Les Écrits des Forges présentent, La chair est un refuge plus poignant que l’espace, le second recueil de Rosalie Lessard, jeune poète née à Baie-Comeau. Lauréate du Prix international jeunes auteurs 1998, section poésie, et d’une bourse, en 1999, pour une nouvelle, ces oeuvres sont publiées dans un collectif aux éditions de l’Hèbe, à Genève, en Suisse. Puis Les Écrits des Forges font paraître un premier recueil en 2000, À perte de monde. « ma ville sous tes yeux poupée russe de fenêtres chaque rue d’amérique suit la courbe d’un chemin étranger qui dévie et t’égare jusqu’à ne plus voir jusqu’à ne plus marcher que sur les lignes de ma main » Dans une langue de la proximité, La chair est un refuge plus poignant que l’espace est une aventure du sens et raconte l’histoire d’un exil. Porté par un lyrisme miné, le recueil dépeint cette expérience, l’inquiétante fusion amoureuse, l’intimité, tendre et déchirante, la rupture, distance retrouvée, corps réfracté, avant de s’ouvrir sur une réflexion plus large, qui talonne l’exil social et existentiel : « ...les êtres fléchissent dans la course aux carences sur les traces de jadis Le travail de Rosalie Lessard scrute l’écart et l’union, décortique les liens qui unissent les êtres au monde, les êtres entre eux et les êtres à eux.
Les Écrits des Forges présentent, La chair est un refuge plus poignant que l’espace, le second recueil de Rosalie Lessard, jeune poète née à Baie-Comeau. Lauréate du Prix international jeunes auteurs 1998, section poésie, et d’une bourse, en 1999, pour une nouvelle, ces oeuvres sont publiées dans un collectif aux éditions de l’Hèbe, à Genève, en Suisse. Puis Les Écrits des Forges font paraître un premier recueil en 2000, À perte de monde. « ma ville sous tes yeux poupée russe de fenêtres chaque rue d’amérique suit la courbe d’un chemin étranger qui dévie et t’égare jusqu’à ne plus voir jusqu’à ne plus marcher que sur les lignes de ma main » Dans une langue de la proximité, La chair est un refuge plus poignant que l’espace est une aventure du sens et raconte l’histoire d’un exil. Porté par un lyrisme miné, le recueil dépeint cette expérience, l’inquiétante fusion amoureuse, l’intimité, tendre et déchirante, la rupture, distance retrouvée, corps réfracté, avant de s’ouvrir sur une réflexion plus large, qui talonne l’exil social et existentiel : « ...les êtres fléchissent dans la course aux carences sur les traces de jadis Le travail de Rosalie Lessard scrute l’écart et l’union, décortique les liens qui unissent les êtres au monde, les êtres entre eux et les êtres à eux.