Une toute petite vague illustre tous ces
mouvements de vie, ces va-et-vient conduisant
l'être humain vers différents rivages. Autant de
vagues comme autant de respirations haletantes
du quotidien.Une toute petite vague se divise en trois parties :
«Le secret des coquillages» met en lumière le
poids des silences et des interdits, «Au gré des
brumes», pour sa part, représente un quai de
rencontres conduisant l'adulte dans un
tourbillon inattendu, tandis que «Dérives»
exprime qu'au-delà des naufrages, émerge
toujours un éclat d'amour qui aura traversé
vents et marées.La mouvance de l'âme se reflète dans ces
personnages qui nous ressemblent. Chacun vit
intensément sa tournemente même si elle ne
représente, dans l'immensité de l'océan, qu'une
toute petite vague.Une bouffée d'émotions intenses exprimées
avec toute l'intensité, la fougue et la justesse
dont seule Claudine Paquet est capable.«Mme Paquet a le don du récit, beaucoup
d'atmosphère, une langue facile, limpide [...] et [...]
la chute [...] elle réussit à vous dérouter, à rejoindre
des thèmes fondamentaux... en deux pages.»Laurent Laplante, Radio-Canada,
septembre 2000
Une toute petite vague illustre tous ces
mouvements de vie, ces va-et-vient conduisant
l'être humain vers différents rivages. Autant de
vagues comme autant de respirations haletantes
du quotidien.Une toute petite vague se divise en trois parties :
«Le secret des coquillages» met en lumière le
poids des silences et des interdits, «Au gré des
brumes», pour sa part, représente un quai de
rencontres conduisant l'adulte dans un
tourbillon inattendu, tandis que «Dérives»
exprime qu'au-delà des naufrages, émerge
toujours un éclat d'amour qui aura traversé
vents et marées.La mouvance de l'âme se reflète dans ces
personnages qui nous ressemblent. Chacun vit
intensément sa tournemente même si elle ne
représente, dans l'immensité de l'océan, qu'une
toute petite vague.Une bouffée d'émotions intenses exprimées
avec toute l'intensité, la fougue et la justesse
dont seule Claudine Paquet est capable.«Mme Paquet a le don du récit, beaucoup
d'atmosphère, une langue facile, limpide [...] et [...]
la chute [...] elle réussit à vous dérouter, à rejoindre
des thèmes fondamentaux... en deux pages.»Laurent Laplante, Radio-Canada,
septembre 2000