Dans un livre construit à partir de chroniques parues dans le quotidien Métro et l’hebdomadaire Le Point, Frédéric Bérard lance un cri du cœur en forme de coup de poing. Valsant entre indignation et résignation, dans un entrelacs de textes largement réécrits, il jette un regard très dur sur nos élites politiques et médiatiques, et dénonce la duplicité des élus, ici comme ailleurs. Sa principale cible : le populisme, à gauche comme à droite, qui a le vent en poupe et est nourri par des institutions croulant sous les effets de la politique-spectacle et de la démagogie.
Frédéric Bérard l’avoue : il est devenu pessimiste pour la suite du monde. Mais il refuse de baisser les bras. Il continue de combattre le cynisme, la culture du conflit d’intérêts et l’aveuglement de nos dirigeants face aux problèmes environnementaux. Il analyse la maladie identitaire qui gangrène la société et alimente le racisme, tout en décortiquant les attaques contre l’État de droit qui fragilisent des droits fondamentaux, de la liberté d’expression à la liberté de culte. Il montre les dangers du tribunal de l’opinion publique pour la présomption d’innocence et s’inquiète, à partir d’exemples concrets, des menaces que certaines actions politiques font peser au principe, fondamental en démocratie, de la séparation des pouvoirs.
Dans un livre construit à partir de chroniques parues dans le quotidien Métro et l’hebdomadaire Le Point, Frédéric Bérard lance un cri du cœur en forme de coup de poing. Valsant entre indignation et résignation, dans un entrelacs de textes largement réécrits, il jette un regard très dur sur nos élites politiques et médiatiques, et dénonce la duplicité des élus, ici comme ailleurs. Sa principale cible : le populisme, à gauche comme à droite, qui a le vent en poupe et est nourri par des institutions croulant sous les effets de la politique-spectacle et de la démagogie.
Frédéric Bérard l’avoue : il est devenu pessimiste pour la suite du monde. Mais il refuse de baisser les bras. Il continue de combattre le cynisme, la culture du conflit d’intérêts et l’aveuglement de nos dirigeants face aux problèmes environnementaux. Il analyse la maladie identitaire qui gangrène la société et alimente le racisme, tout en décortiquant les attaques contre l’État de droit qui fragilisent des droits fondamentaux, de la liberté d’expression à la liberté de culte. Il montre les dangers du tribunal de l’opinion publique pour la présomption d’innocence et s’inquiète, à partir d’exemples concrets, des menaces que certaines actions politiques font peser au principe, fondamental en démocratie, de la séparation des pouvoirs.