Quand on aborde le sujet de l'intimidation, tous sont concernés : les intimidés, les intimidateurs et les témoins plus ou moins silencieux ! Ce livre a pour mission d'affirmer la souffrance inévitable qui habite la personne ayant subi des années d'humiliation. Dans ce roman, où il est parfois difficile de reprendre son souffle, le personnage doit affronter et supporter sa vie malgré la douleur. Pour écrire Les dessous de l'intimidation, Chantale Potvin a lancé un appel à tous sur Facebook. Elle a aussi demandé à des journalistes de la station de radio de sa ville de lui donner un coup de pouce afin d'inciter les gens à raconter leur histoire. En tout, elle a reçu cent vingt confidences rédigées par des gens de tous les âges et de tous les milieux. Certains messages étaient longs, d'autres laconiques, mais tous les souvenirs confiés étaient percutants. Frapper, pousser, bousculer, voler, insulter, injurier, commenter l'apparence, menacer, harceler sexuellement, médire, véhiculer des rumeurs, faire comme si une personne n'existait pas, l'exclure d'un groupe ou d'une activité... Ce sont là quelques-uns des gestes d'intimidation. Il faut absolument cesser de banaliser ce phénomène, nous rappelle l'auteure, car les nombreuses problématiques qui grugent notre société comme le suicide, la consommation de drogue et d'alcool, le décrochage, la démotivation, les fugues, la violence, la dépression et la criminalité sont bien souvent les fruits meurtris de l'intimidation.
Quand on aborde le sujet de l'intimidation, tous sont concernés : les intimidés, les intimidateurs et les témoins plus ou moins silencieux ! Ce livre a pour mission d'affirmer la souffrance inévitable qui habite la personne ayant subi des années d'humiliation. Dans ce roman, où il est parfois difficile de reprendre son souffle, le personnage doit affronter et supporter sa vie malgré la douleur. Pour écrire Les dessous de l'intimidation, Chantale Potvin a lancé un appel à tous sur Facebook. Elle a aussi demandé à des journalistes de la station de radio de sa ville de lui donner un coup de pouce afin d'inciter les gens à raconter leur histoire. En tout, elle a reçu cent vingt confidences rédigées par des gens de tous les âges et de tous les milieux. Certains messages étaient longs, d'autres laconiques, mais tous les souvenirs confiés étaient percutants. Frapper, pousser, bousculer, voler, insulter, injurier, commenter l'apparence, menacer, harceler sexuellement, médire, véhiculer des rumeurs, faire comme si une personne n'existait pas, l'exclure d'un groupe ou d'une activité... Ce sont là quelques-uns des gestes d'intimidation. Il faut absolument cesser de banaliser ce phénomène, nous rappelle l'auteure, car les nombreuses problématiques qui grugent notre société comme le suicide, la consommation de drogue et d'alcool, le décrochage, la démotivation, les fugues, la violence, la dépression et la criminalité sont bien souvent les fruits meurtris de l'intimidation.