Un livre d'une valeur inestimable.The Times Literary SupplementComment Vidiar Surajprasad Naipaul était-il à 17 ans ? On découvrira ce Vidia juvénile, pas encore le Nobel Sir Vidia, dans ce livre émouvant. Au début de cette correspondance inédite, Vidia, surnommé Vido, a 17 ans : fils d'un journaliste au quotidien The Trinidad Guardian, l'adolescent a déjà, et c'est incroyable, le regard critique qu'il conservera toute sa vie. Ne dit-il pas à sa soeur en 1949 à propos de l'Inde : « Un pays lamentable, plein d'une pompeuse médiocrité, sans avenir » ? Ou de sa vie d'étudiant boursier à Oxford, le futur « travel-writer » fanatique de la vérité, ne dit-il pas aussi : « L'intellectualisme n'est que fainéantise élégante. C'est pourquoi je m'attends soit à une grande réussite soit à un échec sans précédent. Je grille de voir la vie d'un peu plus près » ? Son père lui prodigue conseils pratiques, amoureux, familiaux, et surtout, une leçon de littérature : « Maintiens ton axe. » En 1953, Vidia l'exilé apprend la mort de son père d'une crise cardiaque. Il sait qu'il a une dette envers lui. Le fils passera sa vie à montrer aux siens qu'il a maintenu son axe : devenir un écrivain.« Il est quelque peu surprenant de découvrir une relation qui révèle un amour sincère, né d'une ambition partagée. »The Financial Times« Un livre à la fois réconfortant et terriblement triste. »The Sunday Telegraph« Ressort de cet ouvrage, l'héroïsme dont il faut faire montre pour croire en soi malgré des circonstances usantes. »The Independent
Un livre d'une valeur inestimable.The Times Literary SupplementComment Vidiar Surajprasad Naipaul était-il à 17 ans ? On découvrira ce Vidia juvénile, pas encore le Nobel Sir Vidia, dans ce livre émouvant. Au début de cette correspondance inédite, Vidia, surnommé Vido, a 17 ans : fils d'un journaliste au quotidien The Trinidad Guardian, l'adolescent a déjà, et c'est incroyable, le regard critique qu'il conservera toute sa vie. Ne dit-il pas à sa soeur en 1949 à propos de l'Inde : « Un pays lamentable, plein d'une pompeuse médiocrité, sans avenir » ? Ou de sa vie d'étudiant boursier à Oxford, le futur « travel-writer » fanatique de la vérité, ne dit-il pas aussi : « L'intellectualisme n'est que fainéantise élégante. C'est pourquoi je m'attends soit à une grande réussite soit à un échec sans précédent. Je grille de voir la vie d'un peu plus près » ? Son père lui prodigue conseils pratiques, amoureux, familiaux, et surtout, une leçon de littérature : « Maintiens ton axe. » En 1953, Vidia l'exilé apprend la mort de son père d'une crise cardiaque. Il sait qu'il a une dette envers lui. Le fils passera sa vie à montrer aux siens qu'il a maintenu son axe : devenir un écrivain.« Il est quelque peu surprenant de découvrir une relation qui révèle un amour sincère, né d'une ambition partagée. »The Financial Times« Un livre à la fois réconfortant et terriblement triste. »The Sunday Telegraph« Ressort de cet ouvrage, l'héroïsme dont il faut faire montre pour croire en soi malgré des circonstances usantes. »The Independent