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Je ne suis pas là

Par Lize Spit
(5,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
« Il était bien plus que mon havre dans la tempête, il était ces milliers de ridules formées dans le sable par la marée ou les courants et qui permettaient de marcher sur la plage pendant des kilomètres sans se mouiller les pieds en une seule fois. » Léo et Simon s’étaient trouvés et leur vœu commun d’une histoire d’amour durable s’est peu à peu évaporé au cours de l’année 2018. Et lorsque le récit débute en février 2019, le lecteur ignore dans quel maelström la narratrice l’entraîne à sa suite. Une course contre la montre s’engage dont on ne peut encore mesurer toute la teneur et qui s’apparente à un combat effréné d’une femme aimante et protectrice envers son amoureux aux prises avec les spectres de la maladie mentale. Oppressant et émouvant, ce texte peut se lire d’une traite comme un thriller, mais pour ceux et celles qui ont déjà connu ou vécu une telle situation, Je ne suis pas là se prend comme un coup de poing en plein ventre. J’avais beaucoup aimé le premier roman de Liz Spit, Débâcle, mais celui-ci est encore plus percutant. Je lui accorde donc cinq étoiles pour la maîtrise de la structure, de la narration et pour ses personnages crédibles et convaincants. Une autrice dont il ne faudra pas manquer les prochains romans!

To love, love, love

Par Patrick Froehlich
(5,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Le commentaire de Martine : Dans cette longue réflexion, on va apprendre à connaître un adulte qui est le narrateur, il va revisiter son adolescence et ses souvenirs qui pour certains avaient été enterrés profondément, mais en regardant une cassette super 8. Ce sera un voyage dans le passé de ce jeune, il aura un chemin d'acceptation, de réconciliation et de conciliation dans le respect, bien que les moments les plus étranges, horribles et condrontants qui sont reliés à la sexualité, de son intimité bafouée, de se faire interdire de vivre une relation d'amour, d'une expérience d'agression sexuelle, de ses propres désirs qui ont été transgressés sans être respectés et sans être acceptés. Durant le visionnement de la cassette, il était confronté à des scènes atroces, traumatiques, choquantes, c'est à partir de ce vécu qu'il s'est construit comme être humain. Ce sera le défi d'une vie de se reconstruire, à travers le temps, ce qui ressortira de cette épreuve sera l'amour, l'amitié et le partage avec son ami. Une histoire très bien écrite qui permet de saisir la sensibilité de la plume de Patrick Froehlich comme dans son univers, dans l'intrigue ou dans les personnages, il maintient le cap afin de diriger son œuvre vers l'objectif qu'il s'est fixé. L'histoire d'Hyppolyte est complexe, mais on ne peut pas laisser aller ce jeune adulte sans savoir, le dénouement final, elle est complexe parce qu'elle est chargée d'événements négatifs qu'il a subis pendant son enfance et sa jeunesse, c'est toujours difficile de lire des écrits parlant d'abus multiples. Pour ma part, j'adore les romans complexes, difficiles et délicats puisque ce sont des écrits qui marquent notre parcours de lectrice. Je vous invite à lire ce magnifique roman bien écrit, avec une plume poétique et sensible qui mérite d'être connue et reconnue. https://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2024/04/to-love-love-love-a-tous-les-temps-patrick-froehlich-editions-varia-groupe-nota-bene-par-martine-levesque.html

Océan mer

Par Alessandro Baricco
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Ce livre est à la fois un récit à suspense, de la poésie en prose, un conte philosophique et un roman d'aventures. Une galerie de personnages originaux se croisent et nouent des relations dans une mystérieuse pension au bord de la mer. Leurs motivations personnelles se rapportent toutes à la mer. Baricco éblouit par son talent à raconter des histoires.

Possiblement Ruby

Par Lisa Bird-Wilson
(5,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Le commentaire de Lynda : Avant de vous donner mon avis sur ce titre, j’aimerais vous donner une mise en garde ou un conseil. Les premières pages m’ont fait un peu peur pour la suite du roman, ça n’augurait pas ce à quoi je m’attendais, mais j’ai continué, et je peux vous dire que j’ai bien fait, un roman qui m’a frappé très fort. Je vous mets également en garde, c’est un roman qui fait mal, très mal, par chance, il nous laisse sur une petite note d’espoir. Ruby, c’est d’elle qu'il est question, Ruby est une enfant autochtone qui a été abandonnée, elle est alors adoptée par un couple de Blancs, Alice et Mel. Dès le moment où elle va comprendre sa mère adoptive, lui intime de cacher ses origines autochtones, considérant que c’est une tare, une honte. Devenue adulte, Ruby, ne s’arrête pas, elle veut savoir, elle veut connaître. Elle connaîtra une vraie descente aux enfers, drogue, alcool, sans oublier une sexualité assez toxiques. D’ailleurs, le premier chapitre, nous la présente qui discute avec une psy, et disons que ce n’est pas très joli à entendre, mais c’est à ce moment qu’il faut continuer. C’est écrit comme un recueil de nouvelles, je dirais, et l’on se promène d’une période à une autre sans toujours suivre l’ordre chronologique des choses. En fait ce roman, c’est la quête de Ruby pour retrouver ces origines, pour en savoir le plus possible. Une quête qui sera déclenchée par la séparation de ses parents adoptifs. On se pose sérieusement la question, un être humain se retrouve-t-il avec des séquelles quand on l’a complètement déraciné et qu’en plus, on lui fait sentir comme si c’était une honte. Ruby, va vous choquer, elle va aussi probablement vous faire pleurer, mais elle aussi très capable de vous faire rire. Est-ce que l’on aime Ruby, pas facile de répondre à cette question, je crois que l’on peut dire que l’on aime certains côtés de Ruby. On retrouve ici et là des mots écrit dans sa langue d’origine. En bref, j’ai aimé, d’ailleurs, j’aime tout ce qui nous parle des autochtones, je vous recommande cette lecture, c’est un premier roman pour l’auteure, mais c’est certain que je vais me tenir au courant d'autres sorties possibles. Une belle plume, tout plein de sentiments et d’émotions...les mots de l’auteure nous présente une femme résiliente, humaine, qui veut savoir qui elle est vraiment! https://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2024/04/possiblement-ruby-lisa-bird-wilson-editions-hashtag-par-lynda-massicotte.html

La Cible

Par Marc-François Bernier
(5,0)
2 personnes apprécient ce livre
3 commentaires au sujet de ce livre
Incontournable Un essai qui permet une vision plus claire et lucide sur les erreurs meurtrieres de certains journalistes, dont les intentions restent non elucidees.

Impacts

Par Suzie Paris
(5,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
«IMPACTS» de Suzie Paris est un livre touchant qui relate la vie de Suzie et de tous ses drames. Il raconte son histoire mais aussi l’histoire d’une femme sur trois et d’un homme sur 5. Ce qui est remarquable dans ce livre c’est, comme le disait si bien une amie, «l’élégance de la retenue». Écrit d’une telle manière qu’on ne peut plus s’arrêter. Par ce récit, les victimes pourront mieux comprendre ce qu’elles vivent, les abuseurs pourront comprendre l’impact de leurs gestes et l’entourage de la victime pourra comprendre ce qu’elles vivent. Je le recommande à tous. Bonne lecture ! P.S. : vous pouvez contacter Suzie via sa page Facebook : https://www.facebook.com/suzie.paris.impacts

Fontaine de Jouvence

Par Mikaël Archambault
(4,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Qu’est-ce qu’une mère ne ferait pas pour sauver la vie de son enfant? C’est la trame du nouveau roman de Mikaël Archambault. La fontaine de Jovence offrant la jeunesse éternelle à celui qui arrivera à l’atteindre. À quoi je m’attendais? À tout sauf cela! On a le droit à du suspense, du mystère, de l’action et de l’humour! On se dit que nous avons un suspense, mais quand la partie science-fiction embarque on sait que le voyage sera tout autre! Comme chaque fois que je lis un livre de cet auteur, je ne vois pas la fin arrivée et j’en reste bouche bée!

Boldemorve, le fantôme dont il ne faut pas boire le nom !

Par Sophie Laroche et Agnès Ernoult
(3,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Depuis quelques temps, la maison Fleurus fait paraitre des romans dans sa collection "Kactus", qui me rappellent la collection "Pépix" de la maison Sarbacane, soit des romans intermédiaires ( 8-12 ans) en tomes uniques ou en série très rocambolesques, humoristiques et même déjantés. Ce roman me rappelle "La foire aux malheurs" ( The Money Pit), ce film dans lequel un couple s'achetait une demeure ancestrale en apparence somptueuse, mais qui est au final un trou financier. Dans une vieille demeure située dans une campagne, cinq fantômes y vivent leur éternité. Os Court ( Au secours), "Auguste Timbre" de son vivant, s'est fait mordre au tibia par un chien, en conséquence de quoi il traine une jambe partielle dans la mort. C'est lui qui trimballe son tibia sur la couverture et c'est un fantôme épouvantablement peureux ( on peut le comprendre, quelle mort traumatisante). Boldemorve ( Voldemort), celui-dont-il-ne-faut-pas-boire-le-nom ( Ça ne risque pas d'arriver de le vouloir, à vu de nez), "Capitaine Tempête" de son vivant, est mort noyé dans un naufrage impliquant une mauvaise direction donnée par une vigie nommé Petit à Nick. Il semblerait que son rhume l'air suivi dans le trépas, au grand damne de ses cavités nasales, continuellement remplie de morve. Nicou Nitête, "Nicolas Saleboulot", un bourreau de père en fils ( fait avéré historiquement, les bourreaux étaient des parias sociaux, donc il était assez courant que le métier reste dans la famille, #NotaBene) et qui s'est accidentellement décapité avec la guillotine qu'il préparait pour une exécution. Toutenkarton ( mon préféré) est le fils de Toutankhamon, fils lunatique et joyeusement insouciant qui a été nager avec les hippopotames ( quelle mauvaise idée...) et s'est retrouvé momifié. C'est toutefois une momie tout aussi perdue et sans soucis qui se retrouve à airer en France. ET il y a Fleure Bleue, "Capucine" de son vivant...j'y reviendrai. Cinq fantômes donc, qui tiennent conciliabule autour d'une déroutante nouvelle, celle de la présence de "vivants" dans l'enceinte de la maison. Pire, il semble que le couple, Sarah et Jacques Croche, aient le désir d'acheter la propriété, même si elle est indéniablement vétuste. S'engage alors une bataille invisible entre les fantômes soucieux de préserver leur domicile hanté et leur réputation du même coup, et les vivants, une famille française comprenant quatre enfants. Le point fort du livre est son travail sur les personnages, surtout le volet "histoire" de chacun d'eux, ainsi que les systématiques jeux de mots sur les prénoms. Les fantômes sont amusants et dépeint comme une bande de "ratés", des fantômes rempli d'imperfections et de travers divertissants, dont certains sont assez attachants. En revanche, après l'introduction en règle des quatre fantômes masculins, quand nous sommes passés au seul fantôme féminin, je n'avais vraiment plus le cœur à rire: Elle est bourgeoise, mince comme un clou, parée d'une grosse robe en fanfreluches, inévitablement belle avec son minois mignon et ses grand yeux de biche, "Fleur bleu" ( quel prénom ennuyeux et cliché) est une véritable cœur d'artichaut, suffisamment stupide pour avoir le coup de foudre pour le voyou qui a ASSASSINÉ son escorte, lui a volé un baiser ( consentement!!!) et promit de la retrouver le soir même. ET bien sur, en sa qualité de grand nigaude, elle y a non seulement cru, elle est morte de froid à son balcon à cause de lui. Bon. Tout en ayant conscience qu'elle fait parti des fantômes les plus nazes de France, je ne peux m'empêcher d'être découragée de voir ENCORE ce profil de personnage féminin que j'espère encore voir couler au fond de l'Atlantide avec un Titanic rempli à craquer des milliers de clichés de filles comme elle. Et comme un malheur stéréotypé de vient jamais à moitié, cette imbécile craque pour l'ado de la famille, dans un parfait amour superficiel digne des romans Arlequins. Aussi, je remarque encore une fois un personnage féminin jalouse, superficielle et pire que tout, seul personnage fantôme à cause de quelqu'un d'autre ( un homme, bien sur). Et contrairement à ce qu'évoque l'autrice en indiquant que Fleur bleue ne sourit jamais, et bien elle sourit presque tout le temps sur les illustrations, loin de la glaciale description initiale. Ç'aurait été une bonne tournure, pourtant que d'en faire une fantôme qui ne ressent plus rien, terrible et insensible, victime d'un beau parleur et de sa propre naïveté, mais non, elle remet ça en s'amourachant d'un ado cent ans plus jeune qu'elle. En ce sens, sa présence dans le roman était aussi agréable qu'une ampoule au pied. Heureusement que les autres personnages relevaient le niveau. D'ailleurs, c'eut été si simple de simplement faire de miss Artichaut un gars! Ç'aurait été tellement plus drôle! ET mettre le capitaine Boldemorve en femme. Comme quoi on peut être a un genre de tout révolutionner. Les illustrations sont rigolotes et sont dans le ton humoristique du roman. J'aime bien la bouille lunatique de Toutenkarton, le look "Davy Jones" bien mouillé de Boldemorve et la scène à haut voltage où l"attachant Os Court se prend des décharges en se plantant les doigts dans une prise ( vous en faites pas, ça le chatouille en fait). Et ces petits escargots ( jamais mentionnées en passant dans le texte), sont vraiment mignons avec leurs yeux dont la forme évoque des clés de Fa ou une virgule. C'est assurément une valeur ajouté que d'avoir un visuel sur des personnages aussi coloré ( sauf Fleur bleue, je m'en serait passée). J'ai bien aimé Toutenkarton, très distrait et amnésique sur les angles, mais pas méchant et même assez sympathique. C'est le seul fantôme qui a assez d'ouverture d'esprit et de bon sens pour songer à la cohabitation. À partir d'ici, il y aura un peu de divulgâches. Je note une balance mal calibrée entre le début du roman et la fin, avec une longue introduction des personnages, intéressante, mais qui contraste avec une fin pour le moins expéditive, voir presque tirée à coup de canon. Le texte me donnait l'impression de débouler un escalier tête première: Halloween, mauvais coups, gros béguin inutile, dragon en feu, départ des invités, décision de ne pas tuer les habitants de la maison, pacte de sang entre enfants( Hein??), tous le monde copains-fin! En trente pages truffées de dessins. Sur 202 pages. Certains passages auraient ou être enlevés pour faire gagner un peu d'espace d'aération à la finale, comme ce passage inutile où on apprend que Pomme vit de l'intimidation. Dans un livre humoristique, il me semble qu'on peut bien se passer d'un archétype vraiment récurent en littérature jeunesse, celui de la petite fille qui aime la nature, mais qui a l'air bizarre, donc vivant de l’intimation. Pomme était bien assez intéressante sans avoir une étiquette de victime ( déjà qu'on a la midinette au cœur d'artichaut). Aussi, il y avait vraiment beaucoup de personnages pour un roman de 220 pages, et ça peut devenir lourd. Après les fantômes, on a les membres de l'équipe de rénovations, ensuite les membres de la famille. Heureusement que dans le bloc des personnages de rénovation, on ait utilisé l'espace en même temps pour faire faire des bêtises aux fantômes. Mention spéciale à la séquence touchante où Toutenkarton utilise ses bandelettes pour guider Pomme qui s'est perdue dans le parc forestier de la maison. Je pense que je vais retenir le roman pour mes profs en librairie qui cherchent des romans avec des personnages pour les ateliers sur ce même sujet, ou sur les jeux de mots, mais en soi, le scénario n'est pas mémorable et la fin trop rapide et mal fignolée. Ça plaira peut-être à mes jeunes du 2e cycle qui aiment les romans d'humour, également. Pour un lectorat intermédiaire du 2e cycle primaire, 8-9 ans+

L'encyclopédie féerique d'Emily Wilde T.1 : L'encyclopédie féeriq

Par Heather Fawcett
(4,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Une superbe histoire sortit tout droit des vieux contes féeriques européen, où les fées sont des créatures aussi belles que dangereuses et ou chaque promesse à son lot de conséquence. L'héroïne ne se laisse toutefois pas impressionnée par ces dernières et peut compter sur sa rigueur scientifique et sa curiosité pour passer outre tous les dangers!

Il était une fois l'Amérique T.1 : Il était une fois l'Amérique,

Par Catherine Mory et Jean-Baptiste Hostache
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Vous ne connaissez pas votre histoire de la littérature américaine? Quel beau moyen de vous y initier. Les auteur(e)s sont présentés dans le contexte politico-social de l’époque avec un aperçu de leurs oeuvres et ou comment le roman a été écrit. C’est formidable, agréable et tout à fait instructif! J’adore! Claude Gauthier Directrice des ventes Librairie Carcajou 450-437-0690

L'amour est dans l'air fryer

Par Alexandra Diaz
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Le commentaire de Lynda : Je suis vraiment accro à ma friteuse à air (air fryer). C’est vraiment devenu un outil indispensable pour moi, et je ne m’en passerais plus, ça, c’est certain. Dans ce livre, il y a tous les genres de recettes, du déjeuner au souper, de la collation au dessert. J’ai pris le temps de tester quelques recettes avant de vous donner mon commentaire, et elles étaient toutes excellentes. Mais l’important, c’est que chacune des recettes est claire et très bien expliquées, une fois la recette choisie, pas d’hésitation, la liste des ingrédients est claire et la marche à suivre encore plus. J’ai essayé les recettes suivantes, mais c’est minime comparé au nombre de recettes dans le livre. Egg in a hole, un œuf cuit dans un bagel, qui fait un excellent déjeuner, rapide et facile à faire. Le burger de crevettes, deviendra un favori chez nous, c’est certain, ainsi que le sous-marin hot-dog. Que ce soient les gnocchis frits, les mini-pizzas ou encore les calzones 3 fromages, vous êtes certains de vous régaler. Bien fait, bien écrit, de belles photos également, alors si comme moi, vous aimez le air fryer, n’hésitez pas, c’est un excellent livre de recettes qui saura vous inspirez, j’en suis certaine. https://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2024/04/l-amour-est-dans-le-air-fryer-75-recettes-crousti-fondants-a-la-diaz-alexandra-diaz-editions-de-l-homme-groupe-quebecor-par-lynda-massicotte.html

La disparue du lac Hjälmaren

Par Anna Jansson
(3,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Surprise de découvrir encore une auteur de polar suédoise qui m’avait échappée jusqu’à maintenant. J’irai sûrement voir ses précédentes séries car le scénario est accrocheur et plutôt bien ficelé.

Au square Gardette

Par Rober Racine
(5,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Au square Gardette, de Rober Racine, est un bien curieux petit livre. Il ne s'agit pas d'un roman ni encore d'une biographie au sens habituel du terme. Ça serait une sorte de récit aux multiples visages car l'auteur raconte d'abord son amitié avec le compositeur Claude Vivier, en insistant sur ses créations musicales et son approche singulière de la composition et de sa notation. Racine partage aussi avec nous ses réflexions sur l'art, la musique, la mort, l'amour, l'amitié, le cinéma...Et à travers ce récit, il reconstitue l'étrange parcours qui a mené Pascal Dolzan à imposer, avec une violence humainement honteuse, la mort au compositeur Vivier au mois de mars 1983 dans son appartement parisien du XIe arrondissement. Une quête. Plusieurs quêtes, en réalité. Une tentative d'imaginer le sens de cette vie curieuse, celle de l'artiste Claude Vivier, qui arpentait les sentiers ambigus situés entre le foisonnement de la vie et celui du dérèglement de la folie meurtrière. À travers ce récit, Racine se raconte également, nous parle de ses livres et de ses compositions musicales, de sa vision de l'art, de l'amitié, de la fidélité à soi et aux autres, à ceux qui nous sont chers. Au square Gardette, est un petit livre touffu, au carrefour de plusieurs genres, où lumière et ténèbres se côtoient tels des amants inséparables et querelleurs. Et c'est aussi, bien davantage que ce que je viens d'en dire. À lire, à imaginer, à écouter, toutes ses musiques.

En coup de vent

Par Sophie Labelle
(5,0)
1 personne apprécie ce livre
2 commentaires au sujet de ce livre
Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥ Un tout petit roman qui se lit assez rapidement, mais qui va laisser une petite trace. Ce roman est classé littérature pour adolescents ou jeunes adultes, mais je crois sincèrement qu’il est pour tous. C’est avec Émilie que nous allons passer un petit moment. Émilie depuis l’âge de 2 ans se promène de foyer d’accueil en foyer d’accueil, sa mère n’a jamais vraiment été dans sa vie et son père, et bien, on est aussi bien de ne pas en parler. En plus, Émilie doit gérer une autre chose dans sa jeune vie, elle est une transgenre, ça nous plus, on ne peut pas faire comme si ce n’était pas là. Elle n’a qu’une seule hâte dans la vie, c’est d’atteindre ses 18 ans et de ne plus dépendre de personne. Elle accepte finalement un autre déménagement, une autre famille d’accueil, en se promettant que ce sera la dernière fois. Sa travailleuse sociale lui assure qu’elle va se plaire avec cette nouvelle famille, avec Vincente, Léonie, Collin et les autres, pourquoi, et bien, ils sont transgenres également. L’arrivée à sa nouvelle école, se fait assez bien et dès le départ elle se fait une amie Viviane, une chose qu’elle n’a pas eu souvent dans sa vie à cause de ses nombreux déménagements. La vie va bien, elle s’adapte très bien à sa nouvelle famille d’accueil, beaucoup mieux qu’elle pensait, elle a sa nouvelle amie, et puis il ne faut pas oublier le chat de la maison, Tout-à-coup, avec qui elle est littéralement sous le charme. Et puis la promesse de son père, qui lui offre de revenir vivre chez lui, je ne vous dirais pas exactement quoi, mais une belle trahison que son père lui fait... Je l’ai détesté immédiatement. En bref, un roman qui nous fait vivre des émotions belles, et moins belles. J’ai tout simplement adoré Émilie, un oiseau blessé, qui apprend tout doucement à faire confiance, à s’attacher, à croire et surtout à être heureuse. Qui apprend également à s'attacher aux gens autour d'elle en oubliant la peur de les abandonner une fois de plus, ou d'être abandonné. Je ne connaissais pas l’écriture de Sophie Labelle, mais si j’ai l’occasion de la relire, je le ferai avec grand plaisir. Une écriture qui vient du cœur, chaleureuse, une situation pas facile, mais elle a su trouver les mots qui donnent de l’espoir. Un coup de cœur, sans aucune hésitation ! Je vous invite à faire la connaissance d'Émilie, une jeune femme attachante, qui adore la musique et qui va gagner votre coeur! https://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2024/04/en-coup-de-vent-sophie-labelle-editions-hurtubise-par-lynda-massicotte.html

Bonne nuit maman

Par Mi-ae Seo
(5,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Glaçant

À jamais et pour toujours T.4 : À jamais et pour toujours, 4

Par Nadège Roy
1 commentaire au sujet de ce livre
Comment décrire ce tome... Nous avons droit à un gros mélange d’émotions, des montagnes russes niveau expert. Lorsque nous croyons que tout va bien, que les personnages ont droit à un peu de bonheur… oups… on redescend en enfer! Mon cœur est à l’envers à chaque chapitre. Comme à mon habitude , lorsque je termine un roman de Nadège Roy, un message lui est envoyé pour lui rappeler que je la déteste autant que je l’aime. Ses histoires sont toujours difficiles, nous font vivre des émotions en arc-en-ciel mais au final on en ressort grandit tout comme les personnages. Malgré les émotions difficiles, les questionnements sociaux qui sont venus me tourmenter durant ma lecture, À jamais et pour toujours figure dans mes romans préférés! À lire absolument!

Edgar et la Grise

Par Jean Brodeur et Valérie Desrochers
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Incontournable Roman Avril 2024 La petite maison d'édition Chauve-souris nous propose un nouveau par l'auteur qui nous a livré "Piano interdit", Jean Brodeur, cette fois dans le décor blanc et sapiné du Saguenay Lac-Saint-Jean. 1934. Alors qu'un groupe d'hommes de la petite communauté émergente de Saint-Ludger-De-Milot se rassemblent afin de faire route vers leur camp, un jeune ado s'y invite. Edgar Brochu a 13 hivers, bientôt 14 et s'il est présent ce jour-là, c'est une question de survis pour sa famille. Fils d'un bucheron temporairement invalide, Edgar sait qu'il est le seul apte à ramener de l'argent pour nourrir ses parents, son petit frère et ses petites sœurs. Même si se décrit comme un travaillant solide physiquement et habitué des tâches manuelles, le patron Gérard Beaudoin n'en a cure et tente d'ignorer ce garçon qui tente de se faire engager à la place de son père. Heureusement, les frères Racine prennent son parti - Une paire de bras supplémentaires, ça ne se refuse pas. ET puis, il faut être solidaire. Edgar est donc engagé en tant que "pileur", il va manœuvrer le cheval qui sortira les billots de bois coupés par les bucherons. Un quotidien difficile marqué par des températures parfois cruellement froides, les moqueries et mauvais coup de Gagnon, la fatigue de son cheval et les dangers du métier. Néanmoins, c'est aussi le début d'une formidable relation une jument grise, "son" cheval, des soirées de lecture et des partages avec certains hommes du camp. Devenir un homme, Ce n'est pas œuvrer pour le bien de sa famille et surmonter les difficultés, c'est aussi apprendre à se connaitre. Donc, qu'est-ce qu'on retrouve dans ce savoureux petit roman aussi fraichement sorti du four qu'un réconfortant pouding chômeur bien trempé dans son sirop ( D'érable, bien sur!). De l'Histoire, déjà, celle d'une époque économique difficile marqué par le crash de 1929, qui mena le gouvernement du Québec a intervenir dans l'économie, dont le système qui permet aux Brochu d'avoir une terre dans le "canton d'occupation" donné à la ville de Joncquière, Saint-Ludger-de-Milot. C'est une nouvelle forme de colonisation, mais elle est conditionnelle à la faire fonctionner. Le colon a deux ans pour bâtir sa maison et défricher sa terre, et même la revendre par après. Autrement, le gouvernement la reprend et le colon et sa famille réintègrent la ville ( Jonquière, dans ce cas-ci). Dans ce contexte, si Edgar ne s'était pas présenté pour remplacer son père, la famille aurait perdu sa terre et serait très probablement tombé dans une situation de grande précarité financière et sociale. Mais comme la bien dit l'aîné de la famille Racine, Médée : "C'est pas compliqué. avec tout le travail déjà fait, on est une grande famille et on doit se tenir". C'est donc de cette vie de colon dont il est ici question, avec ses hauts et ses bas. Dans le camp, une pièce unique équipée d'un cuisine, le confort est rudimentaire, la bouffe délicieuse ( Merci Madame Beauchemin!) et l'hygiène minimale. Chacun à son poste et tout ce beau monde se coordonne sur le "chantier" pour couper les arbres et les mener près de la rivière, où les billots seront charriés par elle au printemps et qui sera le travail des draveurs de les guider vers les scieries. Vous aurez l'occasion de voir de l'intérieur cet univers encore très associé aux québécois. Dans cette équipe, nous trouvons "la grise", le cheval qui traine inlassablement le traineau chargé de billots vers les berges de la rivière. N'imaginez pas les chevaux sveltes et élancés qu'on voit dans les films, mais plutôt de gros chevaux aux pattes poilues qui servent aussi dans les fermes. Des chevaux très forts, qui auront certainement épaulés la construction de la province québécoise et du canada. La grise est une jument qui a connu une année difficile avec un gars incompétent, qui est resté d'ailleurs dans les mémoires des bucherons. En conséquence de quoi elle est craintive au début, mais avec la douceur et l'empathie d'Edgar, devient une jument loyale et collaborante. J'ai trouvé le "cadeau" qu'elle fait à Edgar pour Noël fort touchant. Dans les personnages notables, je mentionne Madame Beauchemin, que je ne peux pas contourner malgré sa présence tertiaire. Pourquoi? Parce que les femmes du Québec étaient d'une trempe particulière, en partie du à nos ancêtres femmes autochtones, dans laquelle elle ont du être des gestionnaire de maisonnée dans de conditions vraiment pas simples. Bref, quand j'ai vu madame Beauchemin "gérer" Gagnon, l'intimidateur et couillon de la gang, alors qu'il a sursalé la soupe d'Edgar, j'étais étrangement fière comme un paon. Ouaip, niaisez-pas les québécoises! Parmi les personnages , il y a le très inspirant Samuel, un "ilnu" (Nation innue ) de la communauté des pekuakamiulnuatshs de Pekuakami. Les explorateurs de France les ont appelés "montagnais.e" et c'est sous ce vocable que sera désigné Samuel dans le livre. Samuel est d'abord assez discret au début, mais il va finir par avoir un lien réel avec Edgar. Il a un regard sur le monde qui nous rappelle que les premières nations connaissent mieux que les colons la terre que leurs ancêtres ont habitué des millénaires durant et leur façon de traiter autrui a quelque chose de sage et de bienveillant. Samuel connait pleine de chose, dont la lecture ( ça en bouche un coin à certains!) et est en quelque sort le couteau suisse de l'équipe. Ils ont de la chance de l'avoir avec eux, ces colons, mais je pense qu'ils ne le réalisent pas assez. Gagnon, l'antagoniste, c'est le gars qui fait la vie dure à Edgar et l'adulte que je suis avait du mal à comprendre comment on pouvait être assez immature et lâche pour s'en prendre à un jeune de 13 ans, mais il y a une raison économique derrière cette attitude toxique. Bon, ça ne justifie rien, vous me direz et c'est vrai, mais au moins, ce n'est pas juste par pur malveillance. Il aura l'occasion de changer d'avis sur Edgar, d'ailleurs. Edgar, tient, parlons-en! Je ne peux m'empêcher d'être heureuse quand je croise ce profil de personnage , car il en existe encore relativement peu. Loin des archétypes qui cherchent toujours des façons de devenir plus populaires ou plus reconnus, Edgar, c'est le gars sensible qui fait ce qu'il faut pour les siens. Et, oh mes aïeux, il aime LIRE! Il a amené avec lui "Les anciens canadiens" ( de Philippe Aubert de Gaspé), recommandé par son institutrice, dont il fait la lecture à ses copains de cabane un peu plus loin dans le roman. Edgar a une belle façon d'être avec la grise et de manière générale, est un jeune homme facile à vivre qui a un sens aigu de la famille. Bref, un bon gars, pour une fois! Ça fait du bien à lire. Le roman est suivi de plusieurs petites rebiques dans une section "pour en savoir plus" dont j'ai moi-même pioché quelques petites infos pour cette présente critique. J'aime bien quand les auteurs ajoutent ces compléments d'infos, surtout pour les romans historiques. Et bonus! Nous avons la recette de "bines" ( fèves au lard) de madame Beauchemin. Comme les autres membres de la fratrie "Sonar" de la maison Chauve-Souris, "Edgar et la grise" est ce genre de petit roman étonnamment rempli et bien tourné qui sert aussi bien le lectorat intéressé par l'Histoire que les lecteurs qui apprécient les petits romans en tome unique. Il n'est pas écrit en joual, mais en français international, ce qui laissent les objets, métiers et vêtements en termes typiquement québécois. Donc, un super roman facile d'accès en terme de lectorat, où le quotidien comporte sa part de drames dans , je le rappelle, un travail dangereux dans un environnement impitoyable par moment ( les hivers canadiens, avec ses -35 degrés en janvier, ses tempêtes de neige à coups de dizaines de centimètres et sa durée qui augmente au rythme de la latitude) et ses personnages attachants. Ce n'est pas le Québec idéalisé du courant terroirs, mais ça reste une histoire chaleureuse comme le sont souvent les romans du lectorat Intermédiaire. Une bonne bouchée de Québec, aussi savoureuse qu'un pouding chômeur, je vous dis. Pour un lectorat à partir de la 4e année, 9-12 ans+

Le coeur du pélican

Par Cécile Coulon
(4,0)
1 personne apprécie ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Avec une écriture brillante, directe, qui bouscule par moments, on suit la vie de banlieue où se découvre le Pélican ado, sprinter inattendu, amoureux de sa sœur aînée et d'une Béatrice inaccessible. 20 ans plus tard, mourant d'ennui dans sa vie de famille il décide de se remettre à courir avec le support de sa sœur qui organise ses randonnées dans la campagne. Incognito au début, le Pélican est reconnu par les passants. La colère d'avoir raté sa vie lui fait perdre le contrôle contre un ado admirateur. La fin, brutale, est surprenante. La description de ce milieu de pavillons de banlieue m'a fait pensé à celle des paysans des livres de Marie-Hélène Lafon. Ces familles ancrées dans leur quotidien sans envergure et dont la misère existentielle est touchante. C'est cru, authentique, parfois cruel, mais si juste. Une découverte.

Rue Duplessis

Par Jean-Philippe Pleau
(5,0)
3 personnes apprécient ce livre
1 commentaire au sujet de ce livre
Ce livre me touche tellement! Bien sûr, comme il l'a prédit, il touche des inconnus. J'espère qu'il touchera autant sa famille. Ce livre est un récit d'amour pour ses racines tout autant que pour les branches qui ont poussés au delà de ce qu'il pouvait s'imaginer petit. Merci pour ce livre. J'y reviendrai. C'est sûr!

Si tu vois mon pays T.2 : Le châtiment

Par Joseph Facal
(5,0)
1 commentaire au sujet de ce livre
Ce livre de Joseph Facal est mon coup de cœur. Le tome 2 est à la hauteur du premier. Les personnages prennent encore plus d'ampleur. Ma préférée demeure Jeanne, qui pourrait être l’héroïne d'un roman à elle seule. Quel personnage fascinant ! L'écriture est actuelle, elle nous entraîne dans les intrigues, les péripéties des personnages. Dans ce deuxième tome on voyage dans différentes grandes villes. On est stupéfait souvent, dans le bon sens. C'est plus qu'un roman historique. C'est un grand roman. Et, j'espère bien qu'il y en aura d'autres. Et que celui-ci sera porté au grand écran.

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Lecture en cours :

L'infini dans un roseau
Catégorie : Littérature
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Le Livre de poche. Documents
Paru le 3 avril 2023
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