« Depuis quarante ans sa voix me parle. Son nom a été donné à des collèges, des lycées, des rues, des résidences, des centres culturels, mais on ne sait pas grand chose de lui. C'est une voix unique, comme Shakespeare ou Rabelais. Un petit étudiant du temps de Charles VII, qui vire mauvais garçon, mais qui a le don de langue, très haut, si haut que sa voix traverse six siècles. Il parle de l'amour, de la mort évidemment (il échappe quelques fois à la corde des pendus), des riches et des pauvres, du corps féminin, avec la musique du rire et de la rébellion... » (M. A.).Nous proposons ici un livre qui met vis à vis le texte original et l'adaptation de Michel Arbatz, accompagné d'un CD d'environ une heure dix (un peu plus de la moitié des 2 000 vers du Testament, une quinzaine de ballades chantées) avec de prestigieux invités - parmi lesquels Jean-Louis Trintignant qui en dit le prologue.Bien que Villon ait déjà eu de nombreux interprètes, c'est néanmoins la première fois qu'un tel pari est tenté.
« Depuis quarante ans sa voix me parle. Son nom a été donné à des collèges, des lycées, des rues, des résidences, des centres culturels, mais on ne sait pas grand chose de lui. C'est une voix unique, comme Shakespeare ou Rabelais. Un petit étudiant du temps de Charles VII, qui vire mauvais garçon, mais qui a le don de langue, très haut, si haut que sa voix traverse six siècles. Il parle de l'amour, de la mort évidemment (il échappe quelques fois à la corde des pendus), des riches et des pauvres, du corps féminin, avec la musique du rire et de la rébellion... » (M. A.).Nous proposons ici un livre qui met vis à vis le texte original et l'adaptation de Michel Arbatz, accompagné d'un CD d'environ une heure dix (un peu plus de la moitié des 2 000 vers du Testament, une quinzaine de ballades chantées) avec de prestigieux invités - parmi lesquels Jean-Louis Trintignant qui en dit le prologue.Bien que Villon ait déjà eu de nombreux interprètes, c'est néanmoins la première fois qu'un tel pari est tenté.