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Reine d'Égypte T.2

Par Chie Inudoh
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Une série égyptienne crée par une autrice japonaise, amusant non? Héhé. Chie Inudoh nous introduit dans un univers historique, celui de la première pharaonne de l'humanité, Hatchepsout. Comme la majorité de peuples, il n'y a avait pas beaucoup de considérations pour les femmes. Une femme au pouvoir était donc impensable. Hatchepsout nous apparait comme une femme certes fort belle et intelligente, mais la dimension spirituelle qu'elle apporte, à savoir qu'elle est un homme dans un corps de femme, est assez révélateur. Pour elle, ou du moins ce que l'autrice nous amène comme idée, Hatchepsout aurait du naitre homme et donc naturellement succéder à Pharaon. Elle a cœur les intérêt de son peuple et a des idées bien campées, quoiqu'assez différentes de son mari et frère Thoutmosis. La route vers le trône est pavés d'embûches, mais Hatchepsout pourra compter sur des hommes intelligents pour la soutenir. Il importe pour moi de souligner que cette reine était une pionnière. La particularité principale quand on est la première en son genre, c'est qu'on n'a pas de balises ou de modèles pour se guider dans sa prise de décisions. L'autrice le démontre bien: Hatchepsout fait beaucoup d'essais-erreurs, introspecte beaucoup et rien ne s'est fait rapidement. Même s'il s'agit d'une version romancée, c'est passionnant! Il y a même de petits rubriques qui nous informe sur le mode de vie, les mœurs et la culture égyptienne à cette époque. Côté dessin, rien à redire, ils sont très beaux.

Reine d'Égypte T.1

Par Chie Inudoh
(5,0)
3 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Une série égyptienne crée par une autrice japonaise, amusant non? Héhé. Chie Inudoh nous introduit dans un univers historique, celui de la première pharaonne de l'humanité, Hatchepsout. Comme la majorité de peuples, il n'y a avait pas beaucoup de considérations pour les femmes. Une femme au pouvoir était donc impensable. Hatchepsout nous apparit comme une femme certes fort belle et intelligente, mais la dimension spirituelle qu'elle apporte, à savoir qu'elle est un homme dans un corps de femme, est assez révélateur. Pour elle, ou du moins ce que l'autrice nous amène comme idée, Hatchepsout aurait du naitre homme et donc naturellement succéder à Pharaon. Elle a cœur les intérêt de son peuple et a des idées bien campées, quoiqu'assez différentes de son mari et frère Thoutmosis. La route vers le trône est pavés d'embûches, mais Hatchepsout pourra compter sur des hommes intelligents pour la soutenir. Il importe pour moi de souligner que cette reine était une pionnière. La particularité principale quand on est la première en son genre, c'est qu'on n'a pas de balises ou de modèles pour se guider dans sa prise de décisions. L'autrice le démontre bien: Hatchepsout fait beaucoup d'essais-erreurs, introspecte beaucoup et rien ne s'est fait rapidement. Même s'il s'agit d'une version romancée, c'est passionnant! Il y a même de petits rubriques qui nous informe sur le mode de vie, les mœurs et la culture égyptienne à cette époque. Côté dessin, rien à redire, ils sont très beaux.

Princesse Sara T.9 : Intrigue à Venise

Par Audrey Alwett, Nora Moretti et Marina Duclos
(3,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Décidément, niveau scénario, ça ne va pas en s'améliorant. J'ai l'impression de revivre les Arlquins avec ces romances compliquées pour rien et ces complots entre femmes, sans parler de ces femmes mondaines qui n'ont rien de mieux à faire que de colporter des ragots et écorcher la réputation d'une jeune femme bien. Vraiment, nous sommes très loin de la trame originale de Burnett. Somme toute, les graphismes sont magnifiques et le niveau de détail des tenues est époustouflant. Je salue la qualité des robes et les décors. l'ajout du steampunk est également fort relevé. Pour moi, à partir de cette Bd, la qualité de l'histoire est irrémédiablement moyen et ça n'ira pas en s'améliorant. Ce tome est celui que j,aime le moins pour le scénario, mais sans doute le meilleur pour les tenues de carnaval vénitien.

Princesse Sara T.8 : Meilleurs voeux de mariage

Par Audrey Alwett, Nora Moretti, Marina Duclos et Marina Duclos
(3,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Décidément, niveau scénario, ça ne va pas en s'améliorant. J'ai l'impression de revivre les Arlquins avec ces romances compliquées pour rien et ces complots entre femmes, sans parler de ces femmes mondaines qui n'ont rien de mieux à faire que de colporter des ragots et écorcher la réputation d'une jeune femme bien. Vraiment, nous sommes très loin de la trame originale de Burnett. Somme toute, les graphismes sont magnifiques et le niveau de détail des tenues est époustouflant. Je salue la qualité des robes et les décors. l'ajout du steampunk est également fort relevé. Pour moi, à partir de cette Bd, la qualité de l'histoire est irrémédiablement moyen et ça n'ira pas en s'améliorant avec le tome 9.

Princesse Sara T.7 : Le retour de Lavinia

Par Audrey Alwett, Nora Moretti, Marina Duclos et Marina Duclos
(3,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Décidément, niveau scénario, ça ne va pas en s'améliorant. J'ai l'impression de revivre les Arlquins avec ces romances compliquées pour rien et ces complots entre femmes, sans parler de ces femmes mondaines qui n'ont rien de mieux à faire que de colporter des ragots et écorcher la réputation d'une jeune femme bien. Vraiment, nous sommes très loin de la trame originale de Burnett. Somme toute, les graphismes sont magnifiques et le niveau de détail des tenues est époustouflant. Je salue la qualité des robes et les décors. l'ajout du steampunk est également fort relevé. Pour moi, à partir de cette Bd, la qualité de l'histoire est irrémédiablement moyen et ça n'ira pas en s'améliorant avec le tome 8 et 9.

Princesse Sara T.5 : Retour aux Indes

Par Audrey Alwett, Nora Moretti, Marina Duclos et Marina Duclos
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Sara a vieillit, et cette Bd marque la fin de sa vie dans le pensionnat de Miss Minchin ( soit la fin du roman et du film). Donc, conquêtement, nous somme en zone de nouveauté. L'auteur nous fait découvrir une suite de la vie de Sara Crew, qui retourne aux Indes, en compagnie de Becky. Dans cette suite, Sara souhaite reprendre l,entreprise qui fut celle de son père et de son grand-père, mais puisque l'actuel propriétaire refuse de lui céder l'usine, elle se fait engager sous le faux nom d'Émilie comme ingénieure dans l'usine. Les intrigues aristocrates semblent en ébullition depuis son arrivé secrète dans la ville et bientôt, on parle de l'héritière de retours, mais pas toujours de manière élogieuse, au grand damne de Sara.

Princesse Sara T.4 : Une petite princesse !

Par Audrey Alwett, Nora Moretti, Claudia Boccato et Frances Hodgson Burnett
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Ayant lu et vu le conte de la jeune Sara Crew, je dois dire que j'étais plus heureuse de voir une BD paraître sur son histoire. De manière général et compte tenu des dessins tout simplement magnifiques, cette Bd figure dans mes BD jeunesse préférés. Certains éléments m'ont quand même un peu déçu, comme le décès du père de Sara, le fait que Becky n'est non pas adoptée, mais employée. Ces deux éléments étaient importants pour moi dans le livre et le film, éléments qui font référence à la famille et à son importance. Mais bon, je comprend bien que ce n'est pas un calque de l'original. J'ai fort apprécié le style steampunk qui est incorporé à l'histoire et le fait que nous suivons Sara plus vielle dans les tomes suivants. Sara est un personnage culte, une jeune fille fondamentalement bonne de nature, brillante, généreuse et empathique. Le genre qui sert de modèle positif pour les jeunes lecteurs. Sara donne au style "princesse" une tout autre dimension, à des années lumière de la nunuche fragile, dépendante et inutile. Au contraire, elle met de l'avant l'importance de la culture, du savoir, de la bonté et de sensibilité à la misère humaine. Évidemment, on retrouve les charmes de l'Inde, à son époque plus glorieuse où l'inde n'était pas encore le pays pollué, surpeuplé et dramatiquement industrialisé d'aujourd'hui. Évidemment, je vous invite à lire le roman classique qui est à l'origine de cette jolie BD!

Princesse Sara T.3 : Mystérieuses héritières

Par Audrey Alwett, Nora Moretti et Claudia Boccato
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Ayant lu et vu le conte de la jeune Sara Crew, je dois dire que j'étais plus heureuse de voir une BD paraître sur son histoire. De manière général et compte tenu des dessins tout simplement magnifiques, cette Bd figure dans mes BD jeunesse préférés. Certains éléments m'ont quand même un peu déçu, comme le décès du père de Sara, le fait que Becky n'est non pas adoptée, mais employée. Ces deux éléments étaient importants pour moi dans le livre et le film, éléments qui font référence à la famille et à son importance. Mais bon, je comprend bien que ce n'est pas un calque de l'original. J'ai fort apprécié le style steampunk qui est incorporé à l'histoire et le fait que nous suivons Sara plus vielle dans les tomes suivants. Sara est un personnage culte, une jeune fille fondamentalement bonne de nature, brillante, généreuse et empathique. Le genre qui sert de modèle positif pour les jeunes lecteurs. Sara donne au style "princesse" une tout autre dimension, à des années lumière de la nunuche fragile, dépendante et inutile. Au contraire, elle met de l'avant l'importance de la culture, du savoir, de la bonté et de sensibilité à la misère humaine. Évidemment, on retrouve les charmes de l'Inde, à son époque plus glorieuse où l'inde n'était pas encore le pays pollué, surpeuplé et dramatiquement industrialisé d'aujourd'hui. Évidemment, je vous invite à lire le roman classique qui est à l'origine de cette jolie BD!

Princesse Sara T.2 : La princesse déchue

Par Audrey Alwett, Nora Moretti et Claudia Boccato
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Ayant lu et vu le conte de la jeune Sara Crew, je dois dire que j'étais plus heureuse de voir une BD paraître sur son histoire. De manière général et compte tenu des dessins tout simplement magnifiques, cette Bd figure dans mes BD jeunesse préférés. Certains éléments m'ont quand même un peu déçu, comme le décès du père de Sara, le fait que Becky n'est non pas adoptée, mais employée. Ces deux éléments étaient importants pour moi dans le livre et le film, éléments qui font référence à la famille et à son importance. Mais bon, je comprend bien que ce n'est pas un calque de l'original. J'ai fort apprécié le style steampunk qui est incorporé à l'histoire et le fait que nous suivons Sara plus vielle dans les tomes suivants. Sara est un personnage culte, une jeune fille fondamentalement bonne de nature, brillante, généreuse et empathique. Le genre qui sert de modèle positif pour les jeunes lecteurs. Sara donne au style "princesse" une tout autre dimension, à des années lumière de la nunuche fragile, dépendante et inutile. Au contraire, elle met de l'avant l'importance de la culture, du savoir, de la bonté et de sensibilité à la misère humaine. Évidemment, on retrouve les charmes de l'Inde, à son époque plus glorieuse où l'inde n'était pas encore le pays pollué, surpeuplé et dramatiquement industrialisé d'aujourd'hui. Évidemment, je vous invite à lire le roman classique qui est à l'origine de cette jolie BD!

Princesse Sara T.1 : Pour une mine de diamants

Par Audrey Alwett, Nora Moretti et Claudia Boccato
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Ayant lu et vu le conte de la jeune Sara Crew, je dois dire que j'étais plus heureuse de voir une BD paraître sur son histoire. De manière général et compte tenu des dessins tout simplement magnifiques, cette Bd figure dans mes BD jeunesse préférés. Certains éléments m'ont quand même un peu déçu, comme le décès du père de Sara, le fait que Becky n'est non pas adoptée, mais employée. Ces deux éléments étaient importants pour moi dans le livre et le film, éléments qui font référence à la famille et à son importance. Mais bon, je comprend bien que ce n'est pas un calque de l'original. J'ai fort apprécié le style steampunk qui est incorporé à l'histoire et le fait que nous suivons Sara plus vielle dans les tomes suivants. Sara est un personnage culte, une jeune fille fondamentalement bonne de nature, brillante, généreuse et empathique. Le genre qui sert de modèle positif pour les jeunes lecteurs. Sara donne au style "princesse" une tout autre dimension, à des années lumière de la nunuche fragile, dépendante et inutile. Au contraire, elle met de l'avant l'importance de la culture, du savoir, de la bonté et de sensibilité à la misère humaine. Évidemment, on retrouve les charmes de l'Inde, à son époque plus glorieuse où l'inde n'était pas encore le pays pollué, surpeuplé et dramatiquement industrialisé d'aujourd'hui. Évidemment, je vous invite à lire le roman classique qui est à l'origine de cette jolie BD!

Prince captif T.3 : Le roi

Par C.S. Pacat
(2,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Roman Fantasy Érotique pour public avertis, 18 ans+ Ayant laissé leur dernier prise à son capitaine et amant Damen, Laurent part dans ce qui semble être un piège tendu par son oncle, le Régent de Vère. C'est dans ce fort que Damen laisse entrer une armée alkielonienne, ses compatriotes, pour leur demander de se joindre à lui dans une alliance entre Vénétiens et Alkiloniens inédite. Par le fait même, il est reconnu comme Damianos, roi légitime d'Alkinos. Les problèmes s'enchaînent et Damen doit faire face à Laurent. Ce dernier admet alors n'avoir jamais douter de l'identité de son esclave: Damen n'était donc pas le seul à avoir fait semblant. Si les deux futurs monarques s'allient en bonne et due forme, symboliquement assis sur un trône jumeau, leurs sentiments communs sont au point mort. Laurent prétend s'être laissé approché pour mieux contrôler Damen. Le jeu des alliances et les manœuvres politiques sont au centre de leurs préoccupations, car concilier deux nations qui se haïssent réciproquement n'a rien de facile. Et donc, tout ce temps, Laurent se prostitue avec le même gars qu'il a fait fouetter presque à mort, violer par procuration tout en savourant l'humiliation de sa victime, pour mieux le tenir en son pouvoir. Bon. Je réitère: La série aurait été vraiment mieux sans le sexe, qui a purement et simplement tout gâché avec sa toxicité et son instrumentalisation. Par ailleurs, tomber amoureux de son violeur a de quoi faire sourciller et utiliser son propre corps comme outil de contrôle est proprement malsain. C'est dommage, il y a avait des axes intéressants, mais l'érotisme est cru, à la limite vulgaire et sert non pas un amour sincère, mais une drôle de relation co-dépendante truffé de violence sexuelle. Comme quoi, on peut toujours changer d'avis., surtout quand on voit à quel point la violence sexuelle sert le narratif "sexy" et les romances malsaines, en ce moment, en littérature en général. Pour un lectorat adulte avertis , 18 ans+ ( Sexualité explicite et relation toxique banalisée)

Prince captif T.3 : Le roi

Par C.S. Pacat
(2,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Roman Fantasy Érotique pour public avertis, 18 ans+ Ayant laissé leur dernier prise à son capitaine et amant Damen, Laurent part dans ce qui semble être un piège tendu par son oncle, le Régent de Vère. C'est dans ce fort que Damen laisse entrer une armée alkielonienne, ses compatriotes, pour leur demander de se joindre à lui dans une alliance entre Vénétiens et Alkiloniens inédite. Par le fait même, il est reconnu comme Damianos, roi légitime d'Alkinos. Les problèmes s'enchaînent et Damen doit faire face à Laurent. Ce dernier admet alors n'avoir jamais douter de l'identité de son esclave: Damen n'était donc pas le seul à avoir fait semblant. Si les deux futurs monarques s'allient en bonne et due forme, symboliquement assis sur un trône jumeau, leurs sentiments communs sont au point mort. Laurent prétend s'être laissé approché pour mieux contrôler Damen. Le jeu des alliances et les manœuvres politiques sont au centre de leurs préoccupations, car concilier deux nations qui se haïssent réciproquement n'a rien de facile. Et donc, tout ce temps, Laurent se prostitue avec le même gars qu'il a fait fouetter presque à mort, violer par procuration tout en savourant l'humiliation de sa victime, pour mieux le tenir en son pouvoir. Bon. Je réitère: La série aurait été vraiment mieux sans le sexe, qui a purement et simplement tout gâché avec sa toxicité et son instrumentalisation. Par ailleurs, tomber amoureux de son violeur a de quoi faire sourciller et utiliser son propre corps comme outil de contrôle est proprement malsain. C'est dommage, il y a avait des axes intéressants, mais l'érotisme est cru, à la limite vulgaire et sert non pas un amour sincère, mais une drôle de relation co-dépendante truffé de violence sexuelle. Comme quoi, on peut toujours changer d'avis., surtout quand on voit à quel point la violence sexuelle sert le narratif "sexy" et les romances malsaines, en ce moment, en littérature en général. Pour un lectorat adulte avertis , 18 ans+ ( Sexualité explicite et relation toxique banalisée)

Prince captif T.2 : Le guerrier

Par C.S. Pacat
(2,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Roman Fantasy Érotique, pour public avertis, 18 ans+ Les deux princes sont en route pour la frontière vérétienne où ils devront faire face à des conflits armés. Pour Damen, cela n'a rien de nouveau et suite à son passage très déplaisant à Arles, il lui est bon de se sentir utile et compétent. C'est l'occasion pour le prince-esclave de faire briller ses compétences militaires et sa force de combat. Si la combinaison entre le génie stratégique de Laurent et l'excellence guerrière de Damen leur faire gagner en confiance et en puissance leur armée à priori indisciplinée, les choses sont loin d'être faciles entre eux deux. Si cette méfiance semble enfin se dégager et leur fait prendre une tournure de plus en plus sentimentale, Damen reste rongé par son soucis de ne pas révéler son véritable statut. Une réalité qu'il faudra, d'une manière ou d'une autre, laisser éclater au grand jour. Meilleur que le premier tome, sans doute parce qu'il y a beaucoup d'action et que la relation entre les deux personnages prend un nouveau virage, le second tome nous transporte entre les territoires, les alliances, les jeux de pourvoir, la diplomatie et les prouesses physiques. Mais je réitère mon propos abordé dans le tome 1, à savoir que c'est une relation qui a commencé par un viol et une torture physique, ce qui laisse perplexe l'émergence d'une romance entre les deux personnages. S'ajoute à cela le fait que Laurent se prostitue pour s'assurer du concours de Damen, on ne peut pas dire que tout cela soit bien sain ou sincère. La sexualité dans la série est vraiment toxique. C'est bien dommage, n'eut été de la dimension sexuelle, la série aurait été excellente.

Prince captif T.2 : Le guerrier

Par C.S. Pacat
(2,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Roman Fantasy Érotique, pour public avertis, 18 ans+ Les deux princes sont en route pour la frontière vérétienne où ils devront faire face à des conflits armés. Pour Damen, cela n'a rien de nouveau et suite à son passage très déplaisant à Arles, il lui est bon de se sentir utile et compétent. C'est l'occasion pour le prince-esclave de faire briller ses compétences militaires et sa force de combat. Si la combinaison entre le génie stratégique de Laurent et l'excellence guerrière de Damen leur faire gagner en confiance et en puissance leur armée à priori indisciplinée, les choses sont loin d'être faciles entre eux deux. Si cette méfiance semble enfin se dégager et leur fait prendre une tournure de plus en plus sentimentale, Damen reste rongé par son soucis de ne pas révéler son véritable statut. Une réalité qu'il faudra, d'une manière ou d'une autre, laisser éclater au grand jour. Meilleur que le premier tome, sans doute parce qu'il y a beaucoup d'action et que la relation entre les deux personnages prend un nouveau virage, le second tome nous transporte entre les territoires, les alliances, les jeux de pourvoir, la diplomatie et les prouesses physiques. Mais je réitère mon propos abordé dans le tome 1, à savoir que c'est une relation qui a commencé par un viol et une torture physique, ce qui laisse perplexe l'émergence d'une romance entre les deux personnages. S'ajoute à cela le fait que Laurent se prostitue pour s'assurer du concours de Damen, on ne peut pas dire que tout cela soit bien sain ou sincère. La sexualité dans la série est vraiment toxique. C'est bien dommage, n'eut été de la dimension sexuelle, la série aurait été excellente.

Prince captif : L'intégrale

Par C.S. Pacat
(2,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Roman Fantasy Érotique, pour public avertis, 18 ans+ Ce premier tome est un roman qui nous rend inconfortable dans nos mœurs. S'il constitue un roman adulte à inclinaison sexuelle dans un contexte Fantasy qui peut plaire à un certain lectorat, avec le temps, il a cessé d'être attrayant à mes yeux, alors que je constate l'étendu des glorifications de relations toxiques dans les littérature générale et Jeunesse. Cette critique est donc une réécriture de la première critique. Contextualisons un peu. Dans la société de Vère, le royaume où le prince Damen est retenu captif, il est de notoriété publique qu'un homme "bien né" (l'élite), se doit d'être prudent à ne pas engendrer de bâtards. Dans cet ordre d'idée, les puissants se sont tournés vers les rapports entre personne de même sexe afin d'être sur de pas avoir d'enfants illégitimes. C'est pourquoi, à tort ou à raison, les personnages du roman passent presque tous pour des homosexuels, mais en réalité, ces rapports traduisent plus un moyen de satisfaire tout le monde sur le plan sexuel. Femmes avec femmes.Hommes avec hommes. C'est dans ce contexte politico-social que se profile la relation houleuse entre l'esclave et son maître, tout deux princes et tout deux ennemis. Les intrigues de la cour, les commérages et les pratiques barbares sont le lot d’épreuves du prince Damen, le prince captif. Mais ce premier tome fait sous-tendre aussi des complications pour Laurent, le prince propriétaire de Damen. Personnellement, le pays de Damen me rappel la Grèce et celui de Laurent un mélange en l'orient et le moyen-orient. Il y a certainement de l'inspiration d'outre-mer dans ce livre. Mais. Il y a un mais. Attention, je vais devoir divulgâcher, incluant les tomes 2 et 3. J'ai du revoir cette critique, initialement relativement positive, car j'ai du faire le constat de ma propre incohérence. Pendant que je trouve parfaitement anormal de voir des romans promouvoir le viol comme une forme de sexualité ( souvent retournée comme "plaisante finalement"), je n'avais pas, semble-t-il réalisé que c'est exactement ce qu'a vécu Damen. Un viol. Il s'agit d'une fellation forcée et le fait de bander est strictement mécanique, pas signe de plaisir réel. Pire, son violeur se fait diriger par son "propriétaire", le prince de Vère et non-accessoirement, son futur amant. Il s'agit d'une vengeance, car nous découvriront plus tard que Damen est au coeur d'une action que Laurent souhaite lui faire payer. C'est donc malheureux, car le reste du roman est plutôt potable, surtout le tome 2 avec la guerre, mais je ne peux pas laisser une relation toxique glorifiées rester dans mes romans à quatre étoiles. Par principe et parce que ma pensée a évoluer. En fait, n'eut été de deux éléments, à savoir le viol et la flagellation "à mort", l'histoire des deux princes ennemis aurait été davantage "vraisemblable" et surtout "saine". Un autre point qui refait surface dans mon esprit est le fait que plus loin dans la série, Laurent adopte une nouvelle "posture" ( dans les deux sens du terme) en se prostituant auprès de son "amant", afin de s'assurer de son concours dans le conflit. Il y a donc un axe malsain dans leur sexualité de ce point de vue, axe qui est d'ailleurs encore plus tordu quand on apprend que le prince de Vère est aussi victime d'un pédophile dans sa tendre enfance, qui est son propre oncle. Décidément, la déviance sexuelle et l'instrumentalisation de la sexualité me semblent loin de tout potentiel amoureux, malgré ce qu'en dit l'autrice. Je comprend qu'il y a un contexte, celui d'un monde hiérarchisé qui s'autorise la violence sexuelle sur les hommes. Néanmoins, il devient litigieux de prétendre que l'amour peut naitre de cette violence et pour cela, je dois sortir "Prince captif" de mes coup de cœur. La violence faite aux hommes est d'ailleurs aussi rebutante que celle infligée aux femmes. Certains romans en parle d'ailleurs de ces sociétés qui s'autorisent la violence sexuelle, mais la différence, c'est qu'elles mettent en relief l'absurdité de cette violence et ses conséquences. "Prince captif" semble au contraire s'en servir pour faire passer un extrême à un autre, de "Ennemis" à 'Amants". Un fantasme qui charment certaines personnes, mais qui a cesser d'être ambigu pour ma part. Pour un lectorat adulte avertis, 18 ans+ ( Sexuellement explicite).

Prince captif T.1 : L'esclave

Par C.S. Pacat
(2,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Roman Fantasy Érotique, pour public avertis, 18 ans+ Ce premier tome est un roman qui nous rend inconfortable dans nos mœurs. S'il constitue un roman adulte à inclinaison sexuelle dans un contexte Fantasy qui peut plaire à un certain lectorat, avec le temps, il a cessé d'être attrayant à mes yeux, alors que je constate l'étendu des glorifications de relations toxiques dans les littérature générale et Jeunesse. Contextualisons un peu. Dans la société de Vère, le royaume où le prince Damen est retenu captif, il est de notoriété publique qu'un homme "bien né" (l'élite), se doit d'être prudent à ne pas engendrer de bâtards. Dans cet ordre d'idée, les puissants se sont tournés vers les rapports entre personne de même sexe afin d'être sur de pas avoir d'enfants illégitimes. C'est pourquoi, à tort ou à raison, les personnages du roman passent presque tous pour des homosexuels, mais en réalité, ces rapports traduisent plus un moyen de satisfaire tout le monde sur le plan sexuel. Femmes avec femmes.Hommes avec hommes. C'est dans ce contexte politico-social que se profile la relation houleuse entre l'esclave et son maître, tout deux princes et tout deux ennemis. Les intrigues de la cour, les commérages et les pratiques barbares sont le lot d’épreuves du prince Damen, le prince captif. Mais ce premier tome fait sous-tendre aussi des complications pour Laurent, le prince propriétaire de Damen. Personnellement, le pays de Damen me rappel la Grèce et celui de Laurent un mélange en l'orient et le moyen-orient. Il y a certainement de l'inspiration d'outre-mer dans ce livre. Mais. Il y a un mais. Attention, je vais devoir divulgâcher, incluant les tomes 2 et 3. J'ai du revoir cette critique, initialement relativement positive, car j'ai du faire le constat de ma propre incohérence. Pendant que je trouve parfaitement anormal de voir des romans promouvoir le viol comme une forme de sexualité ( souvent retournée comme "plaisante finalement"), je n'avais pas, semble-t-il réalisé que c'est exactement ce qu'a vécu Damen. Un viol. Il s'agit d'une fellation forcée et le fait de bander est strictement mécanique, pas signe de plaisir réel. Pire, son violeur se fait diriger par son "propriétaire", le prince de Vère et non-accessoirement, son futur amant. Il s'agit d'une vengeance, car nous découvriront plus tard que Damen est au coeur d'une action que Laurent souhaite lui faire payer. C'est donc malheureux, car le reste du roman est plutôt potable, surtout le tome 2 avec la guerre, mais je ne peux pas laisser une relation toxique glorifiées rester dans mes romans à quatre étoiles. Par principe et parce que ma pensée a évoluer. En fait, n'eut été de deux éléments, à savoir le viol et la flagellation "à mort", l'histoire des deux princes ennemis aurait été davantage "vraisemblable" et surtout "saine". Un autre point qui refait surface dans mon esprit est le fait que plus loin dans la série, Laurent adopte une nouvelle "posture" ( dans les deux sens du terme) en se prostituant auprès de son "amant", afin de s'assurer de son concours dans le conflit. Il y a donc un axe malsain dans leur sexualité de ce point de vue, axe qui est d'ailleurs encore plus tordu quand on apprend que le prince de Vère est aussi victime d'un pédophile dans sa tendre enfance, qui est son propre oncle. Décidément, la déviance sexuelle et l'instrumentalisation de la sexualité me semblent loin de tout potentiel amoureux, malgré ce qu'en dit l'autrice. Je comprend qu'il y a un contexte, celui d'un monde hiérarchisé qui s'autorise la violence sexuelle sur les hommes. Néanmoins, il devient litigieux de prétendre que l'amour peut naitre de cette violence et pour cela, je dois sortir "Prince captif" de mes coup de cœur. La violence faite aux hommes est d'ailleurs aussi rebutante que celle infligée aux femmes. Certains romans en parle d'ailleurs de ces sociétés qui s'autorisent la violence sexuelle, mais la différence, c'est qu'elles mettent en relief l'absurdité de cette violence et ses conséquences. "Prince captif" semble au contraire s'en servir pour faire passer un extrême à un autre, de "Ennemis" à 'Amants". Un fantasme qui charment certaines personnes, mais qui a cesser d'être ambigu pour ma part. Pour un lectorat adulte avertis, 18 ans+ ( Sexuellement explicite).

Prince captif T.1 : L'esclave

Par C.S. Pacat
(2,0)
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Roman Fantasy Érotique, pour public avertis, 18 ans+ Ce premier tome est un roman qui nous rend inconfortable dans nos mœurs. S'il constitue un roman adulte à inclinaison sexuelle dans un contexte Fantasy qui peut plaire à un certain lectorat, avec le temps, il a cessé d'être attrayant à mes yeux, alors que je constate l'étendu des glorifications de relations toxiques dans les littérature générale et Jeunesse. Contextualisons un peu. Dans la société de Vère, le royaume où le prince Damen est retenu captif, il est de notoriété publique qu'un homme "bien né" (l'élite), se doit d'être prudent à ne pas engendrer de bâtards. Dans cet ordre d'idée, les puissants se sont tournés vers les rapports entre personne de même sexe afin d'être sur de pas avoir d'enfants illégitimes. C'est pourquoi, à tort ou à raison, les personnages du roman passent presque tous pour des homosexuels, mais en réalité, ces rapports traduisent plus un moyen de satisfaire tout le monde sur le plan sexuel. Femmes avec femmes.Hommes avec hommes. C'est dans ce contexte politico-social que se profile la relation houleuse entre l'esclave et son maître, tout deux princes et tout deux ennemis. Les intrigues de la cour, les commérages et les pratiques barbares sont le lot d’épreuves du prince Damen, le prince captif. Mais ce premier tome fait sous-tendre aussi des complications pour Laurent, le prince propriétaire de Damen. Personnellement, le pays de Damen me rappel la Grèce et celui de Laurent un mélange en l'orient et le moyen-orient. Il y a certainement de l'inspiration d'outre-mer dans ce livre. Mais. Il y a un mais. Attention, je vais devoir divulgâcher, incluant les tomes 2 et 3. J'ai du revoir cette critique, initialement relativement positive, car j'ai du faire le constat de ma propre incohérence. Pendant que je trouve parfaitement anormal de voir des romans promouvoir le viol comme une forme de sexualité ( souvent retournée comme "plaisante finalement"), je n'avais pas, semble-t-il réalisé que c'est exactement ce qu'a vécu Damen. Un viol. Il s'agit d'une fellation forcée et le fait de bander est strictement mécanique, pas signe de plaisir réel. Pire, son violeur se fait diriger par son "propriétaire", le prince de Vère et non-accessoirement, son futur amant. Il s'agit d'une vengeance, car nous découvriront plus tard que Damen est au coeur d'une action que Laurent souhaite lui faire payer. C'est donc malheureux, car le reste du roman est plutôt potable, surtout le tome 2 avec la guerre, mais je ne peux pas laisser une relation toxique glorifiées rester dans mes romans à quatre étoiles. Par prinicipe et parce que ma pensée a évoluer. En fait, n'eut été de deux éléments, à savoir le viol et la flagellation "à mort", l'histoire des deux princes ennemis aurait été davantage "vraisemblable" et surtout "saine". Un autre point qui refait surface dans mon esprit est le fait que plus loin dans la série, Laurent adopte une nouvelle "posture" ( dans les deux sens du terme) en se prostituant auprès de son "amant", afin de s'assurer de son concours dans le conflit. Il y a donc un axe malsain dans leur sexualité de ce point de vue, axe qui est d'ailleurs encore plus tordu quand on apprend que le prince de Vère est aussi victime d'un pédophile dans sa tendre enfance, qui est son propre oncle. Décidément, la déviance sexuelle et l'instrumentalisation de la sexualité me semblent loin de tout potentiel amoureux, malgré ce qu'en dit l'autrice. Je comprend qu'il y a un contexte, celui d'un monde hiérarchisé qui s'autorise la violence sexuelle sur les hommes. Néanmoins, il devient litigieux de prétendre que l'amour peut naitre de cette violence et pour cela, je dois sortir "Prince captif" de mes coup de cœur. La violence faite aux hommes est d'ailleurs aussi rebutante que celle infligée aux femmes. Certains romans en parle d'ailleurs de ces sociétés qui s'autorisent la violence sexuelle, mais la différence, c'est qu'elles mettent en relief l'absurdité de cette violence et ses conséquences. "Prince captif" semble au contraire s'en servir pour faire passer un extrême à un autre, de "Ennemis" à 'Amants". Un fantasme qui charment certaines personnes, mais qui a cesser d'être ambigu pour ma part. Pour un lectorat adulte avertis, 18 ans+ ( Sexuellement explicite).

Pourquoi pas nous ?

Par Becky Albertalli et Adam SILVERA
(3,5)
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Arthur passe son été dans cette ville qui stimule son imagination, New York. Dès le début, il est charmé par la ville, mais aux portes du bureau de poste, il rencontre Ben, qui traine un colis. Pour Arthur, c'est une rencontre organisé par l'univers (littéralement), mais pour Ben, l'univers est contre lui. Après tout, il vient de quitter son premier petit ami. Suite à un imbroglio de circonstances, Arthur se retrouve sans le numéro et sans le nom de ce gars mignon avec qui il a parlé. De part et d'autre, les jeunes hommes songent à cette rencontre et finissent par tout mettre en œuvre pour se rencontrer. Et quand ils se rencontreront , ce sera le début de leur histoire d'amour bien singulière. Ce n’est pas juste une histoire d'amour, c'est aussi une histoire d'amitié, de personnalités fortes, de quête de soi et d'espoir d'avenir. Et le couple Arthur/Ben n'est pas le seul en jeu dans ce livre et même s'il est le couple principal, les autres sont aussi hétéroclite que lui! Bon, bien sur, ce qui m'a beaucoup plu, c,est l'humour irrévérencieux, sarcastique et même un chouia vulgaire ( dans le sens "cru"/dépouillé) qui teinte pages après pages ce roman coécrit. Si Arthur est tout en énergie et en rêveries, Benjamin est terre-à-terre, un brin défaitiste et pourtant créatif. Le duo a beau être déjà fort coloré, les autres personnages le sont tout autant. J'ai adorer le personnage de Dylan, un sacré numéro qui me rappel le personnage d'Alan dans "Lendemain de veille", en raison de ses idées saugrenue, son comportement excentrique et sa barbe. On ne s’ennuie pas avec ce livre. Il y a également beaucoup de références à certains éléments, notamment Hamilton, Harry Potter, plusieurs acteurs, beaucoup de films. C'est évidement plus drôle si vous avez une bonne culture générale concernant ces éléments. C,est le genre de livre où je voudrais mettre tout le livre en extrait, tant il y a de bons passages. Bref, une belle trouvaille!

Perfect Crime T.9

Par Arata Miyatsuki et Yuya Kanzaki
(4,0)
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Usobuki est bien décidé à retrouver l'attention du détective Tada et n'hésite plus à aller à l'encontre de ses propres règles. Danjo de son côté, est plus que jamais présenté comme un être à double face, entre sa grande générosité et sa personnalité lumineuse opposée à ses pires instincts et ses désirs sombres. Tada quand à lui a juste besoin d'un bon coup de pieds au fesses, lui qui marine sur le statu quo depuis un moment déjà. Cette fois, les enchères montent: Usokuki implique tout un groupe de personnes afin de forcer la main à Tada. Usobuki nous révèle ce qu'il espère de Tada, mais ce n'est pas une grande surprise non plus. Plus que jamais, ce n'est plus juste une lutte entre deux forces opposées, mais maintenant, c'est plutôt un triangle. Le genre de triangle qu'on en voit certainement pas tous les jours! Si je devais illustrer mon propos sur la série, je dirais que c'est un peu un échiquier. Les premiers tomes, on avances les pions, on en bouffe un ou deux. Là, nous sommes dans le crescendo: la lutte se complexifie, des pièces importantes sont tombées ( les masques aussi, d,ailleurs): ça sens le bain de sang. Un autre bon tome qui augure un tome 10 riche en action ( Espérons le).

Perfect Crime T.1

Par Arata Miyatsuki et Yuya Kanzaki
(4,0)
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Surement l'un des mangas les plus rudes que j'aie lu, il est aussi sombre que le laisse présager la page couverture. Cette série n'est pas sans rappeler le tandem Raito-Ryuzakki du manga "Death Note", entre deux personnages que leur vision oppose mais qui entretiennent une certaine relation. Dans ce manga-ci, vous retrouverez aussi un assassin qui semble intouchable et le détective vertueux qui tente de l'inculper. Mais que faire quand ledit assassin possède une méthode impossible à expliquer? Il faudra tout de même attendre un peu avant qu'Usobuki (L'assassin) commence à changer de stratégie, alors les premiers tomes ressemble plus à des micro-histoires, une pour chaque meurtre, qui ont le mérite de mieux nous faire comprendre la méthode et les valeurs qui anime tant l'antagoniste que le protagoniste. C'est d'un point de vue cynique que l'on observe la facette "laide" de la nature humaine. Ça me rappel les romans de Stephen King, un auteur qui utilise beaucoup le versant obscure de l'humanité, de la psychologie egocentrique et limite ego-maniqaque. Bref, dans son genre, un bon manga et de très beaux dessins. Pour un public averti, compte tenu des sujets, des scènes de violence et sexualité non censurée.

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Lecture en cours :

L'infini dans un roseau
Catégorie : Littérature
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Le Livre de poche. Documents
Paru le 3 avril 2023
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