Activités de André Lebeau

Il était une fois des draveurs
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Raymonde Beaudoin relate les récits d’anciens draveurs encore vivants des régions de La Mauricie et de Lanaudière. Leur travail périlleux et leurs anecdotes y sont décrits avec le vocabulaire unique et particulier à ce milieu désormais disparu. On y trouve aussi un peu l’histoire des papetières qui engageaient ces hommes et de nombreuses photos. Très intéressant et important pour la mémoire collective.


Bowling
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Malgré la vraisemblance du propos, de la narration et des dialogues, j’ai peu adhéré à cette histoire qui m’a parue plus descriptive qu’émotive et qui m’a semblé ne pas aller assez profondément dans la psychologie du personnage principal. J’ai eu l’impression de lire la transposition et un amalgame (bien fait, quand même) de plusieurs cas réels de tueurs de masse que l’on voit encore trop souvent dans les bulletins de nouvelles.

Bowling
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Le laboureur et les mangeurs de vent: liberté intérieure et
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C’est à nouveau en revisitant sa tragique expérience de vie, celle de condamné à mort lors de la Shoah, que Boris Cyrulnik développe une série d’idées pour expliquer le phénomène d’adhésion de populations entières à des régimes totalitaires par la manipulation de l’esprit collectif (les mangeurs de vent). Il met aussi en lumière ce qui permet à d’autres de se questionner et de douter des pensées et des dérives collectives (les laboureurs). Il fait également un parallèle avec les sectes et les religions où le dogme a préséance sur la liberté intérieure. Comme toujours, Cyrulik réussit à expliquer simplement des concepts complexes qui allient philosophie et psychologie.

Le laboureur et les mangeurs de vent: liberté intérieure et
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Michel Pleau nous plonge dans la douceur de l’enfance universelle. Vingt animaux peints sur le mur du Temps parce qu’il « n’aura pas eu assez de [son] enfance/ pour terminer [ses] dessins ». C’est magnifique!

Le petit bestiaire
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Je n’ai pas été conquis par l’histoire de l’écrivain qui décrit son projet et sa démarche d’écriture en nous racontant l’histoire de ses personnages, une famille qu’il décide de suivre à la suite d’un hasard banal pour en faire un roman. Entre la démarche et la trame romanesque, je suis resté plutôt insensible à l’une et l’autre.

La famille Martin
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Dans ce très beau recueil de poésie, Michel Pleau nous parle tout en douceur de l’innocence de l’enfance, d’un éveil à l’émerveillement et de la poésie qui nous entoure, même dans la solitude ou le questionnement de soi. C’est vraiment très, très beau.

Une auberge où personne ne s'arrête
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Quoique j’aie été happé par une écriture intimiste et un récit captivant dans ce roman de 500 pages, j’ai fini par me lasser du niveau de détail que j’ai souvent trouvé superflu. Ça ne m’a pas enlevé le goût de connaître la conclusion du roman, mais j’ai étiré ma lecture par manque d’intérêt. Pour le récit, oui, pour la longueur, non.