À quinze ans, Jane Standen a vécu un cauchemar : pendant une promenade en forêt dans une région rurale du nord de l'Angleterre, elle a perdu la fillette de cinq ans qu'elle gardait. L'enfant n'a jamais été retrouvée, et le drame a laissé Jane dévastée. Maintenant archiviste dans la trentaine, Jane s'intéresse à une autre disparition : il y a plus d'un siècle, au même endroit, dans la même forêt, une mystérieuse jeune femme serait disparue d'un asile victorien. Tandis que la narration va et vient entre le musée londonien où Jane travaille, l'asile et un manoir délabré qui semble relier les deux époques, Jane voit se heurter son passé et son présent. Dans une prose inoubliable, ce roman explore les répercussions du moindre geste, l'irrépressible vitalité des objets du quotidien et le pouvoir durable de l'affection. Ce second roman d'Aislinn Hunter, très attendu, n'est rien de moins qu'un bond spectaculaire. Cette oeuvre magnifique déploie ses nuances d'une manière étonnamment nouvelle et nous rappelle subtilement que nous sommes toujours moins seuls que nous ne le croyons.
À quinze ans, Jane Standen a vécu un cauchemar : pendant une promenade en forêt dans une région rurale du nord de l'Angleterre, elle a perdu la fillette de cinq ans qu'elle gardait. L'enfant n'a jamais été retrouvée, et le drame a laissé Jane dévastée. Maintenant archiviste dans la trentaine, Jane s'intéresse à une autre disparition : il y a plus d'un siècle, au même endroit, dans la même forêt, une mystérieuse jeune femme serait disparue d'un asile victorien. Tandis que la narration va et vient entre le musée londonien où Jane travaille, l'asile et un manoir délabré qui semble relier les deux époques, Jane voit se heurter son passé et son présent. Dans une prose inoubliable, ce roman explore les répercussions du moindre geste, l'irrépressible vitalité des objets du quotidien et le pouvoir durable de l'affection. Ce second roman d'Aislinn Hunter, très attendu, n'est rien de moins qu'un bond spectaculaire. Cette oeuvre magnifique déploie ses nuances d'une manière étonnamment nouvelle et nous rappelle subtilement que nous sommes toujours moins seuls que nous ne le croyons.