En apparence, les méthodes de management ne cessent de se
renouveler : on ne compte plus les prétendues nouveautés
qui apparaissent jour après jour sur ce marché. En réalité,
le management tourne en rond : les organisations sont toujours
confrontées aux mêmes problèmes et leurs dirigeants puisent
dans un corpus de doctrines simplistes les moyens de les résoudre.
Dans ce second volume de Lost in management, François Dupuy
s'attache à démonter les mécanismes de l'appauvrissement de la
pensée managériale et à en montrer les graves conséquences pour
les entreprises. L'ignorance persistante des acquis des sciences
sociales en particulier cause des ravages. Habillant les idées reçues
d'un jargon déconnecté de la «réalité», dirigeants et managers
commettent des erreurs de raisonnement et des confusions qui
pénalisent toujours plus leurs décisions.À travers des exemples de la vie quotidienne en entreprise, cet
ouvrage montre la responsabilité des grands cabinets de conseil
et des business schools dans la diffusion de cette pensée paresseuse
et de ces pratiques surannées avec lesquelles il est encore temps
de rompre.
En apparence, les méthodes de management ne cessent de se
renouveler : on ne compte plus les prétendues nouveautés
qui apparaissent jour après jour sur ce marché. En réalité,
le management tourne en rond : les organisations sont toujours
confrontées aux mêmes problèmes et leurs dirigeants puisent
dans un corpus de doctrines simplistes les moyens de les résoudre.
Dans ce second volume de Lost in management, François Dupuy
s'attache à démonter les mécanismes de l'appauvrissement de la
pensée managériale et à en montrer les graves conséquences pour
les entreprises. L'ignorance persistante des acquis des sciences
sociales en particulier cause des ravages. Habillant les idées reçues
d'un jargon déconnecté de la «réalité», dirigeants et managers
commettent des erreurs de raisonnement et des confusions qui
pénalisent toujours plus leurs décisions.À travers des exemples de la vie quotidienne en entreprise, cet
ouvrage montre la responsabilité des grands cabinets de conseil
et des business schools dans la diffusion de cette pensée paresseuse
et de ces pratiques surannées avec lesquelles il est encore temps
de rompre.