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Deej Surgery
Intérêts littéraires : Bande dessinée, Biographies, Littérature, Jeunesse, Psychologie

Activités de Deej Surgery

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Dalva

Par Jim Harrison et Brice Matthieussent
(4,0)
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Retour en arrière pour mieux se saisir d’aujourd’hui, mûrir d’hier pour s’offrir un meilleur demain, Dalva lorgnant les racines de son arbre généalogique jusqu’au sein de ses origines, sous les firmaments du cœur sioux, au pied sacré des Black Hills, où résonna l’écho des vestiges de Little Bighorn jusqu’à cette constellation fragmentée par l’amour interdit, parce que donnant trop jeune naissance à cet enfant abandonné, adopté, mais certes jamais oublié. Teinté d’allusions salaces, d’humeur, de gnôle, de tragédies, « Dalva » de Jim Harrison propose ce prenant récit où s’entrelacent les aléas d’une femme dépossédée au trouble destin des Sioux, peuple déchiré, lui aussi à maintes fois pillé, méprisé, dépossédé.
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Dîner (Le)

Par Herman KOCH et Isabelle Rosselin
(3,66)
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Entre polémique et trou normand, bagatelle de l’anodin, qui de l’adoption, qui du racisme, de la ménopause, du cinéma, de la bouffe bio; apparat du glandeur de première qui zèle, qui glane, pour qui la réputation est en jeu, est l’enjeu. « Le dîner » d’Herman Koch, où quand pour une question de prestige, de renom, la désinvolture, la dérision, prennent le dessus sur la raison, sa déraison !
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Five Little Indians

Par Michelle Good
(4,2)
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Quand les tourmentés cloîtrés sont de connivence, blasphèment tout autour et souillent la pureté de l’enfant, mais que la résilience de l’enfant pave la voie vers demain, vers un lendemain moins incertain, en faire son chemin rouge pour se défaire des chaînons du passé, du pensionnat, du poison. « Five Little Indians » de Michelle Good, une lecture d’actualité alors que charniers et enfants disparus enfin retrouvés ne cessent d’augmenter (même si on a cessé d’en parler). « She felt a certainty, from then on, that all the ones who had come before walked with her. Life was no longer just survival. It was about being someone. An Indian someone, with all the truth that was born into her at the moment she was placed in her mother’s womb. » ?
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Apocryphe: thriller biblique

Par René Manzor
(5,0)
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Reclus pour son propre bien dans le désert de Judée, c’est contre vents, marées sablonneuses et l’esprit tourmenté par le spectre du Golgotha que David de Nazareth se signa et fit, en quête de rédemption, son propre Chemin de croix, avec à sa poursuite, Saül de Tarse, dit saint Paul, d’abord affidé de Pilate, qui lui, en avait plein les baskets avec Barabbas le sulfureux, question que le message, coûte que coûte, se perpétue. D’une griffe saisissante, Aux dialogues percutants, Aux chapitres courts mais insufflants, Recette qui me fit dévorer, sans l’ombre d’un doute, cet « Apocryphe » de René Manzor !
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Querelle de Roberval

Par Kevin Lambert
(3,71)
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Clash de classes, de belligérants, où parvenus et prolétaires se font la main, se font la moue. Quand grève et griefs piétinent tête baissée vers l’impasse, quoi de mieux qu’un lock-out à saveur d’allumette pour que scintille le plus beau des brasiers. Odeur de mort à l’ombre du merdier, ou quand « Querelle de Roberval » de Kevin Lambert prend ses aises, prend son pied légendaire de tout son foutre…
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Rituel de chair

Par Graham Masterton
(3,0)
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Dévot, dévotion, décoction, Plaisir culinaire du long-porc, De la chair humaine, Fraîchement équarrie. Rite anthropophage, Du second avènement, Où ne se pointa finalement, Que lui seul, dit Baron Samedi. « Rituel de chair » de Graham Masterton, ou quand la chair de sa chair devient prétexte aux Célestins d’amadouer, de berner, d’endoctriner, qui devient course contre la montre pour sauver ses entrailles, sa raison. Cœurs sensibles, à proscrire !
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Être sans destin

Par Imre Kertész
(4,5)
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C’est sous ce ciel pourpre des vicissitudes, des cheminées, et drapé par l’aile bienveillante de Bandi Citrom, que cet « Être sans destin », prix Nobel de littérature, soliloque tout son soûl, survivant d’abord à la déportation, déjà en exploit en soi, les relatant ensuite les affres des camps, ses angoisses, les dépravations; misères perçues à travers les yeux du gamin qu’il est, âgé de 15 ans tout au plus. « Néanmoins, je leur ai fait comprendre qu’on ne pouvait jamais commencer une nouvelle vie, on ne pouvait que poursuivre l’ancienne. »
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Le fossé

Par Herman KOCH
(4,0)
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Les astres ligués envers et contre Robert, maire « silver » qui n’en finit plus de questionner, de ressasser, de soupçonner; des doutes qui polluent, qui pullulent comme un pustule qui se pointe et postule, qui se pose, se plaît et marque la peau de son estompe, son barbot. S’il n’était question que de « Sylvia », mais à se plat déjà rance, rendu froid, s’y ajoutent une touche d’abnégation, un autre de désinvolture, ses parents faisant fi du cours du lit, du lit de la plaie, les derniers sacrements étant inscrits ici-bas au calendrier, en date d’un avenir restreint certain. « Le fossé » d’Herman Koch, guet-apens projeté d’une gifle sociale amstellodamienne comme toile de fond, où la rixe est à deux doigts de battre le fer, la mère s’ensuit !
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Né coupable

Par Florence Cadier
(4,0)
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La Caroline du Sud, les États-Unis d’Amérique, le monde carnassier tout entier contre George Stinney, 14 ans, seul dans le box des accusés, des condamnés sans jugement ni préavis, victime ségrégationniste d’une justice aveugle et assoiffée de sang, où qu’une question de pigmentation suffit pour mettre au pilori. « Né coupable » de Florence Cadier, si au moins ce roman jeunesse n’était rien d’autre que fiction, mais non…
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Haute démolition

Par Jean-Philippe Baril Guérard
(3,84)
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L’humour comme façade, comme illusion, comme échappatoire, quand deep down, c’est gris, ça suinte, c’est glauque, quand ni les Olivier, ni la consécration des salles sold out suffisent pour fuir les maux, les cancans, les démons. « Haute démolition » de Jean-Philippe Baril Guérard, ou quand rires et délires baument la voie des rêves détchus du secondaire à la réalisation de soi; son épanouissement, sa destruction, sa rédemption. NB Les prédispositions psychiques sont de mise (sont requises ?) pour en apprécier sa lecture.
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La sentence

Par John Grisham
(3,0)
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De la marche de Bataan au couloir de la mort et en passant par les champs de coton du Mississippi, une épopée tissée serrée autour d’un mensonge qui ne saura pardonner. « La sentence » de John Grisham, certes pas son meilleur mais quand-même divertissant !
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La tresse

Par Laetitia Colombani
(4,2)
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« La tresse » de Laetitia Colombani, 3 destins épars et disparates, qui se fondent pourtant en 3 mèches s’entrecroisant, qui s’imbriquent et se tissent pour donner foi à la vie. Envoûtant certes, émouvant assurément !
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Le crépuscule et l'aube

Par Ken FOLLETT
(3,6)
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Rixe de vikings anéantissant à jamais Combe, ce bourg ne sachant que faire du poids du belligérant, où Edgar de Lordsborough et Brindille allèrent de Cherbourg, Normandie, à Dreng’s Ferry, mieux connu sous King’s Bridge, pour mieux vous servir, Milady, faisant même un crochet par Dublin, pourquoi pas ! Quand l’homme se fait loi, la justice manque de bol, sinon d’un coup merdeux au cœur de la crypte devant fidèles et dévots ! À mille lieux des Piliers de la terre et sous l’ire des Ténèbres, « Le Crépuscule et l’aube » de Ken Follett; d’un divertissement pour le moins sanglant, où pouvoir et manipulation font fi font foi.
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Wapke

Par Michel Jean
(4,62)
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À la croisée des temps, des déceptions, des changements, hier en fumée, Wapke (demain) par anticipation, ou quand la pandémie devient source d’inspiration par extrapolation, 14 auteurs autochtones d’ici s’y prêtant au jeu, offrant de quoi pour le moins délicieux !
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Flots

Par Patrick Senécal
(4,18)
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Délire et boule de quilles...c’est à travers les mots vains, les yeux floués d’une enfant de 8 ans que le prisme du puzzle, du présent, se rapièce et donne corps à l’écho du passé, son épave, sa portée. Secrets réprimés pour échapper à une violence qui a pourtant déjà tout balayé, qui a restreint de son venin, dilapidé de son guêpier. Quand la vie suffoque et occis, le moindre « Flots » s’avère parfois déjà même de trop...et après quelques années de désappointement, voilà que Senécal ressurgit et rend justice au renom avec brio !
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