qui finira par troubler l'esprit de la pointure du SPVM. Le périple de la machine à tuer aurait pu être sans fin, tant sa capacité d'adaptation le protège, il voyage dans un Québec inédit : société où la vérité est masquée par la convenance de la politesse.L'épilogue de la trilogie des enquêtes de Jean Royer révèle que l'interprétation du labyrinthe des mirages va perdre ce barbare.Le gratin de la police de Montréal avait échoué pendant deux décennies.L'un des écrivains francophones les plus novateurs a créé un univers déstabilisant, cruel et poétique, d'une profonde humanité. Il révèle qu'un secret est à découvrir par-delà les pires horreurs. Pour y mettre un terme ?
Le labyrinthe des miragesCe ne sont pas les assassinats commis par les entreprises de construction Grégoire et fils Inc., ni Ramone - le narcotrafiquant, prince du crime des bidonvilles de Caracas -, non plus la douleur d'aimer, qui auront raison de Jean Royer, sergent-détective au Service de police de la Ville de Montréal. C'est l'embrocheur, pervers absolu, qui finira par troubler l'esprit de la pointure du SPVM. Le périple de la machine à tuer aurait pu être sans fin, tant sa capacité d'adaptation le protège, il voyage dans un Québec inédit : société où la vérité est masquée par la convenance de la politesse.L'épilogue de la trilogie des enquêtes de Jean Royer révèle que l'interprétation du labyrinthe des mirages va perdre ce barbare.Le gratin de la police de Montréal avait échoué pendant deux décennies.L'un des écrivains francophones les plus novateurs a créé un univers déstabilisant, cruel et poétique, d'une profonde humanité. Il révèle qu'un secret est à découvrir par-delà les pires horreurs. Pour y mettre un terme ?