L'auteur reprend ici ses travaux sur diverses formes d'activités -
économique, politique, syndicale ou artistique - pour les inscrire dans une
approche des rapports sociaux à l'épreuve de la globalisation financière.Il propose une sociologie de leur structuration à partir d'une recension
des interactions entre trois dimensions : l'économie, le politique et
l'idéologie. Et tout en soulignant l'importance des rapports de production
dans cette structuration, il en marque les ruptures. Les unes sont liées aux
caractéristiques marchandes et financières de cette globalisation, alors que
d'autres sont davantage inscrites dans l'histoire géopolitique ou culturelle
en longue période.En raison de la diversité des registres d'activité que touche la
globalisation financière, il est légitime de la définir sociologiquement
comme un phénomène social total.Enfin, les pressions de cette forme de globalisation sont telles, qu'elles
conduisent l'auteur à soulever nombre d'apories que véhiculent les discours
politiques.
L'auteur reprend ici ses travaux sur diverses formes d'activités -
économique, politique, syndicale ou artistique - pour les inscrire dans une
approche des rapports sociaux à l'épreuve de la globalisation financière.Il propose une sociologie de leur structuration à partir d'une recension
des interactions entre trois dimensions : l'économie, le politique et
l'idéologie. Et tout en soulignant l'importance des rapports de production
dans cette structuration, il en marque les ruptures. Les unes sont liées aux
caractéristiques marchandes et financières de cette globalisation, alors que
d'autres sont davantage inscrites dans l'histoire géopolitique ou culturelle
en longue période.En raison de la diversité des registres d'activité que touche la
globalisation financière, il est légitime de la définir sociologiquement
comme un phénomène social total.Enfin, les pressions de cette forme de globalisation sont telles, qu'elles
conduisent l'auteur à soulever nombre d'apories que véhiculent les discours
politiques.