Tous les soirs, dans tous les restaurants de la planète, des amitiés renaissent, des amours meurent, des comptes se règlent, des destins basculent. Le Rendez-vous ne fait pas exception. Ce bistrot de banlieue est le théâtre quotidien d'une comédie humaine dont les personnages venus se remplir la panse n'ont rien d'autre en commun que ces quelques heures écoulées dans le même lieu, à quelques mètres les uns des autres. Regardez-les, ces convives de la table d'à côté. Les joyeux le sont-ils à ce point? Les taciturnes ont-ils vraiment épuisé tout ce qu'ils avaient à se dire pour garder ainsi le nez dans leur assiette? Au Rendez-vous, certains mangent leur prochain entre deux lampées de rouge alors que d'autres trouvent enfin le courage d'exprimer ce qui leur brûle les lèvres ou l'estomac. En onze nouvelles courtes ou longues, «Un mercredi comme les autres» pose autant de regards tendres, cruels ou acides sur la trajectoire de ses personnages. Puisqu'il suffit parfois d'une parole pour altérer une relation ou faire dévier un parcours amoureux, le repas au restaurant ne devient-il pas un véritable champ de mines pour celui ou celle dont le coeur ou l'esprit vacille? Ce mercredi soir au Rendez-vous n'offrira rien de moins que la moisson quotidienne des aveux, des offrandes et des coups de Jarnac dont l'espèce humaine a le secret. Et peut-être un peu plus.
Tous les soirs, dans tous les restaurants de la planète, des amitiés renaissent, des amours meurent, des comptes se règlent, des destins basculent. Le Rendez-vous ne fait pas exception. Ce bistrot de banlieue est le théâtre quotidien d'une comédie humaine dont les personnages venus se remplir la panse n'ont rien d'autre en commun que ces quelques heures écoulées dans le même lieu, à quelques mètres les uns des autres. Regardez-les, ces convives de la table d'à côté. Les joyeux le sont-ils à ce point? Les taciturnes ont-ils vraiment épuisé tout ce qu'ils avaient à se dire pour garder ainsi le nez dans leur assiette? Au Rendez-vous, certains mangent leur prochain entre deux lampées de rouge alors que d'autres trouvent enfin le courage d'exprimer ce qui leur brûle les lèvres ou l'estomac. En onze nouvelles courtes ou longues, «Un mercredi comme les autres» pose autant de regards tendres, cruels ou acides sur la trajectoire de ses personnages. Puisqu'il suffit parfois d'une parole pour altérer une relation ou faire dévier un parcours amoureux, le repas au restaurant ne devient-il pas un véritable champ de mines pour celui ou celle dont le coeur ou l'esprit vacille? Ce mercredi soir au Rendez-vous n'offrira rien de moins que la moisson quotidienne des aveux, des offrandes et des coups de Jarnac dont l'espèce humaine a le secret. Et peut-être un peu plus.