À la table des philosophes est consacré aux nombreux enjeux
que soulève la nourriture en philosophie. Bien plus fréquenté qu’on ne
l’imagine, voilà un champ d’études des plus appétissants. Pour penser
l’alimentation, on mobilise en effet un grand nombre de disciplines
philosophiques, notamment l’éthique (faut-il servir sur sa table la chair des
animaux ou s’en abstenir ?) ; l’esthétique (la cuisine est-elle un art au même
titre que la peinture ou la musique ?) ; l’épistémologie (les jugements de goût
sont-ils purement subjectifs ou éducables ?) ; la philosophie politique
(doit-on laisser s’imposer le commerce alimentaire mondial ou lui préférer le
locavorisme ?). L’ouvrage de belle facture, largement illustré et destiné au
grand public, aborde plusieurs de ces questions et propose quelques recettes
originales en lien avec le thème traité et des sujets de discussion pour
philosopher entre amis autour de la table.
Un aperçu :
Bien boire au festin de Kant
Faire l’épicerie avec une sceptique
Manger local avec Rousseau
Devenir végétarien avec Peter Singer
Définir la gourmandise avec Thomas d’Aquin
Manger et méditer comme un moine zen
Parier sur le progrès avec Condorcet
Critiquer l’art culinaire avec Platon
Se libérer du joug des régimes
Bien manger à la sauce stoïque
Le
philosophe Normand Baillargeon a
enseigné à l’UQAM de 1989 à 2015. Depuis 20 ans, il a signé, dirigé, édité et
traduit une cinquantaine d’ouvrages traitant d’éducation, de philosophie, de
littérature ou de politique. Infatigable, il multiplie les allers-retours entre
la rédaction d’essais et la collaboration à de nombreux médias, d’abord écrits,
puis électroniques, des médias alternatifs comme Le Couac et À bâbord ! ou grand public comme Le Devoir et la radio de Radio-Canada,
où il a été chroniqueur sur une base hebdomadaire durant cinq ans.
À la table des philosophes est consacré aux nombreux enjeux
que soulève la nourriture en philosophie. Bien plus fréquenté qu’on ne
l’imagine, voilà un champ d’études des plus appétissants. Pour penser
l’alimentation, on mobilise en effet un grand nombre de disciplines
philosophiques, notamment l’éthique (faut-il servir sur sa table la chair des
animaux ou s’en abstenir ?) ; l’esthétique (la cuisine est-elle un art au même
titre que la peinture ou la musique ?) ; l’épistémologie (les jugements de goût
sont-ils purement subjectifs ou éducables ?) ; la philosophie politique
(doit-on laisser s’imposer le commerce alimentaire mondial ou lui préférer le
locavorisme ?). L’ouvrage de belle facture, largement illustré et destiné au
grand public, aborde plusieurs de ces questions et propose quelques recettes
originales en lien avec le thème traité et des sujets de discussion pour
philosopher entre amis autour de la table.
Un aperçu :
Bien boire au festin de Kant
Faire l’épicerie avec une sceptique
Manger local avec Rousseau
Devenir végétarien avec Peter Singer
Définir la gourmandise avec Thomas d’Aquin
Manger et méditer comme un moine zen
Parier sur le progrès avec Condorcet
Critiquer l’art culinaire avec Platon
Se libérer du joug des régimes
Bien manger à la sauce stoïque
Le
philosophe Normand Baillargeon a
enseigné à l’UQAM de 1989 à 2015. Depuis 20 ans, il a signé, dirigé, édité et
traduit une cinquantaine d’ouvrages traitant d’éducation, de philosophie, de
littérature ou de politique. Infatigable, il multiplie les allers-retours entre
la rédaction d’essais et la collaboration à de nombreux médias, d’abord écrits,
puis électroniques, des médias alternatifs comme Le Couac et À bâbord ! ou grand public comme Le Devoir et la radio de Radio-Canada,
où il a été chroniqueur sur une base hebdomadaire durant cinq ans.