Dans le Montréal des années folles, Wilfrid Derome fonde un laboratoire de recherches médicolégales ultramoderne, le premier du genre en Amérique. À la fois toxicologue, balisticien, biologiste, graphologue, photographe judiciaire et médecin légiste, Derome se bat pour faire reconnaître l’expertise médicolégale devant les tribunaux. Le romancier Jacques Côté réhabilite ici cette grande figure de l’histoire des sciences et de la criminalité au Québec. Présenté en chapitres courts et enlevants, Wilfrid Derome, expert en homicides fait du lecteur le témoin des procès les plus spectaculaires de l’époque auxquels Derome, devenu une véritable vedette, était invité en tant qu’expert. Du scandale de l’abbé Delorme, accusé de fratricide, au hold-up du siècle (celui de la Banque d’Hochelaga), en passant par le procès de Marie-Anne Houde, «la mégère de Sainte-Philomène», belle-mère d’Aurore, l’enfant martyre!Marie-Claude Fortin, La Presse. Jacques Côté stylise, ignore les tentations du voyeurisme, se concentre sur le travail professionnel. Le résultat est merveilleux d’élégance.Laurent Laplante, Nuit blanche
Dans le Montréal des années folles, Wilfrid Derome fonde un laboratoire de recherches médicolégales ultramoderne, le premier du genre en Amérique. À la fois toxicologue, balisticien, biologiste, graphologue, photographe judiciaire et médecin légiste, Derome se bat pour faire reconnaître l’expertise médicolégale devant les tribunaux. Le romancier Jacques Côté réhabilite ici cette grande figure de l’histoire des sciences et de la criminalité au Québec. Présenté en chapitres courts et enlevants, Wilfrid Derome, expert en homicides fait du lecteur le témoin des procès les plus spectaculaires de l’époque auxquels Derome, devenu une véritable vedette, était invité en tant qu’expert. Du scandale de l’abbé Delorme, accusé de fratricide, au hold-up du siècle (celui de la Banque d’Hochelaga), en passant par le procès de Marie-Anne Houde, «la mégère de Sainte-Philomène», belle-mère d’Aurore, l’enfant martyre!Marie-Claude Fortin, La Presse. Jacques Côté stylise, ignore les tentations du voyeurisme, se concentre sur le travail professionnel. Le résultat est merveilleux d’élégance.Laurent Laplante, Nuit blanche