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Simard Gabrielle★彡
Intérêts littéraires : Arts, Bande dessinée, Spiritualité/Religion, Littérature, Jeunesse, Essais

Activités de Simard Gabrielle★彡

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Le deuxième mari

Par Larry Tremblay
(3,88)
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Hikaru No Go T.1 : Résurrection d'un génie du go

Par Yumi Hotta et Takeshi Obata
(5,0)
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Plomb

Par Félix Villeneuve
(4,12)
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Ma vie rouge Kubrick

Par Simon Roy
(4,25)
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Souffler dans la cassette

Par Jonathan Bécotte
(4,08)
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Souffler dans la cassette, c'est des roses en papier d'un amour aussi crève-cœur qu'incertain. Puis c'est aussi souffler sur des souvenirs encore mieux et davantage, autant qu'on peu.
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Saints-Damnés

Par Marie-Laurence Trépanier
(4,0)
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Saints-Damnés a tout d’un conte merveilleux au cadre réaliste où des éléments féeriques s’emmêlent. Puis comprenez également que Saints-Damnés est un piège tant pour les personnages que pour nous-mêmes, les lecteurs. C’est donc avec la curiosité de Ma et une inquiétante étrangeté que Marie-Laurence Trépanier nous pousse à travers une quête identitaire effarante, et que l’on se ronge jusqu’au sang d’un doute étrange, « comme dans les bras d’une mauvaise fée » ( p.9 ). Saints-Damnés se répercute donc à nous, nous qui nous retrouvons pris dans un piège ; dans un rêve entouré « comme [d’] une barrière avec des piquants » ( p.115 ).
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Vieux qui lisait des romans d'amour (Le)

Par Luis Sepúlveda
(3,8)
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Les petites distances

Par Véronique Cazot et Camille Benyamina
(4,0)
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Faim

Par Knut Hamsun et André Gide
(4,0)
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La scouine

Par Gabriel Marcoux-Chabot
(3,5)
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Entre la laideur et la saleté, l’absurde se dénote de perversité, de désir et de plaisir. Gabriel Marcoux-Chabot a fait de La Scouine, et à huis clos, une lecture amorale et éhontée qui renvoie à réfléchir.
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L'oeil soldat

Par Larry Tremblay
(4,5)
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L’œil soldat c’est les maux et les mots de la guerre. De là, et d’un rythme staccato et prompt, la hâte et la frénésie demandées à sa lecture évoquent de main de maître le fracas et « ces mots-là » ( p.65 ) de la guerre. On voyage de gauche à droite et s’oppose de droite à gauche. On pose son regard sur ces mots sales et meurtriers, non moins séducteurs et manipulateurs, où « [l’] œil soldat/n’arrive plus à se fermer » ( p.49 ). Puis « [on boit] du café/pour grandir plus vite » ( p.16 ), mais ce n’est pas suffisant, parce que Larry Tremblay nous transporte et nous noie dans la violence de ses poèmes.
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Frayer

Par Marie-Andrée Gill
(4,09)
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Frayer c’est un café sans sucre, c’est « cette impression d’avoir trop ri » ( p.34 ) d’un « je » et d’un « nous ». Puis « c’est [aussi] l’heure dégrisée/de la soif d’eau juste » ( p.63 ). De même, et parce que « […] savoir vivre/c’est arrêter de faire semblant » ( p.70 ), c’est de 75 pages et d’une postface que se charge un cri amer du cœur sur nous, au « je ». Puis si Marie-Andrée Gill a écrit Frayer à la première personne du singulier, c’est néanmoins au « nous » que se trouve le lieu d’arrêt. Autant dire, bel et bien, que Frayer est carrément une remise en question : « nous sommes le monde/mais nous le savons pas » ( p.47 ). Si on s’identifie et s’affirme comme on peut, il n’en reste pas moins qu’on est « pas capables de voler comme du monde » ( p.49 ). Saisissez dès lors que le problème d’identité est ici bien plus fort qu’un simple questionnement. Si on nous met et remet en jeu notre avenir, notre « je » ; c'est au beau milieu de ces vers libres qu’on en comprend l’importance vraie du « je », celui de notre identité, mais aussi celle du « nous », celui qui « [sourit] en carte de bingo gagnante » ( p.8 ). Et sans être trop fort de café, il est aussi vrai que « par ici on flatte le chaos/comme le meilleur avenir possible de l’homme/quand il se contente du cadeau glauque de la vie/offerte en quelques paiements faciles » ( p.71 ).
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Le prince des ténèbres T.1

Par Isaka & osuga
(5,0)
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La leçon de Rosalinde

Par Mustapha Fahmi
(4,14)
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Mort d'Ivan Illitch (La) - Maître et serviteur et de Trois

Par Leo Tolstoj et Dominique Fache
(5,0)
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